Son Excellence de la trahison : Barnavi, ambassadeur au service de l’ennemi

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De Serge Siksik,
Il est de ces personnages qu’on croyait relégués à la marge, engloutis par leur insignifiance, éteints par leur propre vacuité. Élie Barnavi est de ceux-là. Ambassadeur terne d’un Israël qu’il représentait sans voix ni vigueur dans une France gangrenée d’antisionisme mondain, il refait surface. Non pas pour éclairer, instruire ou rappeler les leçons de l’Histoire dont il se réclame en boucle, mais pour ajouter sa voix à peine audible mais empressée à la meute des accusateurs publics.
À son tour, le voici qui hurle avec les loups.
Dans une lettre adressée à Macron, Barnavi exhorte la France à imposer des sanctions immédiates contre Israël.
Le même Barnavi qui accusait son propre pays de « nettoyage ethnique ».
Il ose. Il ose, lui, qui n’a jamais su imposer la voix d’Israël quand il en avait la charge officielle, quand son rôle était de défendre, d’argumenter, d’éclairer. Face à Leyla Shahid, propagandiste antijuive aux relents tiers-mondistes, il bafouillait, s’effaçait, s’évaporait. Aucun sursaut, Aucune colonne vertébrale, Aucune conviction palpable.
Ambassadeur sans étoffe, historien sans mémoire, intellectuel sans épaisseur. L’homme a manqué à toutes ses fonctions. Il aurait pu être un rempart, il fut un paillasson. Il aurait pu rappeler au monde ce que le sionisme est : un droit à la souveraineté pour un peuple persécuté. Il préféra se draper dans l’ambiguïté et la posture pseudo-éthique.
Il n’incarnait ni la fierté juive ni la raison diplomatique. Il incarne aujourd’hui la honte d’un reniement.
Mais que cherche Barnavi ? Une chronique dans l’Im-Monde1 (appellation de GWG2) ? Une invitation sur un plateau radio ? Le frisson de la lumière médiatique, celle qu’il n’a jamais su apprivoiser lorsqu’il en avait la légitimité ?
Voilà que l’homme que l’Histoire a ignoré tente de réécrire celle de son propre peuple à l’encre du mensonge. Par orgueil. Par calcul. Par aveuglement.
Accuser Israël d’épuration ethnique, en 2025, alors que le pays panse encore les plaies du 7 octobre, alors que des enfants israéliens n’ont toujours pas été libérés des tunnels où ils sont enfouis vivants, c’est franchir la ligne rouge. Celle de l’indignité. Celle de la trahison. Celle qu’aucune étiquette universitaire ne saurait excuser.
Le crime d’Élie Barnavi n’est pas seulement moral. Il est symbolique. Il donne des armes aux ennemis d’Israël. Il confirme leurs pires fantasmes. Il légitime leurs calomnies. Il les renforce, eux qui rêvent d’un monde sans Juifs et d’un État juif éradiqué.
Élie Barnavi ne sera pas jugé dans un tribunal. Mais l’Histoire, qu’il prétend servir, le jugera. Et le verdict sera sans appel.
Car il est un prix à la trahison et il est toujours plus lourd pour ceux qui trahissent les leurs. SS♦

Serge Siksik,
Source
MABATIM.INFO
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1 https://www.lemonde.fr/idees/article/2025/08/05/elie-barnavi-et-vincent-lemire-monsieur-le-president-si-des-sanctions-immediates-ne-sont-pas-imposees-a-israel-vous-finirez-par-reconnaitre-un-cimetiere_6626640_3232.html
2 Gilles-William Goldnadel (NDLR)

happywheels

2 Commentaires

  1. benjamin dit :

    qui donc a nommè ce con ambassadeur d israel??il est tellement nul !aucune culture !du vent du courant d air !!alors il s agite et trahit son pays ! il faut lui retirer sa nationalitè israelienne :il pourra alors devenir citoyen gazaouite!il me fait penser a un autre calibre le delogu !!ils sont faits pour s entendre !!ces cons !

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