Le Deal : Vérité et leçons.

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Par Jacques Kupfer

La commémoration du 75e anniversaire de l’ouverture du portail d’Auschwitz par un officier juif de l’armée rouge, le rassemblement d’une cinquantaine de Têtes Couronnées, Premiers Ministres et Présidents à Jérusalem, ainsi que le voyage et les discours historiques de la rencontre de Washington marquent notre temps. Quiconque n’a pas ressenti le souffle de l’Histoire correspond à ces sourds et ces aveugles qui ont des oreilles et des yeux mais ne voient ni n’entendent rien. Nous pouvons d’ores et déjà tirer les leçons de ces derniers événements.
Le Président Trump
Son discours à la Maison-Blanche émaillé de références bibliques et d’hommage au peuple juif «Lumière des Nations » reste un moment mémorable. Ce Président qui a reconnu Jérusalem comme Capitale de l’État d’Israël, y a transféré son ambassade, reconnu notre propriété sur le Golan, réaffirmé le droit légitime des réimplantations juives en Judée Samarie, dénoncé le Traité de Vienne dont bénéficiait l’Iran pour l’édification de son armement nucléaire, ordonné la fermeture du bureau des terroristes de l’OLP à Washington et soudé l’alliance entre les États-Unis et l’État d’Israël, mérite notre admiration.
L’élite médiatique autoproclamée, les politologues et commentateurs nous avaient affirmé que tout cela ne pouvait arriver et que le Président Trump se désengageait du Moyen-Orient. C’est pourtant lui qui a fait éliminer Bagdadi et Sulemani, imposer de nouvelles sanctions à l’ennemi iranien et retirer de toute négociation future le statut de Jérusalem, le plateau du Golan et les implantations juives.
Effectivement, cette approche du Président Trump lui a été inspirée par quelques juifs fidèles à leur peuple mais surtout par cette forte pression des évangéliques américains. Alors que les «réformés » et déformés juifs ou plutôt d’origine juive aux USA, continuent à apporter un soutien inconditionnel au parti démocrate et à leur déviation progressiste, nous assistons à l’émergence de cette force évangélique connaissant parfaitement la Bible. Et donc notre Droit ancestral.
Liquider le cauchemar d’Oslo
Notre Droit sur l’intégrité de notre Terre provient de la Promesse divine faite à nos ancêtres. Il est basé sur notre Histoire, notre fidélité bi millénaire jamais démentie. C’est pour cette raison que fut proclamée la déclaration Balfour et les accords de San Remo sur l’établissement d’un État juif sur les deux rives du Jourdain. « Nous sommes ici par la force du droit » déclarait Menahem Begin et non par le seul « Droit de la force ». Nous n’avons effectivement besoin d’aucune autorisation, d’aucune négociation pour rétablir notre Droit sur toute notre Terre.
Les calamiteuses forces de gauche, signataires de tous les plans de partage jusqu’aux criminels accords d’Oslo, ont réussi un véritable lavage de cerveau juif. Ils ont répété que la base de tout accord de Paix devait être la « frontière de 1967 ». Ils ont clamé que la ligne verte était une ligne sacrée à ne pas dépasser. Ils ont prétendu qu’après avoir perdu les trois quarts du territoire initialement prévu en raison de la création de la Transjordanie par les Britanniques, nous devions encore avoir un nouveau plan de partage. Ils voulaient surtout s’assurer que tout lien historique entre notre peuple et notre Terre soit amoindri. Ils ont remis le Mont du Temple entre les mains du WAQF, ont laissé le Tombeau de Joseph à Sichem entre les mains ennemies, abandonné la Tombe de Josué aux soins arabes, amoindri notre possession du Tombeau des Patriarches. Ils nous ont expliqué qu’il fallait donner pour obtenir la paix. Ils ont distillé dans notre inconscient l’existence d’un pseudo peuple « palestinien » qui aurait des droits sur la Terre d’Israël. Ils ont légitimé la présence d’un Arafat et d’un Mahmoud Abbas, terroristes et successeurs du Mufti de Jérusalem, comme interlocuteurs valables. Ils ont permis l’entrée de 40 000 terroristes sur notre Terre et les ont armés. Ils ont imprimé l’idée que l’on ne fait la paix qu’avec ses ennemis et qu’en conséquence il faut les préserver.
La politique américaine a démontré la vanité de ces théories défaitistes. On ne discute pas avec l’ennemi tant qu’on ne l’a pas vaincu. Il n’existe plus de ligne verte mais la ligne bleue du Jourdain. L’installation juive sur la Terre d’Israël est légitime. On ne doit pas payer pour recevoir ce qui est notre dû. Il est loin d’être négligeable que la première Puissance Mondiale reconnaisse la véracité de nos Droits ancestraux. Le Deal du Siècle est excellent sauf l’idée même de la création d’un État palestinien même démilitarisé, même enclavé. Pas plus que Jérusalem, la Terre d’Israël doit rester indivise ; elle est la propriété de tous nos ancêtres et le patrimoine des générations futures qui resteront fidèles à notre Foi et à nos lois.
Vers leur nouvelle Nakba.
Selon la formule consacrée, « les arabes n’ont jamais raté une occasion de rater une occasion ». Ils ont refusé, D. merci, le plan de partage de 1947, ont accru le terrorisme après les accords d’Oslo, ont refusé le plan de Barak (encore un chef d’Etat major !) qui nous ramenait aux lignes d’armistice de 1967, et ont rejeté le plan d’Olmert. Partout où ils ont accédé au pouvoir, ils ont réalisé une base d’agression. En fait, n’existant pas comme nation, ils n’ont aucune raison d’avoir un état. Leur seule volonté est la destruction de l’État juif au nom de leurs principes coraniques. Nous assistons à présent au refus du Führer de Ramallah devant le plan de paix américain.
Pourtant, les conditions pour une base de négociation demandées aux arabes est un strict minimum. Ils ne veulent pas reconnaître l’État d’Israël comme État juif (ils considèrent les Éthiopiens et les immigrés de l’ex Union soviétique comme non juifs). Ils refusent de cesser leur soutien financier aux assassins terroristes. Ils refusent de reconnaître Jérusalem comme capitale de l’État juif. Ils refusent d’être démilitarisés. Ils ne sont nullement intéressés à récupérer « leurs frères palestiniens » au sein de leur entité puisque les arabes du triangle ont manifesté leur hostilité à appartenir à l’entité palestinienne. Il est remarquable de constater que ces arabes, citoyens israéliens, ont manifesté leur volonté de rester en Israël avec pour emblème le torchon palestinien. En fait, après avoir obtenu les trois quarts de la Palestine mandataire pour créer l’État de Jordanie, après avoir obtenu le pouvoir au Hamastan de Gaza, après avoir maintenu la réclamation d’un État palestinien sur toute l’étendue de la Judée Samarie, les arabes exigeront l’autonomie en Galilée et au Neguev comme première étape. Leur seul et unique but est la destruction de l’État hébreu. Il y aura encore des juifs qui pleureront l’humiliation subie par nos ennemis mais pour toute personne sensée, les masques sont tombés. Une Terre ne se partage pas. L’ennemi arabe n’a aucune aucun droit à une parcelle de la Terre d’Israël. Si les arabes, résidants en Israël, ne veulent pas respecter notre Drapeau, notre Hymne et nos emblèmes, ils ont un choix simple : rejoindre l’un des 22 états de la Ligue arabe sans compter la France, la Belgique ou la Suède. Un état « palestinien » est une aberration historique, une erreur géographique, un danger mortel pour l’État juif, un cancer pour notre Pays dont il faudrait guérir ses métastases gauchistes.
Les réimplantations juives
Selon nos commentateurs politiques, notre gauche suicidaire et tous ces juifs réformés ou progressistes qui avaient soutenu Obama et Clinton, « les colonies juives représentent un obstacle à la paix ». Les médias gauchistes et les décisions de la Cour suprême ont tenté de montrer que la présence de juifs dans notre Judée et notre Samarie n’était qu’une forme de « colonialisme » dans ce qu’ils appelaient les « territoires occupés ». Selon la loi internationale, selon la reconnaissance des États-Unis mais surtout selon notre Droit, le retour du Peuple juif sur sa Terre lui ont rendu toute sa fertilité. La Terre d’Israël n’a qu’un seul propriétaire légitime : le Peuple juif.
Les « modérés » nous expliquaient qu’il fallait avoir juste quelque gros blocs d’implantations mais surtout ne pas essaimer à travers tout le territoire. Le résultat aujourd’hui est que le fait d’avoir imposé une présence juive dans de grandes et petites réimplantations, nous permet de réclamer toute notre Terre et d’y assurer, au plus, la souveraineté juive. C’est le moment où le peuple juif tout entier devrait saluer et remercier ceux qui ont été nos pionniers modernes au mépris des dangers. Que l’Eternel bénisse ces pionniers d’Israël qui ont payé un lourd tribut pour assurer la pérennité de notre présence.
Natanyahou
Il est indéniable que le positionnement d’Israël comme la septième puissance mondiale est largement dû à l’œuvre de notre Premier Ministre, Mr Natanyahou. Ses déplacements aux États-Unis, en Russie, en Afrique et en Amérique du Sud nous ont permis un rôle essentiel dans le concert des Nations. Nul doute que notre puissance économique, technologique, scientifique est un fait avéré. Il est donc tout à fait légitime de constater que la majorité du peuple juif établi à Sion le veut comme futur Premier Ministre. L’acharnement juridique à son encontre, le pouvoir exorbitant que s’attribuent des fonctionnaires censés être au service de la Justice, contribuent à lui attacher des soutiens.
Après avoir vu la lamentable prestation de Mr Gantz aux États-Unis, on ne peut qu’être horrifié du fait de confier le soin de négocier à ce personnage falot. Il est tout à fait compréhensible qu’après autant d’années passées à la tête de l’État, nombre de citoyens israéliens veulent un changement. Les campagnes médiatiques contribuent amplement au rejet de « Bibi ». Effectivement, son discours de Bar Ilan, ses atermoiements à établir la Souveraineté juive de la Mer au Jourdain, ont éloigné nombre de partisans. Il est toutefois une sage Loi juive qui devrait nous éclairer : « Éloigne-toi du mal et fais le Bien ». S’il y a un mal qui ronge ce pays, c’est bien le parti « bleu blanc ». Un amalgame de ratés et de frustrés de la politique qui s’avère incapable dans ces heures historiques, d’affirmer leur position par rapport à la future extension de la souveraineté juive en Israël. Une farandole de bégaiements politiques, d’absence de penser ou d’idéologie saupoudrée d’un maximum d’inaptitudes.
Il est indispensable que nous ne rations pas ce nouveau moment historique. L’Histoire de notre peuple nous démontre les dommages lourdement payés qui ont été causés par le Erev Rav et les explorateurs. Il est essentiel de donner la majorité parlementaire au Camp National. Le vote à Droite est une obligation historique, politique et morale.
Éloignons d’abord le mal et cherchons ensuite à améliorer le bien.
Jacques Kupfer

happywheels

7 Commentaires

  1. Claude dit :

    Parfait comme d’habitude .

    • BELLAICHE dit :

      une rectification : aux accords de San Remo ont déclaré que la rive est du Jourdain c’est a dire 78% d’eretz Israel serait pour l’état arabe et toute la rive ouest du Jourdain 22% serait pour l’état juif Judée-Samarie comprise alors pourquoi partager le partage des 22% ?

      • Lys dit :

        Pour info Bellaiche, dans le plan de paix de Trump, il n’est nullement question de partager la Judée Samarie mais bien au contraire de renforcer la présence juive dans cette région.

  2. Lys dit :

    Excellent ! Tout est dit.

  3. Rosa SAHSAN dit :

    Comme toujours monsieur Kupfer brillant.
    ROSA

  4. capucine dit :

    excellent comme d’habitude …

  5. benjamin dit :

    l opposition a cette avancèè historique de trump viendra aussi et surtout des gauchistes israéliens ou des reveurs juifs a cotè de leurs pompes !exemple venant de l ex premier ministre Ehud olmerde ! qui va tenir une conference de presse commune avec mahmoud abbas contre le plan americain !

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