BRUNO GOLLNISCH UN ANTIJUIF AUX COTES DE MARINE LEPEN :EN 2022 LES JUIFS SAURONT S’EN RAPPELER

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Gollnisch est membre du Conseil National du Rassemblement National. C’est une « figure historique du » Front Nationa »l devenu « Rassemblement National »
En ne condamnant pas les déclarations de Bruno Gollnisch sur les antisémites Ryssen et Sid.
Marine Le Pen se coupe définitivement du vote des Français Juifs

En dépit de ces multiples condamnations pour antisémitisme ou négationnisme, certaines voix se sont fait entendre à l’extrême droite pour dénoncer cette incarcérationde l’antijuif Hervé RYSSEN
Bruno Gollnisch, ex-député du RN (mais toujours membre du bureau national du parti) a dénoncé un «délit d’opinion».


Bruno Gollnisch rend hommage au dirigeant antisémite Pierre Sidos de l’œuvre Francaise

En 1987, avant le procès de Klaus Barbie, chef de la Gestapo de Lyon entre novembre 1942 et août 1944, Bruno Gollnisch dit comprendre le désir « légitime » des victimes de perpétuer le « souvenir de la guerre ». Mais il conteste un « procès spectacle » risquant de le détourner de sa « finalité », qui est de « juger un homme », alors même qu’on n’a pas « attendu le procès Barbie pour faire le procès du nazisme »62.
La même année, il apporte son soutien à Jean-Marie Le Pen, critiqué pour avoir parlé des chambres à gaz comme d’un « point de détail de l’histoire de la Seconde Guerre mondiale ». Bruno Gollnisch affirme que l’« affaire du « point de détail » n’a fait aucun remous » dans les rangs du FN63.

En mars 1990, Bruno Gollnisch invite à Lyon le député européen d’extrême droite et journaliste allemand Franz Schönhuber, ancien Waffen-SS, ancien président de l’Union des journalistes bavarois et alors président du parti nationaliste allemand Die Republikaner. Au cours de la visite, Franz Schönhuber affirme ne s’être jamais vanté d’avoir été Waffen SS, mais assure qu’il n’en avait « pas honte », en ajoutant : « J’avais alors dix-huit ans et j’ai eu le passé normal de 90 % des Allemands. Je répète, comme je l’ai fait mille fois, que, pour moi, le régime nazi était un régime criminel. ». Il exprime également son respect pour les « vrais résistants français ». Cette visite provoque la réaction de plusieurs centaines de jeunes juifs lors d’une manifestation organisée par le Conseil représentatif des institutions juives de France, soutenue notamment par le Parti communiste français64,65.
Le 5 juillet 1991, Bruno Gollnisch demande, lors d’une intervention devant le conseil régional de Rhône-Alpes, « le respect de la liberté d’expression pour les enseignants qui exercent un regard critique sur l’histoire de la Seconde Guerre mondiale ». Les élus socialistes et communistes, interprétant cette déclaration comme une défense du révisionnisme, quittent la salle en signe de protestation, et le président du conseil régional, Charles Millon, coupe le son du micro utilisé par Bruno Gollnisch66.

Dans une lettre adressée en février 1994 au quotidien Le Monde en réponse à un journaliste le décrivant comme intéressé par le révisionnisme, Bruno Gollnisch fait la mise au point suivante : « En réalité, je suis intéressé par l’Histoire en général, du paléolithique à nos jours, et pas particulièrement par tel ou tel aspect du drame concentrationnaire, au sujet duquel les opinions des spécialistes varient dans le temps comme dans l’espace. Toutes les victimes de ce drame ont droit à mon respect, de quelque façon qu’elles soient mortes. Et je m’honore de côtoyer au Front national plusieurs survivants67. »
En mai 1999, en parallèle à Jean-Marie Le Pen, il répond dans Faits et Documents à un courrier que leur avait adressé Robert Faurisson publiquement68.
Au cours d’une conférence de presse en octobre 2004, Bruno Gollnisch, répondant à des journalistes sur les résultats d’une enquête diligentée par Jack Lang sur les liens entre l’université Jean-Moulin-Lyon-III, le révisionnisme et l’extrême droite, tient des propos qui provoquent une controverse médiatique, puis judiciaire. Plusieurs associations l’accusent d’avoir tenu des déclarations négationnistes, ce qu’il conteste. Alors qu’il avait été condamné en correctionnelle en 2007 et en appel en 2008, la chambre criminelle de la Cour de cassation casse sans renvoi, le 23 juin 2009, l’arrêt de la cour d’appel de Lyon le condamnant à trois mois de prison avec sursis et à une amende ; la Cour considère que « les propos retenus dans la citation, qui renferment des énonciations contradictoires, ne permettent pas de caractériser à la charge du prévenu le délit de contestation d’un ou plusieurs crimes contre l’humanité »69,70.
Début 2012, des extraits de sa correspondance privée avec Robert Faurisson datant de 2009 sont publiés sur internet par un groupe intitulé « Antifanonymous »71,72. En octobre 2018, après la mort de Faurisson, il déclare que celui-ci a été « persécuté judiciairement »73 — ce qui lui vaut d’être recadré par Marine Le Pen74.

Bruno Gollnisch avec Yvan Benedetti successeur de Pierre Sidos

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2 Commentaires

  1. mike dit :

    J’espère que personne ici, n’est surpris ou déçu par la fifille de son père.

  2. Franccomtois dit :

    Quand on voit le débat avec micron,nous pouvions bien nous douter que cette femme n´était en rien un bien pour la France.Le RN,parti ou entreprise familiale?L´appellation Rassemblement National cela n´existait pas déjá sous le régime du pétain?cela aurait du mettre la puce á l´oreille de certains.Que va faire maitre Collard ami d´Israel(je crois)?Je pense que la mere lepen gonfle de plus en plus les gens,bon laissons les russes s´en occuper,je crois qu´ils leur doivent du fric au RN.
    Même si je ne trouve pas Zemmour trés palpitant,il peut quand même représenter une bonne alternative en politique.Onfray serait un bon second ou bon premier aprés c´est á eux de se dépatouiller.
    Bon ne parlons de la marine,elle n´existe plus dans le paysage politique,qu´elle disparaisse á jamais au du trou á Montretout.

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