BON DEBARRAS : Le communautariste propalestinien Anasse Kazib (Sud Rail) écarté de l’émission les Grandes Gueules de RMC

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VIDEO-Anasse Kazib (Sud Rail – RMC) défend le droit de refuser de serrer la main des femmes

Il est de tous les plateaux télévisés, et de toutes les mobilisations syndicales. Anasse Kazib, délégué syndical SUD Rail à la SNCF, a pu profiter d’un mois de grèves de cheminots pour mettre en avant son agenda militant, à la croisée des chemins entre “marxisme révolutionnaire” et homélies en faveur de l’islam politique. Un cocktail dangereux – explosif, à tout le moins.
Pour un syndicaliste, il est plutôt du genre médiatique. Manifestement lassé du rail, Anasse Kazib, délégué du personnel à la SNCF estampillé SUD Rail Paris Nord, préfère aujourd’hui écumer les plateaux des talkshows. Intervenant régulier aux Grandes Gueules de RMC, dont il est devenu un familier – un incontournable, diront certains –, difficile pour lui de manquer une occasion de mettre en avant son agenda militant. À 32 ans, Anasse Kazib jongle plus vivement que jamais entre ses quelques violons d’Ingres – revendications sociales (pour les uns), corporatistes (pour les autres), défense coûte que coûte du service public, mais aussi lutte contre l’ “islamophobie”, au nom de la sacro-sainte “convergence des luttes”… Autant dire qu’en période de grèves, le syndicaliste s’en donne à cœur joie.
Car rarement a-t-on pu voir « marxiste révolutionnaire » – certes, autoproclamé – mettre un tel zèle à défendre les communautarismes et les petites marottes islamistes. Exit la lutte des classes, et vive les pseudos-croisades contre le « racisme d’État ».
Le 10 novembre dernier, on pouvait apercevoir sa silhouette charpentée au nombre des organisateurs de la fameuse « manif de la honte » contre « l’islamophobie »… au cours de laquelle il s’était notamment illustré par une véhémente harangue qui fleurait le prêche communautariste. Volontiers tribun, l’homme dénonçait ceux qui osaient émettre quelques réserves à l’islamisation galopante de la RATP et de la SNCF. « On a des collègues, aujourd’hui, qui se font licencier parce qu’ils ne disent pas bonjour, ne serrent pas les mains, ne font pas la bise ! » On l’acclame, il baisse son micro.
Le lendemain, il défendra, bec et ongles, la mobilisation, estimant que les quelques 13 500 manifestants comptés par le cabinet Occurrence était une estimation « très timorée » et arguant qu’une « partie de la société est opprimée » du fait d’un « racisme d’État », théorie aussi fumeuse qu’elle est plébiscitée par les milieux indigénistes. En octobre, c’était avec la chroniqueuse Zohra Bitan qu’il s’écharpait, à propos cette fois-ci de l’affaire de la femme voilée de noir (signe, généralement, d’une obédience aux chapelles salafistes ou wahhabites) au conseil régional de Bourgogne Franche-Comté. « Mais quel “noir” ? C’est un bout de tissu ! », réplique alors Kazib, vertement. Un rhéteur aurait qualifié cela de “reductio ad vestimentum” : typiquement le genre d’argument dont sont férus les pontes du salafisme en France.


À l’occasion de l’attentat de la préfeture de police – et alors même que l’enquête sur Mickaël Harpon est encore à ses premiers balbutiements – on le retrouve, éternellement sûr de lui, à contredire la piste terroriste, pour lui préférer celle de la folie et de la psychiatrisation des faits. « On est en train de chercher le “Allahu Akbar” partout, déclarait-il alors. […] Pourquoi il crie “Allahu Akbar” à trois heures du matin ? Pour moi c’est un fou. » L’éternelle rengaine de ceux qui refusent d’admettre la composante idéologique du djihadisme.
Plutôt que de parler juste, son truc, c’est plutôt de parler fort. Beaucoup. De manière régulièrement brouillonne, emporté qu’il est dans ses élans et ses diatribes contre les autres chroniqueurs notamment. C’est d’ailleurs ce qui lui a valu sa prise de galons télévisuelle lorsqu’en mars 2018, il s’était livré à une joute par micros interposés avec l’animateur Éric Brunet, au sujet – déjà – du régime de retraites des cheminots. Sa hargne et sa grammaire, parfois hasardeuse, avaient alors fait date. Tout comme – chose plus récente – ses appels à l’insurrection et à l’ « illégalité », puisque, pour lui, les grévistes ont été «trop gentils» et qu’il est maintenant temps que « la peur change de camp ». Dont acte.
Cas d’école, le 29 décembre 2019 sur le plateau de CNews. Aux prises avec la conseillère parisienne LREM Fadila Mehal, Kazib a alors choisi de jouer la carte du coup de théâtre. Alors qu’ils débattent sur la réforme des retraites, la discussion, d’abord apaisée, se trouble. Fadila Mehal, agacée de se voir couper la parole, s’emporte et, devant les narquoises protestations de son adversaire (« Mais pourquoi vous vous énervez ? »), lâche le mot qui fâche : « C’est du terrorisme verbal ». Un terme que le syndicaliste n’a pas du tout digéré – il quittera le plateau dans la foulée. Peut être parce qu’il a fait mouche.
Aujourd’hui, fort de son exponentielle exposition médiatique – instant social et grèves générales obligent – Anasse Kazib compte parmi les militants les plus chouchoutés du petit monde médiatique parisien. En juin 2018 déjà, quelques temps seulement après ses premiers pas sur les radars des médias, il s’était vu accorder l’insigne privilège d’un portrait des plus conciliants dans les colonnes des Inrockuptibles. Une manière comme une autre pour la gauche mondaine de se doter d’une caution “rouge” qui lui fait défaut depuis qu’elle a perdu le sens du peuple. Charismatique, apprécié de ses ouailles cheminotes, il faut dire qu’Anasse Kazib a une image tout à fait bankable. Ses saillies qui frisent avec les rengaines salafistes, elles, le sont déjà un peu moins.

Source :
https://www.valeursactuelles.com/clubvaleurs/societe/anasse-kazib-entre-syndicalisme-et-communautarisme-114505

happywheels

11 Commentaires

  1. karol dit :

    Une bonne chose.
    Un de moins.

    • DAVID dit :

      Et surtout le plus haineux ! Je ne regardais ni n’écoutais plus “ Les GG” à cause de lui . Il me donnais envie de vomir. J’avais envoyé un message dans ce sens à la radio il y a qq mois. Ouf sauvé!!!

  2. Maier dit :

    Un peu de haine en moins sur les ondes…ca fait du bien un peu moins de racisme envers ceus qui ont acceillis votre famille il y a longtemps…a la vrai gauche vous n appartenez pas vous etes tres a droite de l extreme…bon corona…

  3. benjamin dit :

    cette emission des gg est nulle ! tres au ras des pâquerettes ! bas de gamme garantie !et qui s adresse a un public bien ciblè !!! alors avec ou sans ce gros con insipide …..

  4. capucine dit :

    et bien tant mieux !! RMC a très bien fait de le dégager des Grandes Gueules !
    pourtant je l’ai vu il y a peu 15 jours aux Grandes Gueules !! il est agressif il parle très fort et s’énerve très vite quand ils ne sont de son avis !!! par contre il y a une femme qui est très très bien c’est Zohra Bitan !

  5. Ben dit :

    Pffff… Le mec se prend limite pour un journaliste ! Pauvre type, il fallait un rebeu de service pour respecter leurs quotas, mais t’as aucun talent, aucune expertise a apporter, tubseesnkuste de pot de fleur ! Alors retourne dans l’anonymat, va faire tes banderoles pour tes manifs bds de 20 clampins ça nous fera des vacances ! Et en plus le mec crache sur la radio, et n’est même pas redevable de cet acte de charité de la part de RMC ! Allez va chômer gros tas de merde

  6. Franccomtois dit :

    Pour moi il y a des personnes qui nous viennent d´Afrique du Nord qui ne me pose aucun probleme,se sont les Amazighs(quand ils ne sont pas infectés par le coranvirus).Un article de Samia(une Kabyle qui a des tripes) qui intervient dans résistance-républicaine(pas fan mais ils ont de bons intervenant) m´a donné envie de le partager ici sur le site de la LDJ.

    Pourquoi ce silence sur les jeunes Kabyles tabassés et emprisonnés en Algérie pour avoir critique l’islam ?
    Les Belattar et consorts nous les brisant avec leur islamophobie, leur racisme, leur discrimination qu’ils subiraient paraît-il en France, n’ont qu’à aller voir ce qui se passe dans un de leurs shitoles islamiques, l’Aaaalgérie, whaouh !

    .

    Pleurnicheries, victimisations, et surtout mensonges éhontés pour faire croire qu’ils sont persécutés, cela est leur technique habituelle pour faire avancer leur schmilblick mahométan.

    Car pendant qu’eux les musulmans de France, ou plutôt doit-on dire, les musulmans en France avancent leurs pions allègrement avec la bénédiction de nos dhimmis, et malheureusement ils sont nombreux, les indépendantistes Kabyles, par ailleurs, pour beaucoup d’entre eux athées ou anti islam, sont arrêtés, malmenés, persécutés, menacés, traqués comme des bêtes par le pouvoir arabo musulman, un pouvoir arbitraire, machiavélique, comme tout ce qui émane de l’idéologie mahométane.

    Ce qui me rend malade, c’est que personne n’en parle, motus et bouche cousue, quand, à côté de cela, le pouvoir français fait des montagnes de ce qu’a dit une jeune fille, Mila, avec toute la candeur de sa jeunesse. Pendant des semaines, on a eu droit à toutes les rengaines possibles et imaginables : « Ce n’est pas bien de critiquer l’islam et blabla, cela peut blesser les musulmans, snif snif. Ce n’est pas acceptable blabla! Etc, etc ».

    Pendant ce temps donc, rien n’est dit pour défendre ces jeunes qui sont tabassés par la police car ayant osé critiquer l’hisse lame. On peut se demander légitimement, où sont donc passés ceux qui sont censés dénoncer les faits allant à l’encontre des droits humains !

    Les droitdel’hommistes ne s’offusquent que lorsque cela concerne l’islam et les adeptes de momo qui seraient, paraît-il, agressés, alors que le plus souvent ce sont, eux, les agresseurs. Par la grâce de nos élites vendues à l’idéologie islamique, les agresseurs deviennent, dès lors, les victimes, et ceux qui se défendent des criminels.

    Pendant qu’en France donc, on protège les musulmanistes, on leur délivre des tapis rouges pour imposer la barbarie, la misogynie, la cruauté de leur pseudo religion, les amazigh, les vrais, pas les arabo islamisés, les enfants de Massinissa se battent contre l’islamisation de leur territoire, qui, comme le dit Bernard Logan, devrait normalement appartenir au monde méditerranéen, et non pas au monde bédouin !

    Ils sont de plus en plus nombreux en Kabylie à s’afficher ouvertement anti islam, avec tous les risques que cela comporte. Cela devient une gageure d’émettre la moindre réserve, la moindre petite critique, même la plus infime. Pas touche, on ne touche pas à ce qu’a légué l’enflure du 7ème siècle. Quoi qu’il arrive pour les escrocs mahométans, le message de leur prophète est intouchable.

    C’est pourquoi tous les jours, on apprend ici et là l’arrestation de militants indépendantistes, pour certains parce qu’ils ne veulent pas renoncer à leur idéal, celui de la liberté de conscience, et qu’ils le disent haut et fort, quand d’autres brandissent simplement le drapeau kabyle, symbole d’une nation sans islam. Ce drapeau est tout sauf islamique, un crime terrible pour les adeptes de la secte diabolique. Eh oui ! Pas de croissant de lune, pas d’étoile à l’horizon, pas de couleur islamique.

    Non rien de tout ça ! Rien que le signe amazigh, symbole de liberté, et surtout un rameau d’olivier qui, lui, rappelle l’attachement séculier des Kabyles à leur terre méditerranéenne. Pas de signe religieux, que du terre à terre ! Horreur et damnation vous dis-je ! Quant à l’hymne kabyle, il est loin de toute haine, ni revanchard ni pleurnichard, valeurs islamiques ancrées en beaucoup de musulmans. Il se veut, lui, une ode à la dignité humaine.

    https://kabyle.com/videos/hymne-national-kabyle-ass-n-tlelli-le-jour-de-liberte

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    Ainsi, ces jours-ci, un jeune homme kabyle, un indépendantiste, un militant pour une société laïque, sans bondieuseries imposées à tous, a osé donné son opinion sur un réseau social, et ça n’a pas loupé, il n’est d’ailleurs pas le premier à aller goûter de la geôle islamique, la sentence est tombée. Reconnu coupable d’apostasie selon l’article 144-bis2 du code pénal algérien, un mandat d’arrêt a été lancé contre lui.

    Il a tenté de s’enfuir, mais rien à faire la mahométanerie est sans pitié, et ne lâche rien quand elle estime que vous l’avez un tant soit peu offensé. Elle réclame clémence pour elle-même, et n’accorde aucune indulgence pour les autres. Voilà toute la splendeur de la culture musulmane dont on nous rabat les oreilles.

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    J’en suis arrivée à un stade où je ne peux plus entendre la moindre parole venant des dhimmis ou des pseudos musulmans modérés. Mon sang ne fait qu’un tour face aux inepties qu’ils nous sortent. Les vérités sont là, elles nous sautent à la figure, mais non ces fanfarons croient nous blouser avec leurs faux fuyants, leurs contournements sémantiques pour cacher la merde de l’islam qui, elle, malgré tout, continue d’exhaler ses horribles odeurs. Ce n’est pas avec du parfum, même le plus puissant, que l’on peut masquer les relents de la putréfaction. C’est pareil pour les messages puants de l’islam, on aura beau se tortiller dans tous les sens, baratiner, se fourvoyer, ils vous reviennent toujours en pleine gueule, pour vous ramener vers les réalités les plus crues.

    Ce pauvre jeune homme a eu l’honnêteté et le courage de dire haut et fort ce que l’islam lui inspire, et pour cela, il paye et va payer très cher sur le long terme. Il est mal barré, il va devoir faire face à une machine infernale, implacable, imperturbable. Il se retrouve embarqué dans la machine pourrie jusqu’à la moelle des os de l’Etat voyou algérien, un système arabo islamique qui ne dit pas son nom, mais pas que malheureusement. Il fait face en prison à la colère mahométane de ses codétenus. La population algérienne, dans sa majorité, obsédée par l’islam, ne pardonne jamais le moindre écart quant à leur pseudo religion, même les pires criminels se trouvent en droit de condamner les militants de la liberté. Et ça, aucun dhimmi, aucun musulman modéré, n’aura l’honnêteté intellectuelle de le dénoncer, de s’en offusquer, de trouver cela affreux, inadmissible. Ces gueux préfèrent s’en prendre à des gens qui ne font que dire ce qu’ils observent en terme de conséquences, dès que l’islam est dans les parages ou à la manœuvre.

    Plus que ceux qui se déclarent musulmans point barre, j’abhorre tous ces pseudos tolérants qui en réalité sont les pires, car ils apportent leur caution aux pires atrocités. Ils s’évertuent à lisser l’image de la religion islamique aux yeux de tous, ce qui a pour conséquence fâcheuse de brouiller les pistes, et de jeter, par la même occasion, l’opprobre sur les islamo critiques.

    Pour ma part, mon soutien entier et total va définitivement envers ce jeune homme et tous ceux qui luttent au quotidien contre la pire des pestes, n’en déplaise à tous ceux qui jouent un double jeu. Et pour finir, je crois ne pas me tromper en disant que le rang des anti islam grandit de jour en jour, ALLELUIA !

    https://www.observalgerie.com/kabylie-un-jeune-homme-lourdement-condamne-pour-atteinte-aux-percepts-de-lislam/2020/

    Siwel – Agence d’information du gouvernement provisoire Kabyle en exil, mené par Ferhat Mehenni, auteur de la phrase qui résume tout sur l’islam et ses faux-semblants : « L’islam, c’est l’islamisme au repos et l’islamisme, c’est l’islam en mouvement. C’est une seule et même affaire. »

  7. benjamin dit :

    les propos ci dessus de Francomtois sont a expedier a libè France inter France culture arte le monde le monde diplo l huma l express et tant et tant d autres !!!dhimmis comme jadis les collabos bien gras et bien dodus !!!

  8. vrcngtrx dit :

    « Le colonialiste propalestinien anaSSe »
    tiens qu’est-ce que tu dis de ça gros bâtard qui pue de la gueule comme du cul de ta grand-mère :
    https://identitejuive.com/coronavirus-israel-aide-les-palestiniens-et-les-pays-arabes-ils-leurs-donnent-quoi/?fbclid=IwAR1Yvyrm9PjEMKLMzwxFAJ-3M_H_j0The_v3A4qrCNQCgSAL-BzDSy1dpg4#.XnfbSmqL8KE.facebook

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