France-Israël, même combat !

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La morale, notre devoir vis-à-vis de nos compatriotes juifs et notre
intérêt national, imposent de soutenir Israël.

par le Général Roland Dubois

En 1917, Clémenceau écrivait : « Je ne connais rien de supérieur à la nécessité des faits. Une fois qu’ils sont établis, il faut agir comme on respire ». La majorité de nos politiques est incapable d’appliquer ce précepte très simple ; aucun de nos dirigeants ne le fait vraiment ; les mieux intentionnés voient les faits avérés, mais retiennent leur souffle. Pas plus de discernement ou de courage dans les médias.
On a fait des progrès, pourtant. On consent maintenant à parler des incivilités d’une certaine jeunesse, de l’insécurité grandissante, du terrorisme, du narcotrafic et plus récemment de l’antisémitisme. On s’alarme ; enfin ; mais comme on déplore le mauvais temps auquel on ne peut rien sinon sortir le parapluie, comme s’il n’y avait pas lieu de s’interroger plus loin sur l’origine sociale des auteurs, de ces comportements, comme si c’était les fondements du corps social français ancien, jusque-là globalement en assez bonne santé, qui se détériorait de plus en plus vite. Ce n’est pas encore le cas, malgré la médiocrité de notre Education nationale impuissante à former des citoyens. Le mal est ailleurs.
Nos dirigeants ne sont sans doute pas aveugles mais, quand ils ne sont pas complices car idéologiquement hostiles à ce que nous sommes, ils sont lâches. Le parallélisme existant entre l’aggravation de ces maux et l’immigration folle que nous subissons, les amène, au mieux, à des discours, bien reçus par une majorité de Français, et quelques actes symboliques ; comme récemment l’expulsion d’une propagandiste nazie qu’on avait imprudemment accueillie et choyée quelques jours plus tôt. Un individu chassé, c’est de la « com » ; des charters pleins, ce serait de l’action.
Les migrants sont très majoritairement musulmans. Là est le problème principal ; et la cause de l’essentiel de nos malheurs. Stoppez l’immigration sauf choisie ; protégez ceux déjà là et qui acceptent notre civilisation, et chassez ceux qui refusent de s’assimiler et œuvrent contre nous ; vous règlerez du même coup tous ces problèmes ; avec de la patience.

Ménager la « rue arabe »
On n’en prend pas le chemin. La politique dans ce domaine, au plus haut sommet de l’état, semble conduite dans le seul souci de ménager la « rue arabe », dont on craint les débordements, tout en augmentant son potentiel explosif par l’arrivée continue de nouveaux entrants.
Comment expliquer autrement l’hostilité ouverte manifestée à l’égard d’Israël, affaiblissant du même coup notre lutte contre l’antisémitisme ? On épouse ainsi la thèse palestinienne pour qui juif et israélien c’est tout un. Et bien soit ! Voilà un petit pays, unique état juif de la planète, menacé d’annihilation par des états et groupes terroristes qui ne s’en cachent pas, et qui vient de subir un massacre abominable. On lui reproche de chercher à détruire totalement le Hamas, retranché au milieu de la population de Gaza, population globalement complice de cœur et victime consentante de ses maitres. Un cessez-le-feu avant l’éradication totale du Hamas laisserait des braises d’où repartirait inévitablement un nouvel incendie. Alors, évidemment, comme dans toute guerre conduite au milieu d’une population, il y a des débordements, dont ici l’évaluation est impossible en l’absence de sources d’informations indépendantes.
Cela ne devrait pas nous entrainer à prendre un parti hostile à Israël et à son peuple courageux sur qui nous devrions prendre exemple. Notre président veut reconnaitre la Palestine ; sans conditions préalables qu’il n’évoque plus . La Palestine qui n’a pas d’existence géographique, ni politique. Où, d’ailleurs, la placer sur une carte, à part la ville de Gaza, à défaut de remplacer Israël comme le proclame la publicité du Hamas relayée par LFI : « La Palestine du fleuve à la mer » ?
La politique arabe de la France qui, pour des raisons que je n’ai jamais comprises, a été la caution progressiste de tous les gouvernements français depuis le général de Gaulle, atteint maintenant son paroxysme puisqu’elle condamne ceux qui tiennent les avant-postes de l’Occident, et favorise sa propre islamisation.
Par la diaspora musulmane qui importe chez nous un antisémitisme qui avait disparu, nous sommes partie prenante indirecte du conflit. Il faut choisir son camp. La morale, notre devoir vis-à-vis de nos compatriotes juifs, et notre intérêt national, imposent de soutenir Israël et de sévir sévèrement sans trembler contre les auteurs d’actes antisémites ; c’est le même combat.
Nous devrions tous porter le ruban jaune.
Source
https://www.bvoltaire.fr/

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