
France occupée – Gaza : le prix de la victoire
Au mois de juin 1944, le débarquement en Normandie mettait fin au drame de l’Occupation.
La France retrouvait sa liberté et sa fierté. Le temps du renouveau et de la reconstruction commençait. Ce ne serait pas facile.
Selon un documentaire diffusé par France :TV en 2014, « Au cours de la Seconde Guerre mondiale, les bombardements alliés ont provoqué, entre 1940 et 1945, près de 60 000 morts en France… »
Soixante mille Français innocents, des hommes, des femmes qui n’avaient pas accueilli les Allemands à bras ouverts ; il y avait des résistants parmi eux. « Des centaines de villes furent sinistrées, certaines littéralement rasées. »
Ainsi à Orléans, lourdement touchée par les bombardements de mai et juin 1944. Le nœud ferroviaire mis hors d’action, des incendies se sont déclenchés dans le quartier de la gare et sur le pont ferroviaire de Vierzon. Deux bombes sont tombées tout près de l’hôpital. Internes, médecins, employés, enfants de la Pouponnière se sont réfugiés dans la cave.
Des incendies ont également causé des dégâts importants dans le quartier de la gare. L’église Saint-Paul et le centre-ville sont endommagés. Il y a eu de nombreuses victimes civiles. La ville est privée d’eau, de gaz, d’électricité et de téléphone.
« Descentes aux abris, hurlements des sirènes, maisons en flammes » On peut imaginer la panique devant la mort venue du ciel alors que le pays ne dispose d’aucun abri et que nul ne sait combien de temps les bombardements vont durer.
« Pour tous les Français qui vivaient près des sites stratégiques occupés par les nazis, la guerre fut d’abord l’expérience terrible du bombardement » conclut le rapport de ce documentaire.
Il ne fait pas de doute que ces bombardements étaient nécessaires. Il faut aussi rappeler que les pilotes alliés – et parmi eux des Français – prenaient des risques énormes dans ces sorties en territoire contrôlé par les Allemands. Il y avait les redoutables défenses aériennes, et la non moins redoutable Luftwaffe, l’armée de l’air allemande.
D’un autre côté, la tragédie de Mers el Kébir nourrit encore les rancœurs. À la suite de l’armistice signé par Pétain le 22 juin 1940, la Grande-Bretagne craint que la Flotte française, qui n’a pas été touchée et qui s’est mise à l’abri dans la base navale de Mers el Kébir en Algérie, ne tombe aux mains des Allemands.
Churchill exige qu’elle se saborde, ou qu’elle rejoigne les positions britanniques ou américaines. Un ultimatum en ce sens, envoyé au vice-amiral d’escadre Marcel Gensoul, étant resté sans réponse, la marine anglaise ouvrit le feu. Le bilan fut lourd tant en pertes matérielles qu’en pertes humaines.
1 295 marins périrent ce jour-là, la plupart dans le naufrage du cuirassé Bretagne, qui, touché de plein fouet, chavira et coula rapidement avec 977 officiers et hommes d’équipage.
La France aujourd’hui veut bien comprendre que les lourds dommages causés par les Alliés à une population innocente étaient nécessaires à la victoire, mais n’est pas prête à admettre qu’Israël est en droit de répondre à des provocations inimaginables soutenues par une population hostile.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Michèle Mazel pour Dreuz.info.
Sans remonter aussi loin:
https://www.lepoint.fr/monde/mossoul-les-degats-collateraux-de-la-guerre-contre-daech-05-04-2017-2117353_24.php#11
On n’en entend pas parler des morts collatéraux quand c’est la France qui les provoque pour combattre les islamistes de daesh ? Par contre dès que c’est Israël qui se défend, ce n’est plus la même chose, étonnant non comme dirait l’autre con d’aphatie ?
HS1:https://www.cnews.fr/monde/2025-06-11/ils-feraient-mieux-de-faire-quelque-chose-avant-quil-ne-soit-trop-tard-donald
HS2:https://www.cnews.fr/monde/2025-06-11/la-reconnaissance-de-letat-palestinien-par-emmanuel-macron-serait-un-desastre
Micron a fait de nous la risée du monde. La France a définitivement basculé dans le tiers-mondisme.
Je me souviens encore aujourd’hui..j’avais 15 ans du bombardement de Sakiet Sidi Youssef .
La France ayant usé son « droit de suite » quand les fellaghas traversaient la frontière tunisienne pour s’y réfugier.
Rappel :
bombardement de Sakiet Sidi Youssef est une opération militaire menée par l’armée française, dans le cadre de la guerre d’Algérie, sur le village tunisien de Sakiet Sidi Youssef le 8 février 1958, causant la mort de plus de 70 personnes, dont une douzaine d’élèves d’une école primaire, et 148 blessés parmi la population.
A cette époque Israël soutenait la France quand beaucoup de pays à l’ONU la condamnaient .
» Génocide » à Gaza ?
Acceptons les chiffres du Hamas soit 50.000 morts.. admettons.
Israël a abattu 25.000 terroristes. Reste 25.000 .
Il y a aussi les morts naturelles .
Sans compter les morts naturelles..il y a un « civil » tué pour un terroriste alors qu’il est admis dans une guerre de rues que le rapport est de UN pour QUATRE .
On est loin du compte .
PS: Le taux de natalité à Gaza est de 1 pour 3 .
Voilà un exemple de » génocide » où il y a plus de naissances que de décès même en temps de guerre .
Ce nombre de morts « limité » est dû à toutes les précautions prises par Tsahal ..ce qu’aucune armée au monde n’utilise .
Envoie de SMS, tracts , messages radio etc..
Malgré toutes ces précautions il y a encore des morts que ne souhaitait pas Tsahal du fait que le Hamas a toujours utilisé des civils pour se protéger .
Celà représentent encore des milliers de morts dans compter les blessés.
Où est le génocide ?