Terrorisme islamique : le spectre des retours du djihad inquiète en haut lieu
INFOGRAPHIE – S’appuyant sur une analyse du contre-espionnage, dont Le Figaro a eu connaissance, le chef du gouvernement assure qu’il faut «se préparer à résister» à «une menace supplémentaire pour notre sécurité nationale».
Manuel Valls a donné le ton ce mardi en matière de sécurité: «Près de 700 djihadistes français ou résidant en France se trouvent actuellement dans les zones de combat en Irak et en Syrie. Leur retour représente une menace supplémentaire pour notre sécurité nationale (…) il faut nous préparer à résister, le combat sera long.» D’autant plus long que la Belgique, si proche de la France et si intimement liée à la préparation des attentats qui ont déjà frappé Paris, estime, pour sa part, à 500 le nombre de ses propres ressortissants partis se battre dans les rangs de Daech.
Le ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve, a tenu à affiner les chiffres: «689 Français sont présents sur le théâtre des opérations, dont 275 femmes et 17 mineurs combattants.» Selon ses services, 195 Français sont présumés morts sur zone et plus de 180 en transit, tandis que l’Intérieur dénombre «plus de 900 velléitaires», preuve que la flamme djihadiste est loin de s’éteindre. Le gouvernement a puisé aux meilleures sources. Les chiffres égrenés ce mardi par l’hôte de Beauvau parsemaient, en effet, une note circonstanciée de 3 pages produite le 31 août dernier par la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI). Ce document, richement illustré, porte sur les «filières syro-irakiennes» impliquant des «djihadistes français». Ses auteurs insistent sur le «net fléchissement des flux de djihadistes français vers et depuis la zone syro-irakienne». Ce qui, contrairement aux apparences, n’est pas une bonne nouvelle.
Le service phare du contre-terrorisme français met en garde: «Le niveau de la menace terroriste sur le territoire national pourrait être aggravé par ces tendances. En effet, l’État islamique (EI) a adapté sa stratégie en exhortant ses partisans à passer à l’action dans leur pays d’origine. Plusieurs attaques récentes commises dans des pays européens, notamment en France, sont imputables à ces consignes de l’organisation.»
La DGSI assure avoir procédé à un «réexamen» des «parcours des individus» entrés dans ses radars. Et elle est formelle: «Au cours du premier semestre 2016, 18 individus seulement sont parvenus à rejoindre la zone syro-irakienne depuis la France, un volume près de 12 fois moins élevé que sur la même période en 2014.»
Selon ses analystes, «plusieurs facteurs se conjuguent pour expliquer cette tendance»: «L’effet dissuasif sur les volontaires les moins déterminés de la dégradation de la situation sécuritaire sur zone (…)»; «les appels de l’EI encourageant ses sympathisants à commettre des attentats dans leur pays d’origine, comme alternative à l’émigration vers la zone syro-irakienne» et puis «la mise en œuvre de mesures administratives d’entrave aux départs vers la Syrie, dont le renforcement début 2015 coïncide avec le début de l’inflexion du nombre d’arrivées sur zone».
La «coordination renforcée entre services de sécurité européens» ainsi que la «coopération accrue avec la Turquie» sont également mises en avant.
La note de la DGSI relève parallèlement que, durant le premier semestre de cette année, seulement «12 individus ont regagné le territoire national». Ce qui «confirme, selon ses experts, la volonté de nombreux djihadistes étrangers de s’installer de façon pérenne sur le territoire du califat». Ils ajoutent que «les départs potentiels d’individus déçus par leur expérience ou fuyant les combats sont quant à eux entravés par l’EI, qui exerce un contrôle strict sur son territoire et met en œuvre une répression brutale visant les “déserteurs” ou “traîtres” supposés».
Reste le cas des «décès sur zone»: «Avec 25 décès supplémentaires recensés au cours du premier semestre 2016, le nombre d’individus présumés morts en zone syro-irakienne a continué d’augmenter à un rythme soutenu, sous l’effet des frappes aériennes occidentales et russes, ainsi que de la participation avérée de djihadistes français aux combats sur plusieurs fronts syro-irakiens», assure la DGSI. Selon elle, «le rythme des décès est désormais supérieur à celui des arrivées sur zone». Elle révèle ainsi qu’«un djihadiste masculin sur quatre ayant atteint la zone syro-irakienne depuis 2012 a trouvé la mort». Bref, elle prédit «une contraction progressive du contingent de djihadistes français sur zone».
Son ultime commentaire n’est pas pour rassurer: «Ces tendances ne diminuent pour autant aucunement le niveau de la menace terroriste en Europe.» Et de citer en exemples l’attaque contre un couple de policiers et leur enfant le 13 juin dernier à Magnanville, puis celle contre un prêtre et ses fidèles à Saint-Étienne-du-Rouvray, le 26 juillet dernier. Sombre rentrée pour l’antiterrorisme.
Source :
http://premium.lefigaro.fr/actualite-france/2016/09/06/01016-20160906ARTFIG00287-terrorisme-islamique-le-spectre-des-retours-du-djihad-inquiete-en-haut-lieu.php
faut pas s’etonner de decouper le proche orient comme des branquignoles
de faire avec les accords de sikes picot depuis un bureau avec une regle et un compas des frontieres de bourrin
d’´ arroser les dictatures national socialistes arabes puis les printemps arabes
de flatter les petromonarchies et les abreuver de rafales et autres jouets pour faire la guerre
de coloniser l’algerie pour mieux l’abandonner tout en se laissant envahir par ses laissés pour compte
de faire rentrer par millions les travailleurs du maghreb puis leurs familles en les parquant dans les banlieues sans controler l’islamisme rampant puis galopant
et puis s’etonner d’un retour de boomerang
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IL SERAIT GRAND TEMPS S’EN S’EN APERCEVOIR , LES PRIVER DE L’IDENTITÉ FRANÇAISE, SI ON A SU LEURS DONNER, ON DOIT SAVOIR L’ENLEVER ET AU RETOUR PORTE FERMÉE = AUCUN RISQUE !.
ATTENTION GOLMON, L’ALGÉRIE N’A PAS ÉTÉ COLONISÉ, LA PRÉSENCE FRANÇAISE AVAIT ÉTÉ UN EFFET , JUSTE POUR LES REPOUSSER DES COTES … L’ALGÉRIE JUSQU’À LA LIBYE N’ÉTAIT RIEN D’AUTRES QUE DES PARTIES ENVAHIES PAR LES ARABES , ET CES POPULATIONS ONT TOUT SIMPLEMENT PRIS LA LANGUE ET LA RELIGION DE LEUR ENVAHISSEUR … BIEN ENTENDU LES FRANÇAIS SONT RESTÉ , ONT APPORTÉ ÉNORMÉMENT ETC …. ET FUT L’EXODE DES FRANÇAIS, DES JUIFS ETC … PAS DE DESTRUCTION D’HÔPITAUX, DE ROUTES, D’IMMEUBLES, DE CULTURES …. C’EST POUR CELA QUE J’EXPRIME QUE CE NE SERAIT PAS UNE HONTE DE LES RENVOYER CHEZ EUX , DE RETIRER LA NATIONALITÉ FRANÇAISE , QU’IL PRENNENT LEURS MOSQUÉES SOUS LES BRAS OU LES LAISSENT ;;;NOUS SAURONS QUOI EN FAIRE »AVEC QUELQUES AMÉLIORATIONS » EN SALLE DE CONCERTS ROCK OU ÉLEVAGE DE COCHONS !…OUI IL SERAIT BIEN TEMPS DU CHACUN CHEZ SOI , L’ISLAM FOUTEUR DE MERDES DANS LE MONDE ENTIER, N’AYANT AUCUNE PLACE EN EUROPE ET EN FRANCE !; OUI, LES ALGÉRIENS , »TERRE ET NOM CONÇU PAR LA FRANCE » COMPRIS TOUTE L’INFRASTRUCTURE Y COMPRIS ZONE PÉTROLIÈRE ET GAZÉIFIERE … ON SU FOUTRE HORS DU PAYS LES NÔTRES ….POURQUOI DONC SE FORMALISER ET NE PAS LES RESTITUER À LEUR PAYS , D’AUTANT QU’ILS N’ONT PAS PRIS DES GANTS POUR ‘LA VALISE OU LE CERCUEIL » POUR QUAND UN PRÉSIDENT EN FAISANT DE MÊME ?!.
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Ne plus en faire rentrer un seul et virer ceux qui posent des problemes serait je pense une solution pour commencer.Ensuite remettre de l´ordre en France et ceci á tout les niveaux.