
Israël a fait le sale boulot ! L’Europe doit payer
Par Amir Kahanovich
Israël a fait le sale boulot de l’Europe. Il est temps de payer.
L’économie israélienne sort meurtrie de la campagne contre l’Iran, avec des dettes élevées, de l’inflation et des taux d’intérêt élevés, tandis que l’Europe bénéficie d’une protection mais n’en porte pas le fardeau. Israël devrait adresser une demande claire à l’Union européenne : partager les coûts de la guerre, et plus encore, les coûts de votre sécurité actuelle.
L’auteur est économiste en chef et directeur général adjoint de Profit Financial Services
Après la fin de la campagne avec l’Iran (du moins pour l’instant), et la montée en flèche de la bourse locale et du shekel, une atmosphère positive de victoire et de prospérité s’est installée. Mais sous la surface, l’économie israélienne en ressort meurtrie, avec des dettes, une inflation et des taux d’intérêt élevés. En Europe, en revanche, on a continué à boire des expressos dans les rues de Milan et à dévorer des croissants à Paris, et à s’en tenir au plan de réduction de la dette et des intérêts provoqué par le coronavirus. Israël a payé seul les dommages causés aux capacités nucléaires iraniennes, qui sont également essentielles à la sécurité de l’Europe. Au lieu de remercier Israël pour ce service, l’Europe a continué à jouer le double jeu de l’humanisme et du pacifisme. Comme l’a dit le chancelier allemand Friedrich Merz ? « Israël a fait le sale boulot à notre place. »
Israël ne doit pas accepter cette situation. Il doit exiger clairement de l’Union européenne qu’elle participe aux coûts de la guerre, et plus encore, aux coûts annuels de sécurité, comme le font les États-Unis. Une telle participation aidera non seulement Israël à faire face aux coûts élevés, mais forcera aussi l’Europe à le reconnaître comme un partenaire stratégique, à assumer ses responsabilités et à soutenir ses actions, et pas seulement au sein des services de renseignement, et, par conséquent, à atténuer les critiques publiques à son égard sur le continent.
De tels paiements obligeraient les gouvernements européens à expliquer à leurs citoyens l’importance de soutenir Israël. L’Europe ne pourrait plus se contenter de « danser sur deux roues » : d’un côté, elle bénéficierait d’une protection militaire et, de l’autre, elle se targuerait des droits de l’homme, de l’universalisme et du dialogue entre les cultures.
Les États-Unis ont déjà posé les bases de la demande
Les États-Unis ont déjà posé les bases d’une telle exigence, en reconnaissant la valeur sécuritaire qu’Israël apporte à l’Occident en finançant de facto ses opérations. Ils l’ont fait encore plus clairement en exigeant récemment que le Japon et la Corée du Sud participent davantage au financement de leur défense américaine, et que les membres de l’OTAN investissent 2 % de leur PIB dans des dépenses de sécurité conjointes. Ni comme un don, ni comme une aumône.
Amir Kahanovich
Source
Jforum.Fr
Absolument et même du monde puisque tout le monde a peur du preneur d’otages apocalyptique légalisant le viol au nom de grimoires.
Seulement voilà, vu le triplet de « choses » qui se profilent, ces 70 nations qui regardent et commentent quand un autre travaille, vont avoir lourdement besoin de leur monnaie de papier et alliages – et même ça ne suffira pas.
Plus généralement il est possible de générer des fonds en les empruntant. Au public on dit « DETTE! » et le public a peur. Vu de haut, depuis le bureau de l’économiste, la « dette » liée à un emprunt revient à un accroissement des flux de confiance, momentanément. Cela ouvre juste des vannes de canaux de mouvement (économie) et permet de motiver tout le monde autour d’une obligation de se lever le matin et s’activer. Ils n’ont pas Hashem, que l’argent des vacances qui brille discrètement à un horizon intime. Le Rabbi à 770 N.Y.C. avait dit une chose similaire à son élève : « ils se trompent de temple mais c’est bien après D’ qu’ils courent » ~.
Ensuite il semble que l’apport ou le soustrait vers ou depuis une nation modifie ses capacités d’import-export. Ainsi une avalanche de fonds vers un pays donné peut réduire ses capacités à importer. Sauf que pour le coup il y a Haqadosh barukh Hu, Israel n’ayant pas pour mazal un point de plasma ionique clignotant la nuit pour faire coucou depuis des constellations. Yesh Israel ‘al rosho Shekhinat El.