Le conseil départemental socialiste de Seine-Saint-Denis honore une terroriste poseuse de bombe du FLN, Danièle Djamila Amrane-Minne

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Selon Le Parisien, le conseil départemental de Seine-Saint-Denis a rendu hommage le 5 juillet 2025 à Danièle Djamila Amrane-Minne, en donnant son nom à la maison du parc de la Bergère à Bobigny, à l’occasion du 63e anniversaire de l’indépendance de l’Algérie.
Amrane-Minne devient à 16 ans une militante du FLN, puis agent de liaison et saboteuse. Elle participe notamment à l’attentat à la brasserie Otomatic lors de la bataille d’Alger, en janvier 1957. Une bombe avait été dissimulée dans la chasse d’eau des toilettes.
Condamnée à sept ans de prison, elle est libérée et amnistiée en 1962. Universitaire, elle rédige une thèse sur le rôle des femmes dans la guerre d’Algérie. Elle est morte en 2017 à Alger.
« Le nom de Danièle Djamila Amrane-Minne reflète à lui seul les liens inextricables […] entre le peuple algérien et le peuple français », a déclaré Stéphane Troussel, président socialiste du département. Il a aussi évoqué « une mémoire difficile, douloureuse, blessée par l’occultation des crimes de la colonisation ».

Djamila Amrane-Minne[1], née Danièle Minne, est une écrivaine, poète, militante et professeure des universités née le 13 août 1939 à Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine) et morte le 11 février 2017 à Alger.
Fille et belle-fille d’activistes communistes condamnés à mort, elle est une militante du Front de libération nationale, une porteuse de valise et une poseuse de bombe pour le compte du FLN à Alger durant la guerre d’Algérie. Elle bénéficie de l’amnistie générale de 1962.
Installée en Algérie, après l’indépendance, elle devient le premier professeur en histoire de nationalité algérienne. Mariée durant la guerre à Khellil Amrane[5], tué peu avant le cessez-le-feu, elle épouse en secondes noces le frère de Khellil Amrane, Rabah Amrane[6]. Elle porte en prénom son nom de guerre, Djamila. Durant les années 1990, fuyant la violence en Algérie, elle enseigne l’histoire de la décolonisation en France, à l’université Toulouse II-Le Mirail ; elle est membre du Groupe de recherche sur l’histoire immédiate
Le samedi 26 janvier 1957, Danièle qui est encore mineure (17 ans) participe à un triple attentat du FLN dans trois brasseries de la rue Michelet, située dans le quartier européen. Elle accompagne la poseuse de bombe Zahia Khalafallah dans le bar Otomatic à Alger[8],tandis que ses complices déposent d’autres engins explosifs au Coq-Hardi et à La Cafétéria.
Le bilan de ces attentats est de « quatre femmes tuées, 37 blessés hospitalisés dont 21 femmes, dont deux dans un état alarmant » selon Le Journal d’Alger.
Condamnée le 4 décembre 1957 à sept ans de prison, incarcérée à la prison de Barberousse, transférée en suite en France, elle est libérée en avril 1962 du centre pénitentiaire pour femmes de Rennes et amnistiée en application des Accords d’Évian.

Le Parti Socialiste aime bien les terroristes

Les 23 et 24 avril prochain, Denise Hamouri, sa mère, sera en France. A cette occasion, elle a demandé à être reçue par le président de la République.
Le parti socialiste demande à N. Sarkozy d’honorer cette demande et d’intervenir auprès du gouvernement israélien.
Service de presse
PARTI SOCIALISTE
[email protected]
01 45 56 77 23
Un « Comité national de soutien » à Salah Hamouri a été créé en octobre 2008[36],[37], coprésidé par Hind Khoury et Stéphane Hessel. Jean-Claude Lefort, ancien député PCF et beau-père d’Hamouri, est le coordinateur national de ce comité.
Font également partie du Comité National de soutien des personnalités du Parti Scialiste, politiques ou non, telles que Marie-George Buffet, Noël Mamère, Christiane Taubira, Jean-Louis Bianco, Jack Lang, Alain Krivine et Olivier Besancenot, Albert Jacquard, Rony Brauman, Edgar Morin, Mgr Jacques Gaillot, Mouloud Aounit du Mrap ou l’acteur François Cluzet

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1 Comment

  1. V dit :

    Moralité, la gauche bobo valide l’extrémisme terroriste par utilisation d’explosifs dans la lutte décoloniale.
    (@ Français libres colonisés : à bons entendeurs !)
    .

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