Yom Hevron : Le sionisme français montre la voie

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La tribune de Me Nili Naouri, coordinatrice Israel Is Forever
Ce 14 Août 2018, ce sont plus de 1200 juifs originaires de France qui ont répondu présents à l’appel d’Israël Is Forever pour un Yom Hevron exceptionnel. Quelques jours auparavant, lors d’une manifestation contre la Loi sur l’Etat Nation à Tel Aviv avaient été brandis les drapeaux « arabes palestiniens ». La plus puissante réponse qu’ont eu ces manifestants et tous ceux qui tentent d’annihiler le caractère juif de notre Etat d’Israël, a été un défilé mémorable de ces 1200 francophones, drapeaux d’Israël à la main, dans les rues de la Ville des Patriarches, Berceau de l’Histoire Juive. Les députés qui y ont participé ont été enthousiasmés par la ferveur de ces juifs fiers, leur amour pour Israël et leur mobilisation pour soutenir les pionniers de Hevron et les soldats qui gardent la Ville des Pères. Ainsi les députés Sharen Haskel et Shouli Moualem ont rappelé la place centrale de Hevron et son rôle unificateur. Le député Betzalel Smutrich a déclaré en voyant cette foule chanter et danser drapeaux Bleu-Blanc à la main qu’il n’y a pas de meilleur preuve que « Am Israel Hai », que le Peuple Juif est vivant et qu’il sera aussi victorieux.
Le défilé a débuté à la Yeshiva Shavey Hevron, partenaire de cette journée et où étudient des jeunes venus des 4 coins du Pays et qui servent tous dans Tsahal. Il est également passé devant les Maison Beth Lea et Beth Rahel, maisons rachetées à des arabes et investies par des familles juives faisant preuve d’une abnégation sans limite et d’une détermination sans faille afin de renforcer la présence juive à Hevron.
Les participants, qui avaient également pu découvrir l’Histoire de la Cité lors de visites guidées à travers les sites historiques de la Ville et la centralité de la Mearat Hamahpela, ont pu se rendre au Caveau des Patriarches pour y prier avec ferveur.

Un déjeuner était ensuite servi sur les pelouses faisant face à la Meara où nous a rejoint la Ministre Miri Reguev qui a conquis le public en dansant dès son arrivée sur l’air de la chanson « Israel Cheli », chanson officielle des 70 ans de l’Etat d’Israël. Dans son discours, elle s’est déclarée admirative du sionisme français et de l’action menée par Israel Is Forever et son président Jacques Kupfer en faveur de la souveraineté juive sur l’intégralité de la Terre d’Israël et le libre accès aux Lieux saints et en particulier au Mont du Temple. Elle a vivement critiqué l’UNESCO niant le lien entre le Caveau des Patriarches et le peuple juif, ainsi que les drapeaux terroristes brandis à Tel aviv et tous les opposants à la Loi sur l’état Nation. Le seul drapeau légitime sur cette Terre est le drapeau d’Israël.
Yaacov Hagoel, vice-président de l’Organisation Sioniste Mondiale, a vivement encouragé la communauté juive de France à rejoindre son véritable foyer : Israël.
Jacques Kupfer, président d’Israel Is Forever et initiateur de cette journée depuis 31 ans, a félicité les participants pour avoir véritablement écrit une page de l’Histoire Juive de par leur participation à cette journée exceptionnelle. Le Sionisme français montre la Voie et par ce puissant défilé de Drapeaux dans la Ville de nos Patriarches, il a prouvé que face à ceux qui ont élevé la colombe de la Paix au rang d’idole, nous sommes les véritables héritiers d’Avraham qui a détruit les idoles et qui a rejoint la Terre que l’Eternel lui a donnée. Nous sommes les héritiers légitimes de tous ceux qui ont combattu durant des siècles pour l’indépendance d’un état Juif souverain. Jacques Kupfer a demandé à la Ministre d’expulser tous ceux qui ont osé brandir le torchon « arabe palestinien » car de la Mer au Jourdain, il ne doit y avoir qu’un seul drapeau : le drapeau bleu blanc frappé de l’Etoile de David. Et de la Mer au Jourdain, il n’y a qu’un seul propriétaire : la Nation Juive.
C’est ce credo qui restera ancré dans nos esprits après cette journée qui s’est terminée par un concert incroyable d’Itzik Dadia et d’un violoniste fabuleux qui ont fait chanté et dansé tout le public mais qui l’a aussi fortement ému en entonnant la prière pour les soldats de Tsahal, la Kabalat Ol Malhout et enfin une Hatikva très puissante.
En ce mois de Tishri, que l’Eternel exauce nos prières, qu’Il bénisse notre Peuple et notre Terre, et qu’Il protège la Ville de nos Pères afin qu’elle reste à jamais la Ville des Fils.
Source :
http://www.actuj.com/2018-09/israel/7136-yom-hevron-le-sionisme-francais-montre-la-voie

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4 Commentaires

  1. Hector dit :

    Effectivement, les juifs de France, partis s’installer en Israel apportent beaucoup à Israel, notamment en termes d’identité, les israéliens qu ont soifs de liberté à n’importe quel prix, sont désormais carencés en Histoire ( comme en math). Il a fallu notamment leur rappeler les accords de San Rémo qu’ils avaient totalement oubliés de leurs fondamentaux.

    S’agissant de Hevron, précisement, dans le cadre de cette époque, il est juste absurde de nier l’histoire de cette ville si sacrée pour le peuple juif, et dont la religion est fondatrice des monothéismes.

    Quand les religions monothéistes admettront leurs cohérences notamment par filiation avec la religion juive et travailleront le lien dont elles sont issues, elles auront franchi un grand pas et permettront enfin de protéger leurs fidèles de faux raisonnements et surtout des comportements et actes attentatoires à la dignité humaine.

    En 1929 à Hévron, un massacre a lieu suivant une configuration sociale et politique des plus classiques, mais qui ne sera plus toléré par le peuple juif:

    « Le 1er septembre, Sir John Chancellor condamne « les actes atroces commis par des groupes de criminels impitoyables et assoiffés de sang… meurtres perpétués sur des membres sans défense de la population juive… accompagnés d’actes de sauvagerie innommables. »

    « Cafferata témoignera devant la Commission d’Enquête à Jérusalem le 7 novembre : « que jusqu’à l’arrivée de la police britannique, il lui était impossible de faire plus que de protéger les Juifs se trouvant à l’abri dans l’hôpital et de garder les rues vides, car il était le seul officier britannique à Hébron, une ville de 20.000 habitants ».

    Par ailleurs, le bien fondé de cette loi est démontrables de mille preuves, notamment:

    « Voyage en Palestine », est le titre d’une œuvre écrite en 1695, par Hadrian Reland, cartographe, géographe, philologue et professeur de philosophie hollandais.

    Le sous-titre de l’ouvrage, rédigé en Latin, s’intitule : « Monumentis Veteribus Illustrata ». Editée en 1714 aux Editions Brodelet, cette belle histoire commence de façon quasi anecdotique, dans un rayon d’une librairie de Budapest, qui renferme des antiquités littéraires, dont une partie concerne le judaïsme : d’anciennes reliques, usées par le temps mais de grande valeur historique (et monétaire), parfois manuscrites, probablement dérobées, issues d’anciennes synagogues. Cette pièce peut aujourd’hui être consultée à l’Université de Haïfa et sur Google.

    L’auteur de cet ouvrage, l’un des premiers orientalistes, connaissait les langues hébraïque, arabe et grecque (ancien).

    En 1695, Relandi (ou Reland) est envoyé en voyage d’études en Israël, en Palestine d’alors, pour un objectif bien spécifique : recenser plus de 2500 lieux (villes et villages) apparaissant dans le texte du Tanah (Bible) ou de la Michna, dans leur appellation originelle.

    A chaque fois, Reland y mentionne le nom hébraïque tel qu’il apparaît dans le texte et le verset exact auquel il se réfère. Reland y fait également figurer son équivalent en latin-romain ou grec ancien. Outre ce remarquable travail linguistique, l’auteur opère surtout un recensement de l’époque, pour chaque localité visitée : d’abord une considération d’ordre général spécifiant que la terre d’Israël d’alors est pratiquement déserte, très peu peuplée.

    La majorité de ses habitants se concentre alors dans les villes de Jérusalem, Acco (Acre), Tsfat (Safed), Yafo, Tveria (Tibériade) et Aza (Gaza).

    Surtout, le constat établi par le géographe conclut à une présence dominante de Juifs sur cette terre, quelques chrétiens et très peu de musulmans, dont la plupart étaient des bédouins.

    Quelques remarques extraites de cette passionnante étude :

    Aucune localité d’alors ne propose de nom ou de source arabe.

    La grande majorité de ses villes ou villages possède un nom hébreu, quelques-uns en grec ou latin-romain.

    Pratiquement aucune ville qui possède aujourd’hui un nom en arabe n’en possédait à l’époque : ni Haïfa, ni Yafo, ni Naplouse (Shehem), Gaza ou Djénine.

    Il n’y a aucune trace dans les recherches de Reland de sources historiques ou philologiques établies aux noms arabes, plus tardifs, de Ramallah, Al Halil (Hébron) ou Al Qods (Jérusalem)

    En 1696, Ramallah s’appelle “Beteïlé” (du nom hébreu “Bet El”) Hévron s’appelle … Hévron et Méarat Hamahpéla (Caveau des Patriarches) : Al Halil, du nom donné à Avraham Avinou en arabe.

    La plupart des villes étaient composées de Juifs, à l’exception de Naplouse (Shehem) qui comptait 120 personnes issues d’une même famille musulmane, les “Natashe”, ainsi que 70 Samaritains.

    A Nazareth, en Galilée, une ville entièrement chrétienne : 700 chrétiens.

    A Jérusalem, plus de 5000 habitants, dont la plus grande majorité est juive, et quelques chrétiens.

    Reland n’évoque que quelques familles bédouines musulmanes isolées, composées d’ouvriers temporaires saisonniers, dans les domaines de l’agriculture ou de la construction.

    A Gaza, près de 550 personnes, 50% de Juifs et 50% de chrétiens. Les Juifs étaient essentiellement spécialisés dans l’agriculture : la vigne, les olives et le blé (Goush Katif). Les chrétiens s’occupant davantage de commerce et transport des différents produits de la région Tibériade et Safed étaient de localités juives.

    On sait surtout que la pêche du Lac de Tibériade constituait le principal emploi de l’époque.

    Une ville comme Oum El Fa’hem par exemple était complètement chrétienne : 10 familles.

    L’une des conclusions qui découle de ces recherches est la contradiction définitive et rédhibitoire apportée aux arguments arabes, à savoir l’affirmation d’une légitimité palestinienne ou même d’un « peuple palestinien ».

    On en veut pour preuve le fait même qu’un nom latin, celui de « Palestine », ait été repris à son compte par le camp arabe.

    cf http://www.kountrass.com/29129-2/

    En résumé, il faut savoir « pisser sur son territoire » et non pas laisser pisser les autres ( par mots et mises en scène pestilentielles CF Palywood) L’onu connait ces mises en scènes, notamment dénoncées en 2013 : Report of the United Nations High Commissioner for Human Rights on the implementation of Human Rights Council resolutions S-9/1 and S-12/1
    Addendum
    Concerns related to adherence to international human rights and international humanitarian law in the context of the escalation between the State of Israel, the de facto authorities in Gaza and Palestinian armed groups in Gaza that occurred from 14 to 21 November 2012*

  2. Hector dit :

    Pour un exemple de cette façon musulmane de pisser et d’apprendre à pisser aux enfants sur le territoire d’Israel aux vus de tous:
    la maman filme derrière sa fille qu’elle transforme en hyène avec toutes ses copines hyènes; Rien à voir avec les êtres humains et la dignité humaine.

    Elles savent qu’elles n’ont rien à craindre de ces soldats. DANS QUELLE AUTRE PAYS VERRA T ON PAREILLES MISES EN SCENE PUANTES?

  3. roni dit :

    tous ces enfants aujourd hui sont des ado ou jeunes adultes et ils sont en prison ou ont fait de la prison.
    ils sont dans le terrorisme…

  4. vrcngtrx dit :

    « lors d’une manifestation à Tel Aviv avaient été brandis les drapeaux arabes palestiniens »
    Israël est la terre des juifs, pas des arabes !

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