Geert Wilders : « je soutiens Israël face aux forces sombres du terrorisme »

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Geert Wilders, leader du PVV (Parti pour la liberté), a encouragé il y a quelques jours les dirigeants israéliens à intensifier les constructions de implantations juives en territoires disputés.
Son tweet fait suite à l’adoption par le Conseil de sécurité des Nations Unies d’une résolution anti-israélienne de plus.
« Obama a trahi Israël. (…) Mon conseil à mes amis israéliens : ignorez l’ONU et continuez à construire de plus en plus de localités juives », a écrit Geert Wilders sur les réseaux sociaux.
Par Valériane de Chardonnay – JSSNews
Source :
http://jssnews.com/2017/01/14/geert-wilders-je-soutiens-israel-face-aux-forces-sombres-du-terrorisme/

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7 Commentaires

  1. LIPSKER Ronny dit :

    Bravo Gert Wilders, c’est un Homme, il en a des C……s et c’est bien le seul dirigeant politique en Europe !

    En écoutant Ayrault commenter la conférence de Paris, j’ai envie de pleurer et de vomir en meme temps!

  2. Pierre Alain dit :

    Je soutiens Israël dans ses constructions et soutiens également Gert Wilders.

  3. Golmon dit :

    bravo mec !

  4. capucine dit :

    pendant ce temps là ….

    http://www.europe-israel.org/2017/01/conference-de-paris-le-president-hollande-pactise-avec-nos-ennemies-contre-israel/

    je suis du même avis que Geert Wilders ! Israël doit continuer de construire et même d’annexer d’office la Judée-Samarie et Jérusalem-Est
    qui UNE et INDIVISIBLE et non négociable

  5. Jean-Marc dit :

    On ne peut plus systèmatiquement accoler le terme d’antisémitisme à celui d’extrême-droite !
    Les antisémites d’aujourd’hui, déjà présents par le passé, se sont renforcés au bord opposé !

  6. Gilles-Michel De Hann dit :

    Vu des Pays-Bas, l’alliance avec Marine Le Pen paraît contre-nature. Car le populisme de droite à la néerlandaise présente des signes particuliers qui ne cadrent pas avec l’extrême droite française. Wilders, adepte du libéralisme, ne prône pas seulement le désengagement de l’Etat à tous les niveaux. Il défend aussi les droits des homosexuels et cultive une relation spéciale avec Israël. Sur ce point, très sensible aux Pays-Bas en raison des culpabilités laissées par la collaboration et la Shoah, les remontrances du Centre d’information et de documentation sur Israël (Cidi) ne sont pas passées inaperçues. Selon cette institution, le PVV a «renié ses principes» en s’associant à des partis antisémites. «Geert Wilders utilise l’europhobie comme arme politique, c’est son droit, analyse de son côté le ministre travailliste des Affaires étrangères, Frans Timmermans. Mais il va trop loin en laissant sa haine de l’Europe le pousser dans les bras de Le Pen et autres.»

    Pour l’historien belge David Van Reybrouck, auteur d’un impertinent – Plaidoyer pour le populisme -, très lu aux Pays-Bas, le phénomène Wilders révèle surtout l’existence d’une « Europe à deux vitesses, avec une élite diplômée d’un côté et les moins scolarisés de l’autre. Ces derniers ne bénéficiant d’aucun programme Erasmus et ne voyant pas les bénéfices à tirer de l’Europe, ils ont donc plus tendance à voter pour des partis europhobes, en tant que sous-classe peu écoutée ».

    La question centrale demeure : quelle alternative proposer ? Aucune réponse à trouver du côté de la gauche néerlandaise, qui n’est pas la seule à être en crise.

  7. Eretz dit :

    Toda rabba Geert.

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