Jonathan Pollard bientôt libre d’émigrer en Israël ?

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Alors que la libération conditionnelle de Pollard prend fin, l’avocat s’attend à ce qu’Israël soit son avenir
Cinq ans après sa libération de trois décennies de prison américaine pour espionnage pour Israël, Jonathan Pollard n’a plus de restrictions sur ses mouvements; son avocat dit que si sa première priorité est la santé de sa femme, s’installer en Israël est l’objectif
Les avocats de Jonathan Pollard, qui a passé 30 ans en prison pour espionnage pour Israël dans les années 1980 alors qu’il travaillait comme contacteur civil à l’US Naval Intelligence, ont annoncé vendredi que le ministère américain de la Justice n’a pas prolongé ses restrictions de libération conditionnelle, ce qui signifie qu’il peut, s’il le souhaite, quittez le pays et déménagez en Israël.
Pollard a obtenu une libération conditionnelle dans une prison américaine en novembre 2015 et est depuis soumis à des conditions de libération restrictives, notamment le port d’un moniteur électronique et le fait de rester chez lui à New York la nuit.
Il a également été interdit de quitter l’État de New York et de donner des interviews aux médias, et les autorités ont surveillé son ordinateur à la maison et au travail.

L’un des avocats de Pollard, Eliot Lauer, a déclaré vendredi à Ynet que la préoccupation la plus urgente de Pollard était le bien-être de sa femme, Esther, qui subit un traitement de caner.
« Je sais que beaucoup de gens attendent Pollard en Israël, mais la première chose qu’il doit faire est de prendre soin de sa femme », a déclaré Lauer. « Je ne sais pas quels sont leurs plans immédiats si ce n’est de m’assurer qu’Esther va bien, mais évidemment Jonathan s’attend à aller en Israël.
« C’est le premier jour des 34 dernières années qu’il est vraiment un homme libre. Il s’est toujours vu comme un vrai sioniste et un citoyen d’Israël. »
Lauer n’a pas voulu dire si le président américain Donald Trump avait été impliqué dans la levée de la libération conditionnelle de Pollard, mais a déclaré: « Je pense que beaucoup de gens méritent des remerciements. Je ne dirais pas qu’il y avait une influence politique. Nous apprécions le soutien de l’administration mais la décision de La libération conditionnelle de Pollard a été faite conformément à la loi et aux efforts de mes collègues et de moi-même.
« Nous apprécions l’aide des gouvernements américain et israélien au fil des ans et remercions tous ceux qui ont soutenu et prié pour Pollard et lui ont envoyé des lettres. Ils méritent d’être salués. »
Source :
https://www.ynetnews.com/article/Hk033jHcw

Jonathan Jay Pollard, né le 7 août 1954 à Galveston (Texas), est un officier dans les services de renseignement de la marine américaine, de religion juive qui, en 1987, a été condamné à perpétuité aux États-Unis pour espionnage au profit d’Israël. En mai 1995, il obtient la nationalité israélienne et, en 1998, il est officiellement reconnu par Israël comme espion israélien1.
Israël et une partie de la communauté juive ont régulièrement fait pression sur les responsables politiques américains pour le faire libérer. Le 20 novembre 2015, après 30 ans d’incarcération, il est libéré, avec interdiction de quitter le territoire américain pendant 5 ans2.
Le personnage de Jeremy Pelman dans le film Les Patriotes d’Éric Rochant présente des points communs avec Pollard3.
Après l’obtention de son diplôme, Pollard tente d’entrer à la CIA, où malgré son bon parcours universitaire et ses recommandations, il est refusé en raison de sa consommation récente de cannabis6. Jonathan Pollard travaille à partir de novembre 1979 pour la marine américaine en tant qu’analyste puis officier de garde à la division « Analyse des menaces » du Navy Antiterrorist Alert Center (en) créé après les attentats du 23 octobre 1983 à Beyrouth. Le 4 avril 1984 à New York, il est invité à une soirée de la communauté juive organisée dans l’Upper East Side de Manhattan.
Jonathan Pollard y aborde un colonel de l’aviation israélienne, Aviem Sella, venu aux États-Unis suivre des cours d’informatique. Ce dernier, en voyant son potentiel d’informateur, contacte le Mossad8. C’est le même Aviem Sella, qui le fait entrer dans le Lakam, le renseignement scientifique israélien dirigé par Rafael Eitan, et qui devient son officier traitant. Ce dernier informe le premier ministre Shimon Peres et le ministre de la défense de l’époque, Yitzhak Rabin9. Le Lakam n’a aucune existence officielle et seules les plus hautes autorités de l’État d’Israël sont au courant de son existence10.
En quelques mois, Pollard aurait fourni plus de 1 000 documents confidentiels. Toutes les deux semaines, il aurait livré des valises remplies de documents aux Israéliens. Aviem Sella, l’officier traitant de Pollard, est par la suite remplacé par un attaché scientifique au consulat d’Israël et on offre à Pollard un passeport israélien. Il rencontre ses officiers traitants israéliens à Paris.
Le couple Pollard voyage à Saint-Tropez, Cannes, Nice, Monte Carlo, Florence, Rome, Venise, Innsbruck et Munich, et ils dorment dans les meilleurs hôtels11.
En 1985, les supérieurs de Pollard se méfient de lui, car des piles de documents confidentiels et sans lien avec son travail sont régulièrement découverts dans son bureau. Le FBI est bientôt mis sur sa piste et l’interroge en novembre 1985. Quelques jours plus tard, il tente de fuir avec son épouse, pénètre de force dans l’ambassade israélienne de Washington en réclamant l’asile politique, qui leur sera refusé, les gardes de l’ambassade le refoulant8,12. Ils sont subséquemment appréhendés par le FBI8,13.
Inculpé pour « transfert d’informations classifiées à un pays allié, sans intention de nuire aux États-Unis », il plaide coupable à l’accusation d’espionnage le 4 juin 1986, et se défend en affirmant qu’il voulait simplement contribuer à protéger Israël14,15. Le secrétaire de la Défense Caspar Weinberger écrit un mémo confidentiel au juge où il affirme que c’est une des plus graves affaires d’espionnage de toute l’histoire des États-Unis16. Condamné à la prison à vie le 4 mars 1987, Pollard est libéré en 2015 après plusieurs demandes formulées par Israël. Son épouse, Anne, a été condamnée à cinq ans de prison14,15 et libérée en 1989. Ils se sont ensuite séparés. Pollard a épousé, en prison, la Canadienne juive Esther Zeitz17,18,19.
Les États-Unis lui reprocheraient en particulier d’avoir livré à Israël le manuel des codes d’accès et de chiffrement des écoutes de la NSA dans le monde entier, manuel qui aurait été ensuite livré en pleine guerre froide aux Soviétiques en échange de l’émigration vers Israël d’un million de juifs présents en URSS20,21,22.
Ses informations auraient aussi aidé Israël à bombarder en 1985 le QG de l’Organisation de libération de la Palestine, alors exilée en Tunisie, et à assassiner le numéro deux de l’OLP, à Tunis lors de l’Opération Jambe de Bois en 198819. Pollard aurait livré des copies sur les livraisons d’armes de l’URSS à la Syrie et à d’autres nations arabes, ainsi que des cartes satellites des arsenaux irakiens, syriens et iraniens23. Jonathan Pollard aurait notamment approché les gouvernements du Pakistan, d’Australie et d’Afrique du Sud14,24.

Le fait que Jonathan Pollard ait pu fournir des documents top secret auxquels son niveau d’officier ne pouvait lui permettre d’accéder laisse penser qu’une taupe d’un niveau hiérarchique bien supérieur ait pu l’aider : Melvyn Paisley (en), un haut responsable de l’US Navy25.
Jonathan Pollard pourrait également être connecté à un autre espion israélien arrêté par la suite. En 1997, le Washington Post révèle ainsi qu’Israël dispose d’un autre espion infiltré : Méga. L’agent Méga, qui aurait peut être été le supérieur direct de Jonathan Pollard26 aurait infiltré le cœur même de la Maison blanche27,28.
L’affaire Pollard ne serait que la partie émergée d’une immense opération d’infiltration, vaste entreprise de pénétration des services israéliens en vue de s’emparer d’un nombre important de secrets technologiques et industriels américains10.
Pour Thomas Brooks, ancien directeur des renseignements de la Navy, « beaucoup de ce qu’il a pris, contrairement à ce qu’il voudrait que l’on pense, n’a rien à voir avec les pays arabes ou la sécurité d’Israël, ça avait à voir avec les méthodes de renseignement américaines, spécifiquement contre l’Union soviétique15 »
Pour l’universitaire Juan Cole, professeur d’histoire du Moyen-Orient, « Le cercle d’espionnage israélien qui a pénétré le Pentagone américain pour voler des secrets de haute technologie y compris nucléaire était plus grand que le simple Jonathan Pollard. C’est un secret de polichinelle dans les milieux de sécurité américains qu’aucun pays étranger n’espionne les États-Unis de manière plus intensive qu’Israël. Et en fait, apparemment, personne n’a eu plus de succès que ce pays pour se procurer des documents top secret ». Les sources de Seymour Hersh lui avaient déclaré que les secrets qui atterrissaient en Israël étaient soit à leur tour repris par les taupes soviétiques en Israël ou vendus au marché noir pour finir en Union soviétique.
Jonathan Pollard a reçu un important soutien de la communauté juive mondiale et d’Israël29,30,31.
L’affaire Pollard a causé un dommage important aux relations américano-israéliennes, et des journalistes ont régulièrement pris sa défense dans les médias israéliens ces dernières années32,33,34,35,36,37. L’officier traitant de Pollard, Rafael Eitan, devenu ministre des retraités en Israël n’a jamais voulu aborder ce qu’il estime relever du secret défense38. Pollard a reçu la citoyenneté israélienne en 199539. En 1998, il est admis, dans une déclaration du premier ministre d’alors, Benyamin Netanyahou, que Pollard est un espion opérant pour les services secrets israéliens40. En 2002, alors qu’il n’est plus premier ministre, Benjamin Netanyahu lui rend visite15.
En Israël, où il est presque considéré comme un héros national, ainsi que pour une partie de la communauté juive, le refus obstiné de Washington d’accorder la grâce ou la réduction de peine qu’Israël réclame depuis des années est considéré comme injuste.
Le premier ministre israélien Benjamin Netanyahu tente de se servir des enregistrements secrets du président américain Bill Clinton et de Monica Lewinsky qu’il a obtenus, pour faire du chantage au président des États-Unis et le pousser à libérer l’espion Jonathan Pollard41,42. Le directeur de la CIA est scandalisé et menace de démissionner si Clinton libère l’espion43.
En 2004, Esther Pollard déclare au Jerusalem Post :
• « L’affaire n’a pas progressé d’un pouce en 21 ans. Même s’il (Pollard) ne fera jamais rien qui puisse nuire à Israël, il n’a pas l’intention de tenir sa langue plus longtemps et, s’il n’est pas bientôt libéré, il est prêt à révéler des informations sur le rôle de Rafi Eitan dans le réseau d’espionnage et sur les mensonges qu’il a proférés, des révélations qui pourraient éclabousser tout le monde, notamment des Premiers ministres, et surtout Shimon Pérès 44”
En décembre 2010, Benjamin Netanyahu demande officiellement à Barack Obama la grâce de Jonathan Pollard45,46.
Lors de la visite de Obama en Israël en 2013, au moins 2 ministres lui parlent de Jonathan Pollard et des milliers de personnes protestent en dehors de sa résidence pour sa libération47.
En 2011, l’ancien secrétaire d’État Henry Kissinger écrit une lettre au président Obama où il lui demande de libérer l’espion américain48.
Le député français Meyer Habib, vice-président du CRIF, appelle à le faire libérer49.
En 2012, l’ancien directeur de la CIA, James Woolsey, appelle également à sa libération et parle « d’antisémitisme50 », il explique : « on pourrait faire comme si c’était un citoyen grec et le relâcher51 ».
Pour Seymour Reich, président du B’nai B’rith :
• « Le gouvernement américain l’a trahi. Ce sont des propos durs mais je les maintiens. Si Pollard purge une peine aussi lourde, c’est parce que l’élite militaire des États-Unis veut donner une leçon à Israël, une leçon aux juifs américains, et spécifiquement aux juifs du gouvernement 11 »
Pour Abraham Foxman, président de l’association américaine pro-Israël Anti Defamation League :
• « C’est de l’intimidation basée sur des stéréotypes antisémites. Les sondages montrent que les gens croient que les juifs américains sont plus loyaux envers Israël qu’envers les États-Unis. Si c’était une vendetta contre un type, ce serait déjà grave, mais là c’est une vendetta contre toute une communauté. La seule explication c’est qu’on veut donner aux juifs américains une leçon de loyauté52 »
L’ancien chef de la CIA, George Tenet a menacé de démissionner en cas de libération de Pollard53,54.
Lors d’une réunion avec des leaders de la communauté juive pour la préparation de la campagne électorale 2012 de Obama, le vice-président américain Joe Biden aurait déclaré que Pollard serait libéré « si on marche sur mon cadavre55 » avant d’expliquer que ces propos ont été sortis de leur contexte31.
Pour Bret Stephens, ancien éditeur en chef du Jerusalem Post et journaliste au Wall Street Journal :
• « Ça n’aide vraiment pas Israël de faire passer en héros un menteur compulsif, arrogant, cocaïnomane, violant ses propres serments, espionnant son propre pays en infligeant des milliards de dégâts, touchant de l’argent, ne montrant aucun remords au moment de sa condamnation, se montrant un véritable exemple pour tout complotiste antisémite, et qui en plus a la chutzpah [culot] de se déclarer martyr du peuple juif56 »
Pour Peter Jones, professeur de relations internationales à l’université d’Ottawa :
• « Les États Unis donnent à Israël des milliards chaque année, font de Tsahal l’armée la plus redoutée de la région, ferment les yeux sur le programme nucléaire israélien, et défendent Israël à l’ONU. En échange, on a un allié qui a un espion comme Pollard, le paye pour trahir les États-Unis… On a un allié, qui demande une concession comme la libération de Pollard juste pour continuer le dialogue avec les Palestiniens. Quand on a des amis comme ça…. Il y a une raison pour laquelle cette affaire est si peu mentionnée aux États Unis. Il y a des peurs, des peurs que si la population américaine savait, des questions politiques difficiles pourraient être soulevées. S’il est libéré et qu’il est accueilli en héros national en Israël, ça va soulever des questions très difficiles chez l’Américain moyen »
• « Autre problème, si Pollard est libéré, il pourrait y avoir un dangereux précédent. […] Si quelqu’un trahit son pays pour une cause qu’il estime juste, devrait-il recevoir une sentence moins élevée ? La communauté américaine du renseignement croit que Pollard devrait rester en prison parce qu’ils ont peur qu’un tel précédent se reproduise. L’affaire Pollard soulève le cœur du problème de la loyauté des Américains juifs. Après l’arrestation de Pollard, Dan Kurtzer et Denis Ross — deux juifs américains avec un parcours impeccable au service de leur pays — ont écrit dans le New York Times qu’ils ont subi une vérification importante avant de recevoir une habilitation de sécurité. Plusieurs Américains juifs que je connais dans l’établissement diplomatique et sécuritaire m’ont dit que Pollard devrait rester en prison. Et pourtant, une partie importante de la communauté juive américaine soutient sa libération57. »
En juillet 2015, la commission des libérations conditionnelles autorise sa libération pour le mois de novembre suivant, après 30 ans de détention58,1. Le 20 novembre 2015, Jonathan Pollard est effectivement libéré, avec interdiction de quitter le territoire américain durant 5 ans2.

happywheels

5 Commentaires

  1. limone dit :

    libre comme l’oiseau

  2. Rosa SAHSAN dit :

    C’est enfin une merveilleuse nouvelle et on dit merci qui? merci TRUMP.
    La demande de pouvoir quitter les Etats-Unis avait déjà été demandée à Hussein Obama. Cette pourriture antisémite avait refusée. La demande avait également été demandée à Biden même réponse que l’antisémite Obama.
    RSA

    • Poissonchat dit :

      Biden je ne le sens pas du tout ce type,de plus le positionnement de beaucoup de juifs americains qui votent pour lui m etonne
      J espère qu il ne viendra pas mettre son grain de sel dans l histoire…

      • דן dit :

        Biden, tout comme les élites mondialisées, pro-démocrates et anti-Eretz Yisrael, qui ne se trouvent pas seulement en Amérique mais, malheureusement, aux 4 coins de la civilisation occidentale (et malheureusement, même en Eretz Yisrael, via les élites islamo-gauchistes des milieux politiques, médiatiques, culturelles et associatifs !) ont tentés de mettre en place un coup d’Etat politico-médiatique lors de cette mascarade électorale américaine mais, בעזרת השם, ces menteurs, usurpateurs et traîtres de leur propre nation, avides du « grand remplacement » de leur propre peuple, seront chassés et jugés pour leur tentative de mise en place d’une dictature, pour le non-respect de la Constitution des États-Unis d’Amérique via des fraudes électorales massives et pour la haute trahison envers la nation américaine, surtout durant les 8 années du règne sans partage du terroriste mahométan Barack HUSSEIN Obama !

  3. דן dit :

    En outre, un grand Bravo pour toutes les décisions courageuses, pour rétablir de la justice et des vérités historiques inaltérables, prises par le meilleur président des États-Unis d’Amérique, Donald Trump, pour son propre peuple et en toute logique, pour les plus grands alliés de son propre peuple, comme Eretz Yisrael ! En espérant, בעזרת השם, que d’autres décisions courageuses et historiques, seront très vite prises dans beaucoup de domaines importants comme la reconnaissance de l’ensemble de la Judée-Samarie comme faisant partie intégrante d’Eretz Yisrael Shelanu, la destruction totale et définitive de la République islamique terroriste d’Iran et de l’ensemble des ennemis de la civilisation occidentale judéo-chrétienne, des États-Unis d’Amérique et d’Eretz Yisrael, le retrait américain et le démantèlement de toutes les « organisations internationales » mahométanes comme l’ONU, de toutes les « ONG » mahométanes, de tous les traités internationaux, qui ne sont là que pour servir un « État de droit » complètement dévoyé qui n’est, qu’en réalité, qu’une dictature des juges, représentant les élites mondialisées et imposant l’Islam aux peuples et nations du monde entier. Enfin, il serait grand temps de réparer une erreur historique majeure, et d’enfin sortir de la liste des organisations terroristes du FBI, les mouvements Kach, Kahane Chai et Jewish Defense league, qui ne sont, en réalité, que des organisations de défense juive lorsque les juifs sont attaqués, et que les autorités politiques ou judiciaires, ne font pas leur travail de protection, soit par peur, soit par « padamalgame », soit (le plus souvent le cas !) par complaisance et sympathie pour les antisémites, notamment lorsqu’ils sont d’origine étrangères (pour ne pas dire mahométanes) ! Par ailleurs, pendant ce temps-là, de vrais organisations terroristes comme les organisations soutenant le BDS, les Antifas et Black lives matter, qui s’en prennent localement aux populations juives et blanches, ne sont pas considérés comme des organisations terroristes par les autorités américaines et ce malgré, leurs émeutes ultra-violentes, la mort d’un enfant blanc de 5 ans abattu d’une balle dans la tête, par son voisin noir, juste parce qu’il était blanc (dans un silence médiatique assourdissant !) les trop nombreuses attaques restés impunis, dans les rues des villes américaines, notamment démocrates, lors de leurs émeutes organisées, contre les personnes et les biens de manière ciblées, parce que juives ou blanches ainsi que leurs appels répétés, au meurtre des juifs, comme c’était notamment le cas, lors des émeutes pogromistes de Fairfax, organisés par le mouvement Black lives matter et malgré tout, ils ne sont toujours pas reconnus comme organisation terroriste pendant que des groupes de défenses juifs, sont reconnus comme tel ! Il est grand temps que, בעזרת השם, le président Trump largement réélu, si on retire les fraudes électorales massives, change les choses et répare des erreurs historiques majeurs !

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