
Macron nous prend pour des billes avec son 12 juillet pour la réhabilitation de Dreyfus
« Désormais, chaque 12 juillet, se tiendra une cérémonie de commémoration pour Dreyfus, pour la victoire de la justice et de la vérité contre la haine et l’antisémitisme », écrit le chef de l’État dans une déclaration aux Français publiée par l’Élysée.
La première cérémonie aura lieu en 2026, à l’occasion du 120e anniversaire de la reconnaissance de l’innocence du capitaine Dreyfus par la Cour de cassation. « Ainsi, Alfred Dreyfus et ceux qui ont combattu à travers lui pour la Liberté, l’Égalité et la Fraternité continueront d’être l’exemple qui doit inspirer notre conduite », souligne le président.
Des mots creux.
L’antisémitisme est en lui-même une forme de haine. Dire « haine et antisémitisme » est donc une redondance. L’antisémitisme est aussi l’expression d’une injustice fondée sur le mensonge et l’affabulation. Se battre contre l’antisémitisme, c’est se battre contre la haine, le mensonge, l’injustice. Point.
Mais l’affaire Dreyfus est une affaire qui s’est bien terminée : il a été réhabilité, et les coupables, désignés. Qu’en est-il des affaires sous la Cinquième République ?
Myriam Monsenego (8 ans), Gabriel (3 ans) et Aryeh Sandler (6 ans), et leur père Jonathan Sandler (30 ans), assassinés à Toulouse.
Ilan Halimi, torturé à mort.
Philippe Braham (45 ans), Yohan Cohen (20 ans), Yoav Hattab (21 ans) et François-Michel Saada (64 ans), tués à l’Hyper Cacher.
Sarah Halimi, Mireille Knoll, Sellam le DJ, et cette jeune fille de 12 ans violée à Courbevoie.
Des crimes bien réels. Pas des erreurs judiciaires militaires, mais des dénis de justice bien volontaires. Que fait la République ? Rien. Strictement rien. Aucun regard dans la glace. Tous ces actes antisémites, comme des centaines d’autres, sont passés à perte et profit.
Monsieur Macron restera l’homme des mots sans actes. Un président volontairement impuissant face à l’antisémitisme, qu’il contribue à alimenter à travers ses médias d’État, où la haine d’Israël et des Juifs est distillée quotidiennement, parfois ouvertement, parfois de façon insidieuse.
Dans le même temps, il cherche à imposer, sur la terre juive, un État terroriste baptisé Palestine, avec Jérusalem comme capitale.
Dans le même temps, il ouvre grand les portes de la République à ses alliés : le Hamas, les Frères musulmans — représentés officiellement lors du 14 juillet 2025 par l’émir du Qatar, grand financier de la haine anti-juive dans le monde.
Dans le même temps, il veut sanctionner l’unique État juif pour le simple fait qu’il ose se défendre contre une barbarie génocidaire.
Dans le même temps, il hurle avec les loups, ceux qui osent traiter de génocidaires les survivants des génocides juifs d’Orient et d’Occident.
Dans le même temps, il s’interdit toute manifestation contre l’antisémitisme, de peur d’être perçu comme un ami des Juifs.
La France est-elle capable de mémoire et d’éthique ?
De droite comme de gauche, elle tolère que les Juifs vivent ici en étrangers, dans la peur. Mais elle s’indigne que ces mêmes Juifs puissent retourner vivre sur leur terre ancestrale et y faire valoir des droits pourtant bien plus légitimes que ceux que certains brandissent au nom d’un droit international rédigé par les vainqueurs, pour les vainqueurs.
En exigeant à tout prix la création d’un 23e État arabe en plein cœur du seul État juif, la France cherche à imposer une menace permanente à Israël, l’empêchant durablement d’accéder à la paix.
Prétendre se battre contre l’antisémitisme, c’est d’abord reconnaître aux Juifs, comme à toute autre nation, le droit de se défendre contre la barbarie.
Et face à cela, les institutions juives se taisent. Peur de compromettre leurs relations officielles ? Peur de perdre leur place dans les cérémonies ? Honteux silence. C’est notre responsabilité collective. Nous nous désintéressons de nos institutions, qui se désintéressent de nous. Et nous en payons le prix. Un prix qui, demain, pourrait être celui d’un départ précipité.
Faire preuve de vigilance
L’affaire Dreyfus a profondément divisé l’opinion française pendant plus d’une décennie, sur fond d’antisémitisme, de mensonges et de manipulations militaires.
Entre 1894 (son arrestation) et le 12 juillet 1906 (sa réhabilitation), Alfred Dreyfus a connu deux procès, l’enfermement, puis le bagne sur l’île du Diable en Guyane.
« Hélas, la filiation des antidreyfusards, antirépublicains et antisémites du début du XXe siècle ne s’est jamais éteinte », déclare encore le président.
« Nous savons qu’il faut faire preuve de vigilance et de persévérance contre ces vieux démons. Plus que jamais aujourd’hui », ajoute-t-il.
Entre janvier et mai 2025, 504 actes antisémites ont été recensés en France, selon le ministère de l’Intérieur — une baisse de 24 % sur un an, mais un doublement par rapport à 2013.
Des chiffres. Des mots. Bla-bla-bla.
Une loi contre l’antisémitisme dans l’enseignement supérieur ?
Philippe Baptiste salue l’adoption d’une proposition de loi contre l’antisémitisme dans les universités. Depuis les attaques terroristes du Hamas le 7 octobre 2023, les discriminations envers les étudiants juifs ont explosé dans l’enseignement supérieur comme dans toute la société. Déposée en octobre 2024, cette proposition vise à lutter contre ces dérives.
COMMUNIQUÉ DE PRESSE :
À l’issue de la navette parlementaire, le texte a été définitivement adopté. Il prévoit la création de sections disciplinaires interacadémiques, la désignation de référents racisme/antisémitisme, et une obligation de formation pour les membres des conseils académiques.
Le MESR financera également trois programmes de recherche sur l’antisémitisme dans l’enseignement supérieur. Une session de formation aura lieu le 4 juillet au Mémorial de la Shoah.
C’est nécessaire, bien sûr. Il est inacceptable que des étudiants soient victimes de violences pour leur foi ou leur origine. Ce texte envoie un message fort.
Mais…
Le même Philippe Baptiste, refusant de reconnaître l’existence de l’islamo-gauchisme, affirme qu’il « n’existe pas » en tant que concept universitaire. Il fait du macronisme : il parle beaucoup, mais ne sait plus où il habite.
C’est la France dans toute sa splendeur : un antisémitisme enraciné, dissimulé sous de beaux discours, où ceux qui prétendent le combattre s’acoquinent avec ceux qui le véhiculent comme LFI ou le Qatar.
Tous ces braves gens n’ont pas de colonne vertébrale. Des mollusques. Des invertébrés.
Source
JForum
Un Zola nous suffit.
Nous n’avons pas besoin d’un traître et d’un collabo.
Macron n’aime que les Juifs morts, ils lui servent de caution morale, ce type est pire que tout les précédents présidents de la république réuni sur 40 ans de comparaison !
Il a refusé de défilé contre l’antisémitisme et fait dessus de peur devant les banlieues et l’immigration , il nous impose et réparti des migrants partout en France lesquels on des mœurs totalement différent des nôtres une vision des femmes archaïques un amour du coran et l’antisémitisme qui les guides .
Et maintenant il nous ajoute en plus les gazaouis (que aucun pays d’Europe ne veut chez eux ) qui déteste Israël et les israéliens qui sont des alliées du hamas et ont massacré et violés des hommes et des femmes juives le 7 octobre 2023 .
Macron m’écœure au plus au point comme ils vous écœure vous aussi surement amis de la LDJ .
Cette démarche au premier abord bien justifié vis a vis du capitaine Dreyfus n’est en réalité qu’une énième façon de prendre les français pour des cons et parmi eux les juifs en particulier .