
Le CRIF, sans décence, sans dignité et sans mémoire, oublieux de ses accointances avec la macronie et tous les pouvoirs en place
Il faut décidément une fois de plus se pincer tant on se demande si on a bien lu: Ne voilà-t-il pas Yonathan Arfi usant d’exclamatives pour s’indigner en français puis en anglais (!) de la « nazification d’Israël » qui « sert de carburant à l’antisémitisme crasse »:
« Voilà où nous en sommes ! La cause palestinienne sert de justification pour incendier une école La nazification d’Israël sert de carburant à l’antisémitisme crasse Quand on laisse gagner un discours populiste propalestinien, ce sont les Français juifs qui en paient le prix. La cause palestinienne dévoyée est en train de devenir un cri de ralliement haineux envers les Juifs et toute la République.
This is where we are! The Palestinian cause is used as justification for burning down a school The Nazification of Israel serves as fuel for crass anti-Semitism When a pro-Palestinian populist discourse is allowed to win, it is French Jews who pay the price. The perverted Palestinian cause is becoming a rallying cry of hatred against Jews and the entire Republic ».
Quand « on » laisse gagner un discours populiste propalestinien…
La prudence -ou l’extrême lâcheté- l’empêche bien sûr de désigner les responsables, Y. Arfi usant d’un « on » bien commode et si peu courageux
Les commentaires des internautes lui répondent combien les Français juifs n’ont pas oublié ces courtisans honteux qui aujourd’hui tentent de sauver la face à peu de frais.
SOURCE
https://www.tribunejuive.info/
Vous en parti responsable de collaborer avec cette ordure pic.twitter.com/idJz3942lD
— KFIR (@october071023) June 1, 2025
happywheels
👏👏👏👏
On a eu en France les comiques troupier au début du 20ème siècle. A 21ème siècle, on a les dhimmis troupier avec toute la camarilla micronienne du crif en représentation permanente. Ce spectacle est lamentable d’hypocrisie et de lâcheté au moment où ce que vivent quotidiennement les juifs de France est dramatique.
Soumise & collabo. La gôche dans toute sa décrépitude