JEAN CLAUDE LEFORT COMMUNISTE ET ANTISEMITE : QUOI DE SURPRENANT ?

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Un individu qui a été de 1971 à 1979 secrétaire particulier de Georges Marchais, secrétaire général du Parti Communiste Français et qui a accepté que son patron ait travaillé pour l’effort de guerre nazi sans sourciller peut aujourd’hui se permettre de mettre en cause une entreprise française juive .Il est logique avec lui-même.
Bien sur le communiste JC Lefort n’a jamais trouvé à rien dire sur la collaboration du PCF avec l’occupant nazi en 1940.

Âgé de 20 ans, Georges Marchais devient mécanicien ajusteur à l’usine aéronautique Voisin d’Issy-les-Moulineaux juste avant l’invasion allemande de mai 1940. Les usines aéronautiques de la région parisienne sont alors réquisitionnées par les Allemands pour produire notamment des avions Messerschmitt et pour la réparation d’avions endommagés. La production commence dès le début de 19413.
En décembre 1942, Georges Marchais est muté par l’entreprise sous direction allemande pour travailler chez Messerschmitt à Augsbourg (Allemagne), vraisemblablement en application de la loi de réquisition promulguée par le régime de Vichy le 4 septembre 19424.
Georges Marchais a affirmé être rentré en France dans les premiers mois de 1943. Il a peut-être été envoyé en permission en mai ou juin 1943. On ne sait pas s’il est retourné en Allemagne jusqu’à avril ou mai 1945 ou s’il s’est caché avec sa femme et sa fille jusqu’à la Libération5.
Au début des années 1970 et surtout à la veille des élections présidentielles de 1981, alors qu’il est une personnalité essentielle de la gauche et qu’on pressent que le futur gouvernement pourrait compter des ministres communistes, ses adversaires politiques ou d’anciens communistes l’accusent d’être parti travailler en Allemagne volontairement. À la suite de plaintes, deux décisions de justice auraient établi, sur la base de rapports d’historiens et de témoignages6 que Georges Marchais est bien parti en Allemagne sous la contrainte et qu’il percevait son salaire de la France, conformément à la loi de réquisition de 19427.
Selon l’historien Philippe Robrieux, Georges Marchais est donc parti travailler dans l’industrie de guerre allemande. Suivant la méthode habituelle de « tenue en mains » dans les mouvements politiques, y compris dans le mouvement communiste international, cette attitude non-résistante (comme celle de Maurice Thorez) fera plus tard de Marchais un militant soumis aux ordres des dirigeants soviétiques qui possèdent son dossier biographique. Les mêmes raisons qui pousseront après guerre à l’élimination des grands résistants au sein du PCF (Tillon, etc.) favoriseront donc l’ascension de Marchais au sein du parti

happywheels

8 Commentaires

  1. Yaacov dit :

    Ces francais me font vomir

  2. CHARLES ( COMME CHARLIE) dit :

    COMME PARTOUT DES BONS ET MAUVAIS COMMUNISTES
    CERTAINS SONT DEVENUS DES BONS ET DES MAUVAIS SOCIALISTES
    CERTAINS PAR LA SUITE SONT DEVENUS DE BONS ET MAUVAIS FN

    • Alice dit :

      ils n’ont fait que modifier le logiciel, s’adapter au marché, à la demande et dire qu’il y a toujours des gogos pour accrocher !

  3. CHARLES ( COMME CHARLIE) dit :

    VOIR LA VIE DE JEAN FERRAT renier les cocos lui étant bien difficile , juste un Homme reconnaissant !.

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