LE PRIX NOBEL DE MEDECINE 2021 SERA-T-IL REMIS A L’IMAM DE MONTPELLIER ,MOHAMED KHATTABI ?

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Dire que la France prive le Maroc d’une pareille personnalité !

“Territoires conquis de l’islamisme” : Le prédicateur Mohamed Khattabi, officiant à la mosquée Aïcha de Montpellier, estime qu’Allah aurait contaminé la chauve-souris afin de rendre justice aux Ouïgours
Lire ci-dessous l’article de l’Express

Il y a un an paraissait “Les territoires conquis de l’islamisme” (PUF), enquête universitaire choc dirigée par Bernard Rougier, professeur à Paris-3 et directeur du Centre des études arabes et orientales. De manière rigoureuse, le livre décrit comment des “écosystèmes islamistes” se sont développés dans différents quartiers en France, sous influence d’une idéologie importée du Moyen-Orient et de l’Algérie du GIA. Une “prise de contrôle” par quatre forces principales de l’islamisme – Frères musulmans, tablighis, salafistes et djihadistes -, et qui a bénéficié du clientélisme local. Selon l’universitaire, cet islam conservateur et littéraliste a imposé ses normes sur certains territoires français, comme sur une partie de l’islam. Dans quelques jours paraîtra une édition augmentée de l’ouvrage, avec près d’une centaine de pages inédites dans lesquelles Bernard Rougier et ses étudiants analysent “l’actualité du séparatisme” de 2020 . En voici des extraits exclusifs évoquant le vote communautaire lors des dernières élections municipales, ou les réactions – étonnantes – de l’islamosphère face au Covid-19.
Le prédicateur Mohamed Khattabi, officiant à la mosquée Aïcha de Montpellier, estime en janvier qu’Allah aurait contaminé la chauve-souris afin de rendre justice aux Ouïgours. Selon lui, tout musulman qui refuserait d’entendre cette vérité adopterait un raisonnement athée et communiste : « Rien dans ce monde ne bouge sans la volonté d’Allah. Et ça, c’est notre foi. […] Je préfère mille fois croire que ce virus est un secours qu’Allah subhanallah wa taala, une justice divine pour faire justice dans une population qui a maltraité des humains, que de dire « Ah ! la chauve-souris, le serpent, l’humain ! » parce que dans ce cas-là je rejette Dieu, et donc Dieu n’a aucune action dans ce monde, et ce monde, il se met lui-même dans l’action, et donc je rejoins les communistes. Ils disent que tout passe par la nature, qu’il n’y a pas de Dieu. Faites attention, car certains musulmans refusent ce discours ! » […]
L’absence de remède connu par l’homme face à la propagation du Covid-19 génère rapidement une inquiétude très forte dans l’ensemble de la population, croyante comme non croyante. Face à une pandémie très importante et une gestion sociopolitique perçue comme globalement défaillante, le clergé musulman francophone a tout d’abord tenté de rassurer les communautés par une série de prières et d’invocations ayant pour fonction de protéger le croyant du virus. Citons notamment la tribune de l’écrivain Tawfiq Belfadel sur ce sujet, parue dans Marianne en mars 2020 : « Invoquer Allah : le meilleur vaccin anti-coronavirus ! »
Le prédicateur Abdelmonaïm Boussenna, un des imams les plus suivis de France sur les réseaux sociaux (700 000 followers sur YouTube, 526 000 sur Facebook) a ainsi diffusé sur YouTube un tutoriel à la fois médical et religieux à destination du musulman : « Le musulman ne doit pas s’inquiéter, il sait que les choses sont décidées par le Créateur […]. Même s’il est infecté par le virus, c’est le divin qui guérit […]. Pour terminer, les mesures à prendre comme indiqué dans la précédente vidéo, les voici. D’abord, il est important de supprimer cette idée reçue de nos esprits : le masque ne vous protégera pas de la contamination, si contamination il doit y avoir. »
Il cite ensuite une invocation, issue d’un hadith rapporté par l’imam Ahmad ibn Hanbal, à répéter pour se prémunir du virus : « ô Allah, je cherche refuge auprès de toi contre le vitiligo, la folie, la lèpre et toutes les maladies néfastes. »
Didier Raoult, le « Tariq Ramadan de la médecine »
La fracture entre pro-Raoult et anti-Raoult autour de la question de l’hydroxychloroquine divise la France mais aussi les musulmans.
Dès le début de la promotion par Didier Raoult du traitement à base de chloroquine comme remède potentiel au Covid-19, le site Alnas diffuse une fausse information relative à la présence de graine de nigelle dans le médicament évoqué par le directeur de l’IHU de Marseille. L’information est ensuite rapidement diffusée sur Facebook et Twitter, dépassant le simple cercle des musulmans de sensibilité salafiste.
Si cette information peut sembler étrange aux non-initiés, sa diffusion avait pour objectif de démontrer la véracité scientifique de la médecine prophétique, où la graine de nigelle (habba sawda) tient une place centrale. La diffusion de cette information constitue, par ailleurs, un danger pour la santé publique dans la mesure où l’huile de nigelle est un anti-inflammatoire qui peut aggraver les symptômes du Covid-19. Le même site, familier dans la diffusion de fake news, rapporte dans un article non sourcé que les baisses de vente d’alcool liées au confinement constituent le signe d’un retour général à l’islam dans le monde. Cette fake news sur la chloroquine comme médicament issu de la médecine prophétique est rapidement diffusée sur les réseaux sociaux avant d’être dénoncée par le quotidien d’information Saphirnews.com.
Malgré cela, la figure du Pr Raoult rencontre un succès très important chez de nombreuses figures de l’islamosphère. C’est le cas de militants contre l’islamophobie qui rappellent une tribune de Didier Raoult datée de 2015, dans laquelle il prenait position contre l’interdiction du voile à l’université. Parmi ses défenseurs, on retrouve aussi l’essayiste Idriss Aberkane, qui le qualifie de « héros », son rejet par les autres scientifiques démontrant une « corruption académique » généralisée. A l’inverse, des sites complotistes tels que Panamza prennent position contre le professeur Raoult, l’accusant – dans une rhétorique frôlant l’antisémitisme – de liens douteux avec la communauté juive, Israël, des mouvements sionistes ou encore le gouvernement français. La « controverse Raoult » divise tant la communauté musulmane qu’un internaute désigne sarcastiquement le professeur marseillais comme « le Tariq Ramadan de la médecine ».
Goussainville : la victoire d’Abdelaziz Hamida
Avec une forte diminution de l’abstention entre les deux tours de l’élection, passée de 62,11 % à 53,79 %, Abdelaziz Hamida a été élu, le 28 juin 2020, avec 38,58 % des suffrages, soit un total de 2 869 voix. Hamida avait déjà été candidat aux élections législatives en 2017 dans la neuvième circonscription du Val-d’Oise où il avait été en tête à Goussainville.
D’origine marocaine, Hamida a d’abord été un cadre du Tabligh, à l’image de son père Abd al-Salam, qui a dirigé l’association islamique de Goussainville. Son intégration dans le réseau transnational le conduit même à se rendre au Pakistan dans les années 1990 lors du rassemblement mondial du Tabligh. Il était très conservateur à l’époque, propriétaire d’une boucherie halal ; les habitants de Goussainville se souviennent qu’il s’interdisait de serrer la main des femmes et qu’il condamnait leur maquillage. A Goussainville, il accomplissait alors des « sorties » avec d’autres jeunes pour appeler les croyants à fréquenter la mosquée. Il aurait imposé, selon des proches, le port du voile à sa soeur au début des années 1990. Le même traitement aurait été réservé à sa femme : « C’est la première personne dont l’épouse était intégralement voilée », rapporte l’ancien membre de la direction du renseignement de la préfecture de police (DRPP) dans le Val-d’Oise, le policier Noam Anouar, qui l’a côtoyé au CM1 et au collège.
A partir de 2010, à l’heure du « printemps arabe », Hamida s’éloigne du mouvement piétiste pour s’impliquer dans les activités sociales de la commune. Il prend la tête du club de football de Goussainville et anime l’association de soutien scolaire le Jardin enchanté qui se propose également d’enseigner la langue arabe aux enfants. En 2011, il négocie avec le maire l’octroi du terrain où sera édifiée la mosquée Essalam de Goussainville où il fait venir des prédicateurs proches de la mouvance des Frères musulmans (il appelle les croyants à se rendre aux conférences de Tariq Ramadan). Il abandonne alors la piété ostentatoire prônée par le Tabligh à mesure de son insertion dans la vie locale. Devenu une personnalité emblématique du milieu associatif musulman, il est coopté par l’ancien maire Alain Louis (divers gauche) qui le place en position éligible sur sa liste lors des élections de 2014 pour obtenir les suffrages de la population musulmane.
Pendant la campagne de 2020, la rumeur selon laquelle il serait fiché S est perçue comme un atout sur le plan local :
« Les gens le voyaient comme la personne qui oeuvre pour le bien de la communauté, raison pour laquelle le gouvernement le met dans une liste de terroristes. Quand Hamida parlait de la diabolisation de l’Etat envers lui, il ricanait. Il s’en fichait complètement, parce qu’il savait que ça l’aidait à passer pour un sauveur de la communauté. Ses amis responsables de la mosquée aussi ne laissaient pas filer une occasion de faire campagne. Ils ont promis une grande mosquée, des écoles coraniques pour les enfants, du halal partout dans la ville », explique un fidèle de la mosquée Essalam.
L’équipe du candidat se réunissait régulièrement à la mosquée, à l’intérieur de laquelle des tracts favorables au candidat Hamida étaient distribués « pour faire campagne au nom de l’oumma », selon leurs propres termes.
Une citoyenneté de contestation se dégage de ces diverses configurations électorales. Comme sentiment d’appartenance, cette citoyenneté se développe à partir d’une dialectique entre les causes particulières (l’agrandissement de la mosquée, l’ouverture de l’école confessionnelle, etc.) et les causes générales (la défense de la communauté musulmane universelle) qui fait passer au second plan la communauté nationale, sinon pour en souligner le caractère hostile à l’islam. Rien ne caractérise mieux cette métonymie que les zakât (aumônes légales) aujourd’hui organisées à la sortie des mosquées en solidarité avec les réfugiés de Syrie, les Rohingyas en Birmanie ou les Ouïghours en Chine. Comme sentiment d’engagement, cette citoyenneté se manifeste par une adhésion publique « faible vis-à-vis des symboles du régime en place et forte vis-à-vis des symboles de remplacement ». Pareille forme de citoyenneté n’est pas le fait « des musulmans » en général, mais d’une minorité islamiste en leur sein, spécialisée dans les processus de contre-acculturation, dont l’ambition revendiquée est de parler en leur nom .
La décapitation du professeur Samuel Paty à Conflans-Sainte- Honorine le vendredi 16 octobre 2020 a posé de manière tragique la question de l’existence de milieux islamistes à l’échelle locale. Ces milieux représentent des systèmes d’action grâce auxquels un tissu d’associations et de personnalités militantes diffuse des croyances et des représentations identiques ou voisines dans un espace de mobilisation de plus en plus large (le jeune Tunisien de Sfax fraîchement débarqué en Europe qui a assassiné trois personnes dans la basilique de Nice avait la photo de l’assassin de Samuel Paty sur son téléphone portable).
Un tel système d’action active le sentiment subjectif d’appartenance à la communauté des croyants (l’oumma islamique), qui gomme toute épaisseur humaine et toute différenciation sociologique entre les personnes concernées, que ce soit dans leurs trajectoires, leurs socialisations ou les attitudes. Ces associations prétendent ainsi parler au nom des musulmans comme groupe de référence et défendre leurs intérêts et leurs valeurs. L’identification tous azimuts à des « causes musulmanes » de par le monde, sans compréhension réelle des enjeux en cause, contribue à cette construction.
S’ils ont pu investir avec tant de facilité la politique locale lors des derniers scrutins municipaux, c’est en partie grâce aux élus traditionnels – d’abord à gauche, puis, plus récemment, à droite – qui ont placé en position éligible des candidats chargés de puiser dans le réservoir de voix de quartiers populaires connus pour leur absentéisme électoral. La politique locale a ainsi contribué à produire des notables islamistes qui n’auraient pu émerger autrement. Cette politique s’est faite au détriment de jeunes mieux qualifiés, issus ou non de l’immigration, prêts à s’investir à l’échelle locale et nationale, disposés à s’approprier les valeurs de la France et de la République, et nullement désireux de se voir appréhendés à travers leur origine ethnique ou religieuse.
L’enjeu en termes de citoyenneté républicain est considérable. Il consiste à ne pas laisser la représentation des populations issues de l’immigration à des groupes idéologiques qui prétendent parler au nom de celles-ci. S’ils parvenaient à en contrôler les expressions majoritaires, cela entraînerait une crise grave du cadre républicain.

Source :
https://www.lexpress.fr/actualite/politique/territoires-conquis-de-l-islamisme-clientelisme-raoult-et-la-medecine-prophetique_2142778.html?utm_term=Autofeed&utm_medium=Social&utm_source=Twitter&Echobox=1611151694#xtor=CS3-5083

Mohamed Khattabi est un imam, prédicateur et conférencier de nationalité marocaine-canadienne, né le 19 juillet 1961 à Casablanca, au Maroc. Il est l’imam et recteur de la mosquée Aïcha de Montpellier.
C’est en novembre 2001 qu’il rejoint la mosquée Lumière et Piété de Nîmes. Il quittera la mosquée en 2003 après une agression sur sa personne à la suite de rumeurs d’attouchements sexuels, ce qui avait semé le trouble parmi les fidèles.
Il est contraint, en novembre 2013, de quitter la mosquée Averroès contre son gré, après l’avoir temporairement quitté deux fois auparavant. La première mise à l’écart en 2006 résulte d’un prêche favorable au mouvement terroriste chiite Hezbollah

En juin 2018, dans le cadre de l’affaire Tariq Ramadan, il considère que les aveux d’adultère de Tariq Ramadan ont été arrachés pour diviser les musulmans.
En juin 2020, il est mis en examen pour agressions sexuelles suite à la plainte d’une jeune femme, membre de sa famille, pour des faits « commis alors qu’elle était mineure, sur fond de prétendues pratiques religieuses ».
Mohamed Khattabi dispose d’une chaîne Youtube où il met à disposition tous ses prêches et cours, qui parfois ont fait l’objet d’une attention particulière de la part de l’opinion publique, notamment à la suite de certains de ses prêches qui ont retenu l’attention de quelques médias locaux ou nationaux, comme par exemple sa position sur les femmes ou l’Occident7. Il déclare notamment le 6 mars 2015 dans la un prêche en arabe que toutes les femmes sont égoïstes par nature, et que « si [une femme] succombe à sa nature et qu’elle refuse de reconnaître les droits de l’homme, ou plutôt, la supériorité de l’homme sur elle, elle devra aller [en enfer]… ».
Selon plusieurs analyses, il tient un double discours, affichant en français des propos différents de ceux tenus en arabe. Ainsi, le 6 mars 2015, dans la partie de son prêche en français sur les femmes, il prône l’égalité qui devrait être complète entre l’homme et la femme plus généralement, il alterne les discours progressistes et radicaux. La Gazette de Montpellier relève qu’« alors qu’il se présentait, dans un reportage du Monde, paru en 2013, comme le promoteur d’un « islam de France citoyen, d’un islam de cohabitation », l’imam estime, dans ses prêches récents, que la religion passe avant le drapeau français, le Coran avant La Marseillaise. ».
Ce double discours, et sa récente radicalisation accompagnée d’une lecture littéraliste du Coran inspirée du salafisme, selon un imam progressiste, clive ses fidèles en deux camps. Ses partisans jugent qu’il est un « bouc émissaire » qui n’a « jamais tenu de propos indignes », tandis que ses opposants le trouvent dangereux, flirtant « régulièrement avec la ligne jaune »7. Par exemple, alors qu’en 2013 il condamne lors d’une conférence les convertis partis en Syrie (« Ce ne sont pas des martyrs. Ce ne sont pas des héros ! Ce sont des zéros ! »), il fait à l’inverse dans ses prêches appel au Jihad et aux Moudjahidines à l’époque de attentats de Paris en 2015, ce qui pourrait être entendu sur le plan strictement spirituel, mais pour Abdallah Zekri, représentant régional du Conseil français du culte musulman, « Les moudjahidines, ce sont bien des combattants, des gens qui prennent les armes ». Il est particulièrement populaire auprès des plus jeunes, et ses opposants regrettent qu’« on en a[it] fait un martyr »
Il a été condamné en mai 2016 à six mois de prison avec sursis pour recel de fraudes aux allocations et « travail dissimulé » à la suite de lavages de défunts qu’il pratiquait. Il a fait appel de cette condamnation.
L’imam été assigné à résidence durant l’état d’alerte le 22 novembre 2015, assignation levée par manque de preuve. Le préfet Pierre Bousquet de Florian, nommé coordinateur du renseignement et de la lutte antiterroriste, a été condamné pour diffamation le 22 juin 2017, après qu’une plainte eut été déposée par Mohamed Khattabi.
Fin 2019, une femme porte plainte contre Mohamed Khattabi, qu’elle accuse de l’avoir agressée sexuellement lorsqu’elle était mineure, lors d’une roqya. Le jugement est prévu pour janvier 2021.

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4 Commentaires

  1. duchene dit :

    JE SUIS SURE QU IL Y MIEUX…………….

  2. Quinquin van Rijsel dit :

    Ouais tout comme cet illuminé de fanatique d’imam qui affirme
    que les chauves-souris auraient été contaminés par la seule volonté d’Allah
    afin de punir et de châtier les Kouffars de Chinois et pour rendre justice
    aux Ouïgours Musulmans
    tout comme ces tartufes d’Avicenne et d’Averroès
    qui se disent Médecin et Docteur alors que dans la réalité historique
    ces deux charlatans là ont tout pompés et spoliés aux Génie Grec antique
    un peu beaucoup d’ailleurs comme ce Gourou d’Amar Lasfar et grand copain d’Aubry et qui a baptisé son Lycée privé islamique salafiste de : »Averroès »

    • Quinquin van Antwerpen dit :

      Exact !
      et le professeur Nobel inventeur de la dynamite et de la nitroglycérine
      et les charlatans et bonimenteurs:l’émir Avicenne et le calife Averroès
      inventeurs des bombes humaines qui se font exploser au nom d’Allah

  3. Franccomtois dit :

    Pour infos,paru dans Europe-israel:
    -Israël apartheid ? Le premier aveugle ayant bénéficié d’une greffe d’une cornée artificielle est un Arabe.
    Un aveugle de 78 ans, Jamal Furani de Haïfa, a retrouvé la vue après avoir été implanté avec une cornée artificielle développée par CorNeat Vision, a déclaré la société d’implants biomimétiques. C’était le premier implant réussi.

    La cornée artificielle, qui s’insère dans la paroi oculaire, a été implantée plus tôt ce mois-ci par le professeur Irit Bahar, directeur du département d’ophtalmologie du centre médical Rabin en Israël. Lors du retrait des bandages, Furani a pu lire le texte et reconnaître les membres de la famille, a déclaré la startup dans un communiqué au début du mois.

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