Après Iquioussen, Darmanin prêt à dégainer une longue « liste » d’imams à expulser

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Mis en cause pour avoir laissé filer l’imam du Nord, érigé du jour au lendemain en « ennemi de la République », le ministre de l’intérieur compile des noms de religieux à « exclure ». D’après nos informations, plusieurs imams sont d’ores et déjà sur la sellette, dont l’ex-numéro un de l’UOIF, allié historique du ministère de l’intérieur.

A qui le tour ? Vendredi soir, trois jours après la décision du Conseil d’État validant l’expulsion de l’imam Hassan Iquioussen, l’hyperactif ministre de l’intérieur a dévoilé une partie de son programme en direct des bureaux de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI). « Est-ce qu’il y a d’autres imams Iquioussen ? […] La réponse est oui », a clamé Gérald Darmanin, indiquant que ses services s’attelaient déjà à rédiger une « liste » de « prédicateurs », « de présidents ou agitateurs d’associations », « moins d’une centaine de personnes », qui pourraient subir le même sort.
Il s’est félicité, au passage, de « l’arrêt du Conseil d’État qui permet de dire que quelqu’un qui a des enfants, qui est marié en France, qui est né en France, peut quand même – 58 ans après – être expulsé… Ça permettra d’évoquer d’autres cas ». Selon lui, « 734 étrangers radicalisés » ont été expulsés depuis l’élection d’Emmanuel Macron, dont « 72 dans les sept derniers mois ».
Mais les images, cette semaine, des escortes de police revenant bredouille du domicile du prédicateur représentent un camouflet pour le patron de la Place Beauvau, et de rebond en rebond, le feuilleton Iquioussen prend des allures de farce.
Dans ce Western spaghetti, où Gérald Darmanin campe le premier flic de France, l’imam « fugitif » se retrouve qualifié sans nuance de « délinquant ». Or, si le Conseil d’État a retenu les « propos antisémites » ainsi « que son discours sur l’infériorité de la femme », Hassan Iquioussen ne fait l’objet d’aucune condamnation judiciaire. Jeudi, la presse annonçait malgré tout l’émission d’un mandat d’arrêt européen contre l’imam introuvable, dont les enfants ont indiqué qu’il avait quitté le territoire français… comme le demandaient les autorités.

SOURCE
https://www.mediapart.fr/journal/france/030922/apres-iquioussen-darmanin-pret-degainer-une-longue-liste-d-imams-expulser

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4 Commentaires

  1. joseparis dit :

    ça sert à quoi de faire des listes d’islamistes ? A rien, c’est que de la communication ! Puisque soit « l’ injustice » française refuse leur expulsion, soit ils se font malle au nez et à la barbe des autorités « incompétentes » de ce pays. Une dernière chose à remarquer, quand il s’agissait de liste de juifs à déporter (hommes, femmes et enfants sans distinction aucune), la police française était beaucoup mieux organisée, et faisait preuve d’une célérité remarquable !

  2. Lellouche dit :

    Ces imams et leurs entourages ont une armée de juristes financé par des régimes arabe.. Ils continueront régulièrement à tordre le cou à la démocratie partout en occident !!! D’ailleurs il n’existe pas et il n’existera jamais dans les pays musulmans la démocratie…C’est absolument incompatible !!!

  3. David Vincent dit :

    l’ex-numéro Un de l’UOIF en question c’est l’imam Amar Lasfar le copain
    de la maire étiquetée PS, dhimmie et islamophile de Lille Martine Aubry
    et de son mari Jean-Louis Brochen l’ex-avocat défenseur des barbus
    en djellaba chèche babouches et des lycéennes fantômettes en niqab

    • Quinquin van Rijsel dit :

      et également l’avocat-conseil d’un membre du gang de Roubaix
      et aussi d’un groupe de rap de racistes, d’antisémites, d’islamo-nazis
      de Nique la France, Nique la police et Nique ta mère ! qu’il a été JL. Brochen

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