Irlande: une partisane du Hamas élue présidente
Catherine Connolly, apologiste du Hamas, remporte les élections irlandaises
L’indépendant d’extrême gauche a refusé de condamner les meurtres du groupe terroriste, tout en dénonçant le « génocide » et la « suprématie juive » d’Israël.
Catherine Connolly, une politicienne indépendante d’extrême gauche qui a qualifié Israël d’« État terroriste » et a plaidé pour le maintien du pouvoir du Hamas à Gaza, a été élue dimanche 10e présidente de l’Irlande après une victoire écrasante sur sa rivale, Heather Humphreys.
Connolly, qui a refusé de condamner le massacre perpétré par le Hamas le 7 octobre 2023, a fréquemment commenté le « génocide » à Gaza, comme elle le qualifie, et critiqué les « atrocités » commises par Israël. Elle a déclaré à BBC News Irlande du Nord, pendant sa campagne, que le Hamas faisait partie intégrante du peuple palestinien.
L’Irlande est considérée au niveau international comme l’un des pays les plus anti-israéliens d’Europe, et Israël a accusé l’ancien président Michael D. Higgins d’être antisémite.
« Notre communauté s’inquiète assurément des positions prises par Connolly à l’égard du Hamas », a déclaré le grand rabbin irlandais Yoni Wieder à JNS. Elle ne semble « pas s’opposer à leur maintien au pouvoir, même s’ils violent et exécutent ouvertement leurs propres concitoyens », a-t-il poursuivi, en faisant référence au Hamas. « De telles opinions ne reflètent pas la vision d’une personne engagée pour un avenir sûr et pacifique », a-t-il ajouté.
Wieder a néanmoins félicité Connolly, ajoutant qu’il espérait qu’elle « utiliserait sa fonction pour unir plutôt que diviser, et pour promouvoir le dialogue, le respect et la compréhension au sein de la société irlandaise ».
Wieder a également déclaré qu’il espérait que Connolly « saisirait l’occasion, en temps voulu, de dialoguer directement avec la communauté juive d’Irlande, d’entendre nos préoccupations et de mieux comprendre comment le conflit continue d’affecter notre petite communauté ici ».
Interrogée sur le Hamas lors d’une interview accordée à la BBC le mois dernier, Connolly a déclaré qu’elle était « réticente à condamner sans équivoque » l’attaque du 7 octobre, au cours de laquelle des terroristes de Gaza ont assassiné quelque 1 200 personnes et pris 251 en otage.
« Je viens d’Irlande, pays au passé colonial. Je serais très prudent si je dictais à un peuple souverain comment diriger son pays », a déclaré Connolly lorsqu’on lui a demandé si le Hamas devrait jouer un rôle dans la gouvernance de Gaza.
« [Le Hamas] a été élu par le peuple lors des dernières élections. Il bénéficiait d’un soutien massif en 2006 ou 2007. Il fait partie de la société civile palestinienne. Nous comptons sur lui pour connaître les chiffres relatifs aux morts », a-t-elle ajouté, faisant référence au bilan de la guerre entre Israël et le Hamas.
En octobre 2021, Connolly a demandé au ministre irlandais des Affaires étrangères, Simon Coveney, si « indiquer son soutien au caractère juif de l’État israélien » signifiait que son ministère « était d’accord avec le traitement réservé par Israël aux communautés palestiniennes dans ses tentatives d’accomplir la suprématie juive ».
Tout au long de la campagne, Connolly a bénéficié du soutien des principaux partis d’opposition de gauche irlandais, notamment le Sinn Féin, le Parti travailliste irlandais et les sociaux-démocrates.
Source: JForum

L’Irlande était un ennemi politique d’ Israel, elle le demeure. Rien de neuf.
En 1939, le mouvement nationaliste irlandais (l’IRA), s’allie à l’Allemagne hitlérienne afin de chasser les Anglais d’Irlande du Nord.
Sur le bureau de Neville Chamberlain, Premier ministre du Royaume-Uni, une lettre attire l’attention. Son message, daté du 12 janvier 1939, est court : au nom de l’Armée républicaine irlandaise (IRA), Sean Russell, son leader, donne aux Anglais quatre jours pour quitter l’Irlande du Nord et rendre à l’île son unité, perdue en 1922 ! A Londres, personne ne prend au sérieux cet ultimatum. Il s’agit pourtant bien d’une déclaration de guerre. Une semaine plus tard, l’IRA fait exploser une série de bombes dans plusieurs villes anglaises, faisant 7 morts et 150 blessés. Mais le Plan S – comme sabotage – ne s’arrête pas là. Pendant des mois, près de 200 bureaux de poste, commissariats, gares, stations de métro, cinémas, hôtels ou encore magasins sont la cible d’attentats. Le gouvernement de Chamberlain fait arrêter des centaines de membres de l’IRA, mais rien n’y fait.
L’alliance de l’IRA avec les services secrets nazis
Cette campagne de terreur, Russell l’avait planifiée. L’affaire est peu connue mais, dans sa volonté de rétablir une Irlande unifiée, le leader de l’IRA avait noué des contacts avec l’Abwehr, les services secrets nazis. La déclaration de guerre entre le Royaume-Uni et l’Allemagne, huit mois plus tard, confortera le vieux slogan nationaliste irlandais : « England’s difficulty is Ireland’s opportunity. » (« Une difficulté pour l’Angleterre est une opportunité pour l’Irlande. »). Par haine de l’Angleterre, une centaine de nationalistes irlandais s’embarquent alors pour Berlin afin de se mettre au service du Führer. Parmi eux, William Joyce, ex-membre de la British Union of Fascists, et le romancier Francis Stuart. Tous deux deviennent les voix de la propagande radiophonique nazie à destination de l’Irlande. Et Russell ? Lui aussi prend la direction de l’Allemagne. Au début de l’année 1940, fort du succès de sa campagne d’attentats en Angleterre, il est recruté par le service de renseignement de l’armée du Reich, qui le forme aux techniques de l’espionnage. En août, il est fin prêt. Un sous-marin doit le déposer en Irlande. Mais Russell ne pourra jamais accomplir sa mission. Victime d’un arrêt cardiaque, il meurt durant la traversée.
Opération « Grün »
La disparition du chef de l’IRA tombe mal pour Hitler. Car l’Irlande était devenue, à ses yeux, une base idéale pour envahir l’Angleterre. Et il considérait l’IRA comme indispensable pour la réussite de cette opération baptisée « Grün » (« Vert »). Berlin était en lien, depuis des mois, avec cette petite armée composée de seulement 5 000 hommes. En février 1939, l’Abwehr avait envoyé une dizaine d’agents opérant sous couverture. Leur objectif ? « Aider l’IRA à créer les conditions d’un soulèvement général contre l’ennemi anglais et organiser une base d’opérations de sabotage », résume Pierre Joannon, auteur d’une Histoire de l’Irlande et des Irlandais (éd. Perrin, 2009). L’opération tourna au fiasco. La plupart des espions nazis présents sur le sol irlandais furent repérés puis arrêtés. Mais certains d’entre eux eurent le temps de livrer des renseignements à Berlin, notamment sur les activités militaires anglaises à Belfast. Les installations portuaires de la ville étaient en effet essentielles aux Britanniques pour mener la guerre contre l’Allemagne en mer du Nord et dans la Manche. Le résultat ne se fit pas attendre. Entre avril et mai 1941, la capitale de l’Irlande du Nord fut bombardée par la Luftwaffe, l’aviation allemande. Des milliers de bombes furent déversées sur le port et ses environs. Bilan humain : entre 700 et 1 100 morts, selon les estimations des historiens.
L’ampleur des pertes fut telle que l’onde de choc gagna le voisin irlandais. Dans un geste inattendu, Eamon de Valera, Premier ministre de la jeune République d’Irlande, décida de mobiliser les secours du pays. Les pompiers de Dublin se rendirent dans l’Ulster afin de prêter main-forte à leurs collègues nord- irlandais de Belfast, dont la plupart étaient unionistes, autrement dit favorables au maintien de l’Irlande du Nord dans le Royaume-Uni… Au-delà du geste symbolique, cette action de solidarité marqua un tournant dans la politique irlandaise qui, jusque-là, ne s’était jamais départie de la stricte neutralité qu’elle observait depuis le début de la Seconde Guerre mondiale. « Ce geste permettait aussi de montrer que l’Irlande n’était pas un havre de paix fasciste », analyse Alexandra Maclennan dans son Histoire de l’Irlande (éd. Tallandier, 2021). Mais, une fois l’aide d’urgence terminée, le Premier ministre demanda aux pompiers irlandais de rentrer dans leurs casernes… et retourna à sa neutralité initiale.
Une « neutralité bienveillante » ?
Neutre, l’Irlande ? Dès le début du conflit mondial, Eamon de Valera avait érigé en « principe intangible » cette politique. Le but était simple : démontrer au monde – et en premier lieu à l’Angleterre – que son pays était souverain. Le bombardement de Pearl Harbor, le 7 décembre 1941, soit quelques mois après celui de Belfast, et l’entrée en guerre des Etats-Unis ne modifièrent en rien les certitudes de De Valera. Winston Churchill, Premier ministre du Royaume-Uni, fut alors ulcéré. Le « Vieux Lion » envoya à De Valera un télégramme cinglant : « Now is your chance. Now or never. » (« Votre chance, c’est maintenant. Maintenant ou jamais. »), mais l’Irlandais resta sur ses positions. En apparence… Car cette neutralité irlandaise fut teintée de multiples gestes de bonne volonté. « Une neutralité bienveillante », résume Pierre Joannon. La preuve ? Les aviateurs anglais ou américains, combattants dans le ciel irlandais, furent secourus et rapatriés vers le Royaume-Uni, tandis que ceux de la Luftwaffe furent emprisonnés dans un camp situé dans la plaine du Curragh, à l’est de l’île. Autres signes tangibles, la police irlandaise informait sa voisine du nord de l’activité d’espions allemands et de leurs liens avec l’IRA. Les agents du G2 – le renseignement irlandais – œuvraient, eux, avec ceux du MI5 britannique.
Quant aux ambassades allemande, italienne et japonaise de Dublin, elles étaient surveillées, et leurs communications interceptées. Eamon de Valera, lui, n’empêchera pas ses concitoyens de s’engager dans les rangs de l’armée britannique (70 000 le feront), et laissera 180 000 travailleurs rejoindre les usines anglaises pour soutenir l’effort de guerre. Pourtant, jusqu’à la fin du conflit, De Valera tiendra à démontrer la neutralité de son pays. Bienveillante, lorsqu’il se rendra à l’ambassade des Etats-Unis pour transmettre ses condoléances au peuple américain après la mort du président Roosevelt, le 12 avril 1945. Choquante, quand il se rendra auprès de l’ambassadeur du IIIe Reich, deux jours après le suicide d’Hitler… Un geste qui ne sera pas sans conséquences. A la fin de la guerre, l’Irlande sera mise au ban des pays alliés et devra attendre dix ans avant de disposer d’un siège à l’Organisation des Nations unies. Le prix de cette étrange neutralité…

SOURCE
https://www.geo.fr/histoire/quand-lira-salliait-a-lallemagne-hitlerienne-211860
L’Irlande était un pays où pas mal d’entreprises délocalisaient leurs services, mais avec l’extrême gauche anti-juive, ça va changer radicalement. Quand on fait des mauvais choix on en paye le prix tôt ou tard. Je présents pour l’Irlande un retour à l’époque de la famine et des pommes de terre. Un retour à l’époque des guerres de religions, mais il ne faudra pas cette fois-ci accuser les « orangistes » d’en être responsables. Quand on choisit la peste, on en crève.
>
De l’IRA au HAMAS la route est déjà toute tracée, pauvre peuple d’abrutis qui n’a rien appris de l’Histoire !
c est vraiment un peuple d abrutis !cretins qui ne voient pas ou cette politique resolument antisèmite les mene !leurs liaisons avec le hamas et surtout le fplp sont bien connues !connards qui vont aller jusqu a declarer la guerre a l etat d israel sans doute !on va bien rigoler lorsque cela va arriver !!vite vite qu on rigole un bon coup !