Bayonne: le PCF VEUT FAIRE CROIRE QUE DES TAGS SONT ANTISEMITES ALORS QU’ILS NE LE SONT PAS
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Les tags, découverts ce dimanche matin, visaient une sculpture inaugurée par la mairie, ainsi que les locaux du Parti communiste et les affiches de leur candidat Fabien Roussel.
Les tags, l’un à connotation fasciste et l’autre injurieux envers le Pays basque, visaient également la sculpture de l’artiste Nestor Basterretxea, récemment inaugurée sur le quai Pedros, non loin de la mairie. Cet artiste, décédé en 2014, avait imaginé et créé une sculpture monumentale de 7 mètres de large et 3 mètres de hauteur par reconnaissance envers Bayonne.
Les intellectuels communistes de Bayonne confondent le pentagramme à 5 branches avec l’hexagramme de l’étoile David juive à 6 branches.EST CE INVOLONTAIRE DE LEUR PART ?
Le pcf est par essence antisemite et antisioniste. Il a abandonné les travailleurs au profit des migrants et des palestiniens et considère les juifs et Israel comme des persécuteurs, des assassins, des nantis, des spoliateurs, des voleurs, des colonialistes. Le CRIF pourrait appeler à ne pas voter pour le PCF, LFI, le NPA…
Bof le crif devrait s’en tenir à son rôle initial
Ça lui épargnerait ces critiques
C’est plus facile de tirer sur Israël et moins risqué que de critiquer les pays totalitaires
Les communistes sont des dinosaures laches et totalement stupides , passéistes qui n’ont plus rien à faire dans le monde tel qu’il est aujourd’hui.
Le pcf est toujours dans la manipulation. Il faut vraiment être de mauvaise foi ou être très con pour tomber là-dedans.
L’enquête a été rapide pour retrouver l’auteur de plusieurs tags visant le local du Parti communiste français, des affiches politiques et culturelles ainsi qu’une œuvre artistique de Nestor Basterretxea.
Grâce à la vidéosurveillance, un habitant de Boucau d’une quarantaine d’années a été interpellé pour ces faits qui se sont déroulés dimanche, vers 4 heures du matin.
Déféré ce jeudi devant le parquet de Bayonne, après avoir reconnu les faits, il a écopé de 140 heures de travaux d’intérêt général, dans le cadre d’une comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité, comme le rapportent nos confrères de la presse basque.
Déjà connu de la justice, il n’aurait pas agi de façon militante, comme certains tags pouvaient le laisser entendre, mais n’a pas davantage justifié son geste.
Du communisme E.T.A. que les jeunes voient comme une « colle » (je cite), à l’allégeance gauche populaire pro-gaza. Si confusion involontaire, cela rejoint les tentatives de dessiner des svastika en forme de poisson pané par d’autres illettrés et fiers.