
Le député mélenchoniste LFI Kerbat qui finançait ses achats de drogue avec l’argent de la réserve parlementaire de retour à l’Assemblée. Pour lui, la victime dans cette affaire, est le dealer mineur auprès duquel il s’approvisionnait
«Maintenant, j’ai une force.» Neuf mois après avoir été pris en flagrant délit d’achat de drogue dans le métro parisien, le député Andy Kerbrat, membre de La France insoumise (LFI) fait son retour à l’Assemblée nationale. Que s’est-il passé entre-temps ? «Comme des milliers de Français, je me suis rapproché d’un addictologue et j’ai demandé à rentrer en cure dans une unité à Nantes de l’hôpital public», a expliqué le mélenchoniste, invité sur RTL. Une prise en charge d’une durée de deux mois qui lui a permis de «prendre en conscience de [son] déni et de l’égoïsme de [sa] situation». Désormais, le mélenchoniste assure être «abstinent», même si son addiction «vit» en lui.
Andy Kerbrat en a profité pour revenir sur la genèse de son addiction – il consommait notamment de la 3-MMC, une drogue de synthèse en vogue dans la capitale. Décédée en octobre 2022, sa mère n’a jamais pu lui apporter les réponses à ses questions concernant l’inceste qu’il a subi durant son enfance. «Tout ça m’a explosé à la gueule et le seul moyen que j’avais pour taire cette souffrance c’était cette mauvaise solution de l’addiction», a-t-il expliqué, remerciant Sandrine Rousseau, Éric Coquerel ou encore Jean-Luc Mélenchon pour leur soutien.
Même s’il a pensé à démissionner, l’Insoumis a choisi de rester député pour «porter la dignité des personnes comme [lui]». «Je veux en faire un combat», a insisté Andy Kerbrat, même s’il affirme avoir conscience que «le stigmate [lui] restera à la peau». À l’Assemblée nationale, il compte s’engager en faveur de la «dépénalisation médicale» de certaines substances illicites, au motif que «ce n’est pas parce qu’on interdit le malheur qu’il n’existe pas».
«On met des amendes pour régler les problèmes de drogue et on n’accompagne pas les gens vers la sortie», s’est lamenté Andy Kerbrat, dénonçant une «répression absurde». Une répression dont aurait été victime le mineur qui lui a vendu de la drogue, le jour de sa rechute. «Ce mineur, c’est toute ma souffrance en réalité, c’est tout le poids que je porte. La victime dans cette affaire ce n’est pas moi, c’est lui», a-t-il confié.
Source
Le Figaro
Il y a de plus en plus de similitudes entre LFI et Macron je trouve. Le poudré ne se fournit pas dans le métro, certes. Le poudré est hautement antisémite comme le sont les sous-raclures LFI … etc… la liste est longue. Pauvre pays, pauvre peuple manipulé. La haine d’Israël du tyran pervers, lui fait désormais ouvrir les portes aux gazaouis … l’intifada en France, LFI va adorer !