VIDEO : UN PHOTOGRAPHE DE L’AGENCE DE PRESSE FRANCAISE PROPALESTINIENNE,AFP,ARRETE PAR L’ARMEE ISRAELIENNE

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Ahmad Gharabli, photographe palestinien de l’Agence France Presse (AFP), a été arrêté par l’armée les forces de Sécurité dans le quartier de la vieille ville de Jérusalem après avoir provoqué et insulte des Juifs qui se rendaient sur le mont du temple.
Voilà comment L’AFP recrute ses journalistes

happywheels

5 Commentaires

  1. Vérité dit :

    Les islamistes et leurs complices de l afp: paieront pour leurs mensonges qui se retourneront contre eux…
    On constate que c est 1 repère de racailles illettrés antisemites nourrit de haine et gonflé d une jalousie illimitée et indécente 🤮

  2. Osh dit :

    Espérons qu’il ai eu droit à la fouille rectale

  3. Ziona dit :

    Bizarre : une large couverture de la raclée prise par le djihad nazi palestine mais peu de couverture sur ce qui s’est passé au Karabakh. l’agence France palestine aurait elle une hiérarchie sur les conflits ?

  4. Paul06 dit :

    L’afp si proche des terroristes palestiniens…

  5. Franccomtois dit :

    Parfait!!!
    Maintenant je vais vous faire monter la tension avec l´ »IMmonde » 🤮.Il serait bon de rappeler qu´elles furent les raclurent qui ont fondé cette énorme 💩!!!
    Même avec une trêve, Gaza restera une prison
    ÉDITORIAL
    Le Monde

    Le cessez-le-feu entre Israël et le Jihad islamique a suscité, comme à chaque fois, des communiqués laconiques. Pourtant rien n’explique pourquoi les pays qui peuvent prétendre à une influence sur les autorités israéliennes se montrent aussi absents et résignés à un faux statu quo.Publié aujourd’hui à 11h00 Temps deLecture 2 min.

    Le sort de Gaza était une fois encore suspendu à celui d’une trêve, lundi 8 août. En cause, les frappes commencées par Israël contre des responsables du Jihad islamique, un groupe armé palestinien que l’Etat hébreu et la majorité de ses alliés occidentaux considèrent comme terroriste. Elles ont été suivies en représailles de tirs de roquettes sur le territoire israélien, revendiqués par cette même organisation.

    Ce nouvel accès de violence, toujours plus coûteux en vies palestiniennes (plus de quarante en trois jours, dont des enfants, selon les Palestiniens), a suscité, comme les précédents et comme ceux qui suivront immanquablement, les mêmes communiqués laconiques. Nul doute que les chancelleries s’empresseront d’oublier Gaza une fois que les armes se seront tues.

    Lire aussi : Article réservé à nos abonnés A Gaza, un cessez-le-feu précaire et une impasse politique persistante
    Elles auront tort, comme elles ont tort de se désintéresser par lassitude et accablement de la destinée de cette enclave soumise depuis plus de quinze ans à un blocus impitoyable. Malgré les guerres de 2008, 2012, 2014 et 2021, ces quinze années de banalisation d’une situation inacceptable ont fait de Gaza, outre la mise en abyme de l’asymétrie du conflit israélo-palestinien, un territoire perdu de la conscience internationale.

    Un blocus mortifère
    Lorsque cessent les tirs de roquettes palestiniennes, interceptées pour l’écrasante majorité d’entre elles par la très performante défense antiaérienne de l’Etat hébreu, les Israéliens renouent avec une vie ordinaire. Il en va tout autrement pour les habitants de Gaza, qui restent soumis au même régime de punition collective, prisonniers de la même geôle à ciel ouvert. L’étroite bande de terre ne surnage que grâce à une aide extérieure étroitement contrôlée par Israël.

    Lire aussi : Article réservé à nos abonnés En Cisjordanie, les permis de circuler, outil de clientélisation pour Israël
    Les conséquences de ce blocus mortifère, qui a succédé à des années de régime d’exception, sont rappelées année après année par les organisations internationales comme la Banque mondiale. Il s’agit d’un taux de chômage et d’un niveau de pauvreté dévastateurs qui condamnent les Palestiniens à une vie sans avenir, de conditions d’existence de plus en plus critiques, notamment pour ce qui concerne l’accès à l’eau.

    La résignation internationale ne se limite pas, hélas, à Gaza. La politique israélienne d’expulsion en cours dans les quartiers orientaux de Jérusalem, les violences perpétrées par les colons israéliens de Cisjordanie comme la décision de transfert forcé d’un millier de Palestiniens du sud d’Hébron ne suscitent guère plus que des toussotements de plus en plus discrets. Et les nouveaux alliés arabes d’Israël, des Emirats arabes unis au Maroc, ont manifestement exclu d’obtenir, en contrepartie de normalisations historiques, la moindre avancée pour les Palestiniens.

    -Pour finir je me permet de remettre une video ou il faudra bien écouter le journaliste arabe,un homme de coeur et doté d´intelligence :
    -Délégation de Jeunes Militants #Musulmans Français & Belges en #Israel #LearnTheFacts #Palestine
    https://youtu.be/GtZT9fx1uVg

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