Nicolas, 48 ans, vit encore chez maman, sans emploi, au RSA… devant la justice après avoir glorifié le Hamas et leurs massacres sur X (ex-Twitter)

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« Vive le Hamas. Vive Abou Obaïda (nom de guerre du porte-parole de la branche armée du mouvement, N.D.L.R.). » Tel est le message publié sur X (ex-Twitter) par Nicolas, un habitant de Magny-les-Hameaux (Yvelines), le 20 octobre 2023. Une publication en lien direct, évidemment, avec la crise qui secoue le Proche-Orient depuis le 7 octobre 2023 et l’attaque des Palestiniens du Hamas contre Israël.
Le mis en cause avait à répondre « d’apologie publique d’un acte de terrorisme », vendredi 5 janvier 2024, devant le tribunal de Versailles. Confiant, les deux mains sur le rebord du box des accusés, le prévenu n’a pas hésité à hausser les yeux quand le président lui a énoncé les faits qui lui étaient reprochés.
Comme il est d’usage, le tribunal a ensuite proposé au mis en cause un délai pour préparer sa défense. Nicolas a sondé son avocate. Elle lui a fait signe d’accepter et il s’est exécuté. « C’est votre droit », a commenté le président du tribunal. Une question restait alors en suspens : que faire de l’accusé dans l’attente de cette nouvelle audience ?
Nicolas a 48 ans. Il est, pour le moment, sans emploi (il touche le RSA, N.D.L.R) et vit chez sa mère. Il a une mention à son casier judiciaire : une condamnation à 5 ans de prison ferme. La raison, pour lui, de sa descente aux enfers.
« Après mon passage en prison, j’ai perdu ma grand-mère et mon père. Ensuite, j’ai fait un AVC, puis une dépression. Mes années en prison n’aident pas à convaincre les employeurs. »
Nicolas, le prévenu
Son plaidoyer n’a pas ému le ministère public. La procureure de la République a demandé son placement en détention provisoire. La défense, elle, a milité pour un contrôle judiciaire, arguant que l’interpellation de Nicolas est intervenue trois mois après les faits alors même qu’il n’avait fallu qu’un jour aux enquêteurs pour l’identifier et le localiser.
L’avocate du prévenu a également signalé que son client n’avait commis aucune infraction depuis son tweet. Le tribunal a visiblement été sensible à ses arguments. Un simple contrôle judiciaire, avec obligation de pointer toutes les semaines à la gendarmerie la plus proche, a été décidé. Le tribunal le jugera le 21 mars 2024.
Source

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3 Commentaires

  1. joseparis dit :

    Beau trouduc qui n’a rien d’autre à faire de sa vie que de cracher son antisémitisme pour se convaincre sans doute que tout ce qui lui arrive est la faute des juifs, des sionistes, d’Israël, etc… 48 ans à glander et à quémander les minimas sociaux, rester à vivre chez sa mère comme une merde. Aucune remise en question, aucune tentative de travailler, c’est tellement plus simple quand c’est toujours la faute des autres. Le pire c’est qu’il doit se considérer comme une victime ce connard.

  2. David dit :

    Le Hamas attire tous les ratés de la terre…..ainsi ils ont l’impression d’exister .
    Quant à certains ils méritent la potence….. haut et court comme à l’époque de l’Ouest.

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