SILENCE DE MACRON … :Le président libanais souhaite intégrer le Hezbollah à l’armée régulière
Sur la question des relations avec Israël, le président a déclaré qu’il n’y aurait pas de négociations de paix entre les deux pays
Dans une déclaration qui pourrait marquer un tournant, le président libanais Joseph Aoun a évoqué mardi un plan visant à intégrer le Hezbollah au sein des forces armées libanaises, en réponse aux pressions américaines et israéliennes pour désarmer l’organisation.
Lors d’une interview accordée au journal qatari Al-Arabi Al-Jadeed, dont l’intégralité sera publiée mercredi, Aoun a affirmé qu’une décision avait été prise selon laquelle « l’État seul possédera des armes », mais que ce processus se déroulerait par le biais du dialogue. Le président, ancien chef d’état-major de l’armée libanaise, a précisé que cette intégration serait conçue de manière à ce que le Hezbollah ne fonctionne pas comme une unité indépendante au sein de l’institution militaire.
Cette proposition intervient après la visite récente de l’envoyée américaine Morgan Ortagus au Liban. Selon Aoun, il aurait souligné à cette dernière « la nécessité de maintenir la stabilité interne dans le pays et d’éviter une spirale vers la guerre civile », justifiant ainsi son approche graduelle concernant le désarmement du Hezbollah.
Sur la question des relations avec Israël, le président libanais s’est montré catégorique, déclarant qu’il n’y aurait pas de négociations de paix entre les deux pays. Il a fait référence à l' »Initiative de paix arabe » saoudienne de 2002 comme cadre de référence pour toute évolution future des relations régionales.
Ces déclarations ont été faites pendant la visite d’Aoun au Qatar, où il a sollicité la poursuite du soutien de l’émirat, particulièrement en matière d’aide pétrolière et de financement des salaires des soldats libanais.
Cette proposition d’intégration du Hezbollah à l’armée nationale représente une approche inédite face à la problématique du désarmement de cette organisation, classée comme terroriste par plusieurs pays occidentaux mais jouissant d’une influence politique et militaire considérable au Liban.
Allez, une p’tite légion d’Honneur à Mao Tsé Toung? Un p’tit poste ministériel à Amalekon Skum et son embrouille de collecte de fonds pour rêveurs utiles? Un p’tit référendum oui ou non la solution à trois états et demi? Arbitre! Y zont tous fondu les plombs! וְהָיִיתָ מְשֻׁגָּע מִמַּרְאֵה עֵינֶיךָ אֲשֶׁר תִּרְאֶה
Que l’armée libanaise prenne ses responsabilités….le Hezbollah doit disparaitre .
S’il intègre l’armée libanaise il pourra se réorganiser et reprendre la lutte contre Israël et contre……le Liban .
Ils n’ont rien compris .
C’est maintenant que l’armée libanaise avec l’aide d’Israël doit détruire toute l’infrastructure du Hezbollah.
C’est une occasion unique de sauver le Liban .
Aucune faiblesse .
Le président de la France protège le Liban si proche du hezbollah, si haineux envers Israël, refusant l’ entrée d’ Israel dans la francophonie sans reaction de la France depuis des décennies… Une position très discutable.
Il est clair qu´avec une telle intégration c´est la désintégration du Liban!En espérant que les patriotes chrétien libanais qui sont pour une paix avec Israel et du coup une stabilité,un avenir qui en soit un prennent les devants et foutent en l´air ce genre de projet suicidaire pour la nation libanaise 🙏!
-Al Shlosha d’varim – Chant hébreux (A. E. Naplan)
https://youtu.be/gKG41Not_4c?feature=shared
« Le 7 octobre, je me suis effondrée » : les Libanais d’Israël déchirés entre la peur de la guerre et l’espoir de retrouver leur terre natale
La petite communauté libanaise chrétienne d’Israël suit la situation de très près. Chassés pour la plupart du Liban en 2000, ils soutiennent l’Etat hébreu en espérant pouvoir rentrer un jour sur le sol libanais.
Article rédigé parThibault Lefèvre
Radio France
-Tribune juive
Avi Kumar. Les chrétiens libanais qui se sont alliés à Israël sont reconnaissants, mais restent seuls et effrayés
8 juin 2023 Tribune Juive témoignage 1
Dans les années 1970, les chrétiens libanais avaient perdu leur statut majoritaire au Liban, ils ont donc cherché des alliés étrangers tels que la Syrie, Israël et les États-Unis, selon Barak. Du côté israélien, le Premier ministre de l’époque, Menachem Begin, et d’autres considéraient les chrétiens libanais comme un groupe persécuté, ainsi que comme un partenaire d’un ennemi commun : des groupes terroristes palestiniens comme l’OLP, alors basé au Liban.
JDD
Liban : ces chrétiens favorables à Israël
MINORITAIRES. Certains chrétiens ne cachent pas leur souhait de faire la paix avec l’État hébreu. Opposés au Hezbollah, ils se disent prêts à prendre les armes contre eux en cas de conflit ouvert.
Alexandre Aoun
20/05/2024 à 12:02, Mis à jour le 20/05/2024 à 12:06
Compte tenu des affrontements frontaliers entre l’armée israélienne et le Hezbollah depuis le 8 octobre et des conséquences sur le territoire libanais, à l’unisson, les hommes n’hésitent pas à admettre qu’en cas de conflit ouvert, ils prendraient les armes. « Aujourd’hui, nous souhaitons une intervention israélienne au Liban pour qu’ils éliminent une bonne fois pour toutes le Hezbollah, c’est la seule solution pour que nous puissions enfin vivre en paix dans cette foutue région », martèle élias. « Si demain il y a une guerre, nous sommes armés », prévient-il. En effet, à quelques pas de l’église, le chef du groupe de vétérans nous montre le lieu où ils s’entraînent à tirer sur des cibles avec différentes armes.
Toutefois, il est reconnu comme le principal interlocuteur par les États-Unis pour arrêter le conflit. Face à la présence syrienne au Liban, Bachir Gemayel n’hésite pas à se rapprocher d’Israël et à nouer des contacts directs avec Ariel Sharon. En raison de l’intervention des forces israéliennes au Liban, le dirigeant devient la coqueluche de l’État hébreu et est nommé président de la République libanaise en août 1982. Les autorités israéliennes le pressent de signer un accord de paix, mais il est finalement assassiné trois semaines après son élection à la tête du pays.
« À cette époque, lorsque les troupes israéliennes étaient dans le pays, nous collaborions avec eux », se rappelle élias avant de préciser que « certains sont même allés se former là-bas ». C’est notamment le cas de l’Armée du Liban sud (ALS) fondée en 1976 pour lutter contre la présence palestinienne dans les zones septentrionales. Cette milice a opéré en étroite collaboration avec l’armée israélienne. Les membres étaient principalement des chrétiens maronites. Jusqu’au retrait des forces israéliennes du Liban en mai 2000, l’ALS était responsable de l’administration civile de la zone sous contrôle militaire de Tsahal. Israël fournissait argent, armes et équipements logistiques.
🙏✝✡💪👍En espérant que mes frêres libanais sauront tendre la main á Israel pour conserver leur nation!