BEZIERS – VIDEO – Robert MENARD propose la CHARTE DES MOSQUEES

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BEZIERS – CHARTE DES MOSQUEES – La PROPOSITION… par Herault-Tribune

Robert Ménard, Maire de Béziers (Hérault) a présenté à la presse ce Jeudi 26 novembre la charte de bonne conduite qu’il propose aux responsables des cinq mosquées que compte sa ville.
Une déclaration liminaire et une charte en six points qui engagerait les imams à ne pas prêcher dans une autre langue que le Français à ne point proposer ‘appel public à la prière ou encore à ne pas promouvoir les textes et livres qui prescrivent le jihad ou la peine de mor.

DÉCLARATION LIMINAIRE

 Alors que l’état d’urgence a été décrété par le gouvernement français pour trois mois suite aux attentats de Paris du 13 novembre,

 Alors que les forces de police ont perquisitionné plusieurs mosquées et notamment celle de Brest dont l’imam entretient des liens avec certains responsables de la communauté musulmane de Béziers,

 Alors qu’un imam de Montpellier ayant déjà tenu des conférences dans une mosquée de Béziers vient d’être assigné à résidence par l’État,

 Il apparaît que s’impose une clari cation des activités des mosquées de Béziers. Dans ce but, la Ville de Béziers soumet aux imams et présidents des mosquées une charte en six points.

 L’approbation sans réserve de cette charte sera de nature à rassurer l’ensemble des habitants de la ville.

CHARTE DES MOSQUÉES DE BÉZIERS

 – 1- Les imams des mosquées de Béziers s’engagent à ne prêcher qu’en français et en toutes circonstances.

 -2- Les imams et dèles des mosquées de Béziers s’engagent à ne faire aucun appel public à la prière, notamment dans la rue,sous quelque forme que ce soit.
 -3- Les imams et présidents d’associations gérant les mosquées de Béziers s’engagent à ne pas poursuivre d’activités et à entretenir des liens avec des associations ou des mosquées, en France ou à l’étranger, appartenant aux courants les plus extrêmistes salfiste et Frères musulmans.

 -4- Les imams et présidents d’associations gérant les mosquées de Béziers s’engagent à ne pas diffuser les discours ou faire la promotion des cheikhs ou «savants» saoudiens wahhabites, des cheikhs des Frères musulmans de tous les pays.

 -5- Les imams et présidents d’associations gérant les mosquées de Béziers s’engagent à ne pas promouvoir les textes et livres qui prescrivent le jihad ou la peine de mort pour, entre autres, les apostats, les athées ou les homosexuels.

 -6- Les imams et présidents d’associations gérant les mosquées de Béziers s’engagent à ne recevoir aucun nancement d’un Etat étranger, d’une collectivité d’un Etat étranger ou d’une association étrangère.

source :

http://www.herault-tribune.com/articles/31928/beziers-video-robert-menard-propose-la-charte-des-mosquees/

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2 Commentaires

  1. Peuimporte dit :

    il faut ajouter a cette respectable charte

    X : couper les cordes vocales et les couilles de ce genre d’ Imam ( içi celui de Brest)

    https://www.youtube.com/watch?v=LO1PQ2jWxYU

    et le renvoyer chez lui a coups de babouches au cul….ces déchets n’ ont rien a faire dans notre Pays!

  2. Alice dit :

    ouais bon ! on oublie le passé qatari de MONSIEUR Ménard
    Robert Ménard, directeur général du Centre de Doha pour la liberté des médias… D’autant plus improbable que Reporters sans frontières, l’ONG de défense des journalistes fondée en 1985 par le même Robert Ménard, classait régulièrement le Qatar au fin fond du tableau de la liberté de la presse, vers la 80e place !

    Mais bon, la tentation de Doha a été la plus forte. En 2007, après une première entrevue, facilitée par des journalistes arabes, avec Cheikha Mozah, la deuxième épouse de l’émir, Robert Ménard croyait déjà en sa bonne étoile qatarie. Cette femme influente, décrite par ses visiteurs comme une réformatrice – ou une « despote éclairée », c’est selon – avait répondu favorablement, deux jours seulement après leur entrevue, à la proposition du fondateur de RSF : banco pour la création d’un centre, « un refuge pour tous ceux qui risquent leur vie ou leur liberté pour nous informer », comme dit le site Internet, à la condition que les journalistes secourus « n’appellent pas à la violence, qu’ils n’incitent pas à la haine ». La femme de l’émir s’engageait, à travers sa fondation, à mettre sur la table plusieurs millions de dollars. Une bonne opération de com’ pour le petit émirat, patrie de la chaîne d’info Al Jazeera, habitué à soigner son image sur tous les terrains.

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