La nouvelle Secrétaire d’État Marlène Schiappa défend les antisémites

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PUBLIÉ PAR CHRISTIAN LARNET LE 18 MAI 2017
Manuel Valls avait eu le courage de dire tout haut ce que tout le monde sait : l’antisioniste est un antisémitisme en déguisement.
La France en eu la mortelle confirmation de Mohamed Merah lorsqu’il tua des enfants juifs et leur père pour « venger Gaza », et par les slogans « Mort aux juifs ! » dans les manifestations pro-palestiniennes de Paris.
Une femme, parmi bien d’autres, a choisi la voie négationniste, le déni de l’évidence, indéfendable, (sauf avec la protection des médias qui gardent le silence).
Cette femme hélas est devenue Secrétaire d’Etat. Sera-t-elle aussi secrétaire d’Etat à l’antisionisme, ou gardera-t-elle pour elle son honteux penchant ?
« Présumer que la lutte pour la liberté du peuple palestinien ne pourrait qu’être de l’antisémitisme caché est un raccourci grossier » avait-elle déclaré en 2014, se rappelle Le Monde Juif Info qui a fouillé ses archives.
L’odieuse déclaration, avec une mauvaise foi dont les ennemis d’Israël se sont fait les spécialistes se poursuivait par : « Ne peut-on pas lutter contre la politique d’un gouvernement sans être soupçonné de haïr l’ensemble d’un peuple? »
La question, un homme y a répondu.
Avec lucidité et sagesse, un grand militant des droits de l’homme, Natan Sharansky, refusenik russe emprisonné pendant 7 ans dans les geôles communistes soviétiques, l’a examinée.
Sharansky :
« Quand j’étais un dissident dans l’ex Union soviétique, une des mes activités régulières consistait à surveiller l’antisémitisme.
Le soi-disant « nouvel antisémitisme » pose un défi unique. Alors que l’antisémitisme classique est dirigé contre le peuple juif ou la religion juive, le « nouvel antisémitisme » vise l’Etat juif. Et comme cet antisémitisme peut se cacher derrière l’habillage d’une critique légitime d’Israël, il est plus difficile à exposer.
Je pense cependant qu’on peut appliquer un test simple, je l’appelle le test « 3D » pour faire la distinction entre une légitime critique d’Israël et de l’antisémitisme. »
C’est ce test 3D que nous allons maintenant appliquer à la nouvelle Secrétaire d’Etat Marlène Schiappa, afin qu’elle se pose la question : est-elle antisémite, ou une légitime critique d’Israël, légitimité que nous reconnaissons évidemment à toute personne, par respect pour le premier amendement de la Constitution : chacun a le droit d’avoir ses opinions et de les exprimer (avec certaines limites : on n’a pas le droit, dans un cinéma, de crier au feu, ou dans une réunion publique, d’appeler à lyncher une personne dans la salle, etc)
• Le premier « D » est le test de la diabolisation. Quand l’Etat juif est diabolisé ; quand les actions d’Israël sont amplifiées dans des proportions démesurées ; quand des comparaisons sont faites entre les Israéliens et les nazis, et entre les camps palestiniens et Auschwitz – c’est de l’antisémitisme, et non une critique légitime d’Israël.
• Le second « D » est le test du double standard. Quand la critique d’Israël est appliquée de façon sélective ; quand Israël est ciblé par les Nations unies pour ses violations des droits de l’homme tandis que le comportement d’Etats connus pour leurs abus, comme la Chine, l’Iran, Cuba et la Syrie est ignoré ; quand l’organisation israélienne Magen David Adom [Etoile de David rouge], est la seule, parmi tous les services de secours du monde, dont l’adhésion à la Croix rouge internationale lui est refusée – c’est de l’antisémitisme.
• Le troisième « D » est le test de la délégitimation. Quand les droits fondamentaux d’Israël à exister, à lui et à aucun autre peuple au monde lui sont refusés – c’est aussi de l’antisémitisme.

De lourdes charges
• Lorsqu’elle collaborait au Bondy Blog, elle a toléré sans mot dire l’antisémitisme de Mehdi Meklat. Peut-être que qualifier Meklat d’antisémite était un « raccourci grossier » ?
• Dans un discours lors du 88e congrès national de la LDH, le 24 mai 2015, elle déclarera, sans mentionner les violations des droits de l’homme du Hamas qui a tiré des milliers de roquettes sur les populations israéliennes – un crime de guerre selon le droit international – « Guerre à la guerre aussi en Palestine, où la paix passera par le droit des peuples à l’autodétermination ». (source : ldh-france.org). Elle ne passe pas le second « D », test du double standard.
• Sur Maman travaille, le blog qu’elle a créé, elle écrit dimanche 13 juillet 2014 :

« dans ce territoire [Palestine] depuis 50 ans… des gens habitaient là [Les arabes], …d’autres gens ont estimé qu’en fait ce pays était le leur [les Israéliens], que les gens qui étaient là ont du trouver d’autres pays [les arabes], que le leur s’est réduit [Palestine], et puis que dans le nouveau pays [Israël], d’autres gens ont fait leur vie [les Israéliens] »
Outre que ces propos contiennent un mensonge par phrase, ils ne passent pas le troisième « D », celui de la délégitimation.
• Sur le même blog, on peut lire encore qu’elle évoque : « le nouveau pays, qu’on appelle Israël », et « l’ancien pays, qu’on appelle Palestine ». Typique du narratif de délégitimation : prétendre qu’il existait un pays, la Palestine – qui n’a jamais existé – remplacé par un nouveau pays, Israël.
Si la nouvelle Secrétaire d’État Marlène Schiappa est honnête – et nous n’avons aucune raison à ce stade de la suspecter de ne pas l’être – elle fera son examen de conscience, fouillera ses pensées profondes et les examinera à la lumière du test 3D de Natan Sharansky.
Peut-être se rendra-t-elle compte qu’elle a été influencée par de mauvaises personnes qui lui ont planté de mauvaises graines.
Nous sommes convaincus qu’une nécessaire clarté en sortira : soit elle sera exposée comme étant antisémite, et les Français juifs doivent le savoir, soit elle découvrira que ses propos ne correspondent pas à ses valeurs, et elle fera son outing.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Christian Larnet pour Dreuz.info.
Source :
http://www.dreuz.info/2017/05/18/la-nouvelle-secretaire-detat-marlene-schiappa-defend-les-antisemites/

happywheels

13 Commentaires

  1. Claude dit :

    http://ripostelaique.com/5-islamo-collabos-1-escrimeuse-dopee-8-anciens-ministres-ou-elus-un-faux-ecolo.html

    Et bien l’on peut dire que nous avons des « amis » dans ce gouvernement !!

    Encore merci à ceux qui nous ont imposé ce « bon » choix ! maintenant on va tous déguster à ce qu’il semble .

  2. CHARLES dit :

    ON A DES FLÈCHES AU GOUVERNEMENT ET ÇA VA CLACHER …..

    • Pierre Alain dit :

      D’accord avec Charles,ça va clacher d’ici peu et nous allons avoir 5 années de grêves et de manifs dures dans les rues. J’ai bien peur qu’a la fin de ce mandat nous ne reconnaissions plus notre pays.

      • capucine dit :

        c’était déjà le cas avec Hollande qui à laissé rentrer beaucoup d’étrangers migrants clandestins et les ont réparti partout dans tout l’hexagone …à Paris ça ne manque pas non plus de là à faire fuir tous nos touristes … la vie ne va pas être rose tous les jours pour les français …

  3. lebrun dit :

    FAUT PAS PLEURER MAINTENANT..VOUS AVEZ CHOISI MACRON ET REJETER MARINE …FAUT PAS PLEUREZ LORSQUE LES MUSULMANS COMMETTENT DES ACTES ANTI-JUIFS, FAUT ASSURER COMME DES GRANDS MAINTENANT!!!! MACRON VA FAIRE SES COURBETTES AUX ARABO-MUSULMANS ET TRAHIR ISRAEL ET LES JUIFS DE FRANCE, FAUT ASSUMER SES COULEURS POLITIQUES!!!

  4. Franccomtois dit :

    Á méditer sur ce qui nous attend d´ici peu.Á celles et ceux qui pensent que le probleme des juifs n´est pas leur probleme qu´ils méditent sur se qui se passe actuellement dans certains coins de Paris et je ne parle pas des quartiers oú vivent les chances pour la France et pour le reste de l´Europe.Aprés les juifs,les femmes á qui le tour?Les féministes bobo se font discret,mais que ces gens lá ne désesperent pas trop leur tour viendra.Je dois reconnaitre que d´être en Allemagne avec le soleil qu´il fait n´est absolument pas désagréable,plein de jolie minettes peu vêtue prennent le soleil dans les parques,je profite de m´en mettre plein les mirettes avant que cela ne devienne prohibé par ces barbares á qui nos gouvernements offrent toute liberté á leur délire psycopathe et paranoiaque.

    Je me permets de mettre avec mon commentaire cet article paru dans le figaro.

    Femmes chassées des rues dans le quartier Chapelle-Pajol : le cri d’alarme de Céline Pina
    Par Céline Pina Mis à jour le 19/05/2017 à 14:57 Publié le 19/05/2017 à 13:09
    Quartier de la Goutte d’or, dans le 18e arrondissement de Paris.
    220
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    FIGAROVOX/ANALYSE – Alors que les lycées organisent une « journée de la jupe » pour dénoncer le sexisme, Céline Pina rappelle que dans certains quartiers de Paris, sortir de chez elle pour une femme est une provocation, et dénonce l’indifférence des élus.
    Céline Pina est ancienne conseillère régionale d’Ile-de-France. Elle s’intéresse particulièrement aux questions touchant à la laïcité, à l’égalité, au droit des femmes, à la santé et aux finances sociales. Elle est l’auteur de Silence Coupable (éditions Kero).
    Tandis que des syndicats lycéens essaient d’attirer l’attention sur le sexisme qui sévit maintenant dans les rapports entre filles et garçons dès le plus jeune âge en organisant ce vendredi 19 mai, une journée de la jupe, l’actualité nous a démontré hier à quel point l’initiative était nécessaire, tant les droits des femmes reculent pendant que les politiques continuent à détourner le regard. À tel point qu’aujourd’hui, dans certains endroits, sortir dans la rue quand on est une femme devient une prise de risque, une provocation et une mise en danger.
    Et hélas, on ne parle pas ici de Raqqah, Ryad ou Kaboul, mais de Paris. Intra-muros. Dans un reportage publié dans Le Parisien du 18 mai, «Paris: les femmes chassées des rues dans le quartier Chapelle-Pajol», Cécile Beaulieu décrit le quotidien des habitantes du quartier, lesquelles ne peuvent plus se déplacer seules, ni porter jupes ou vêtements moulants sans se faire injurier voire agresser. La rue, les trottoirs, les cafés, les bars, les squares leur sont interdits, à tel point que quitter son appartement devient une transgression. Ce territoire est celui des hommes et ils font régner leur loi. Une situation qui tend à s’étendre dans les quartiers les plus populaires.
    Ce qui est encore plus déstabilisant ce sont les réactions, ou plutôt l’absence de réaction des élus.
    Mais pour choquant que soit pour nous ce contrôle social d’un autre âge, cette véritable oppression qui s’abat sur toutes les femmes dans un pays où l’égalité est inscrite au fronton des bâtiments publics, ce qui est encore plus déstabilisant ce sont les réactions, ou plutôt l’absence de réaction des élus.
    Être une femme suffit à être en danger dans certains endroits et auprès de certaines populations, car il y a un point commun entre cette situation et celle qui a tant choqué en Allemagne le 31 décembre à Cologne. Des agressions sexuelles massives y avaient été commises et l’enquête avait révélé que celles-ci étaient le fait de réfugiés et de migrants économiques, venant du Maroc et d’Algérie et arrivés au cours de la même année. Que croyez-vous que l’on fit alors? Et bien au lieu de s’interroger sur ce qui pouvait pousser ces hommes à croire qu’ils avaient le droit de se comporter ainsi dans un pays qui les accueille, au lieu d’interroger les références culturelles qui permettent de considérer comme acceptable cette violence faite aux femmes, au lieu d’interroger les obligations qui devraient être liées à l’accueil, on fit le procès en racisme de tous ceux qui dénonçaient le soubassement culturel et cultuel, qui fait de la femme un être inférieur, propriété d’un homme ou de tous si elle a le culot de revendiquer sa liberté, phénomène que la misère sexuelle, que la montée du fondamentalisme religieux renforce et accentue dans les pays du proche et Moyen-Orient. Pour avoir évoqué cet aspect du problème, Kamel Daoud fut cloué au pilori.
    À Cologne, la Maire conseilla aux femmes de se faire discrètes et de se tenir à l’écart des hommes. Comme si elles étaient en partie responsable des violences qu’elles subissaient. Et aujourd’hui, savez-vous ce que l’on répond, en France, à ces femmes qui, habitant la capitale de notre pays, ne jouissent déjà plus des droits que la loi est censée accorder à tous les citoyens? D’abord que porter plainte ne sert à rien. Donc, en France, on peut vous ôter la liberté de vous déplacer parce que vous êtes une femme dans la plus totale indifférence. Nul ne peut rien y faire, parce que les autorités publiques s’en moquent et que cette question est anecdotique pour le pouvoir. Voilà ce que signifie le «porter plainte ne sert à rien». On parle bien d’opérations de police à répétition dans l’article, plus de 110 depuis janvier mais elles n’ont aucun effet. Pourtant, si celles-ci se traduisaient plus souvent par des expulsions ou de véritables sanctions, nul doute qu’elles changeraient la donne. Mais si les interpellés en sont quittes pour revenir quelques heures ou jours après, cela devient un jeu qui signe plus l’impuissance des autorités que leur utilité et finit par valider ce qu’il est censé empêcher.
    Le fait que les agresseurs de femmes appartiennent à une population élevée au rang de victime absolue, fait que leur transformation en bourreau paralyse le discours politique et l’action publique.
    Il y a bien une élue citée dans le reportage, l’adjointe à l’égalité hommes-femmes de la mairie de XVIIIeme. Elle conseille d’organiser une marche exploratoire pour faire le repérage des lieux où les femmes sont indésirables et maltraitées. Il parait même que «leurs remarques seront examinées avec la plus grande attention». Je suis sûre que cette personne est consciente du caractère dérisoire de cette injonction qui invite ces femmes à se mettre en danger pour effectuer un tel relevé topographique et qu’elle a conscience que rien ne saurait moins incarner la loi et le devoir de protection qu’ont les élus envers leur population, qu’une telle attitude, mais elle n’a probablement rien d’autre à proposer. Le fait que les agresseurs de femmes appartiennent à une population pauvre et marginale, élevée au rang de victime absolue, fait que leur transformation en bourreau paralyse à la fois le discours politique et l’action publique. Ce sont alors les citoyens qui jouent le rôle de variable d’ajustement en voyant leurs droits abandonnés et leurs libertés non défendues. Cela plus qu’une dérive fasciste de la société explique l’explosion du vote FN.
    Pendant ce temps, vendeurs à la sauvette, dealers, migrants et passeurs tiennent les rues et politiquement correct oblige, on oublie de dire que cette mentalité d’un autre âge, cet obscurantisme dont on constate chaque jour qu’il gagne du terrain, est lié à la volonté de ces hommes d’imposer leur mentalité patriarcale, leur vision étriquée des relations humaines et une conception des rapports sociaux et intimes inégalitaires et contraignants au pays qui les a accueilli. On évite de dire que ces tensions se réveillent aussi parce que ces populations sont la cible des fondamentalistes et des tenants de l’Islam politique qui chauffent à blanc les replis identitaires et font de la remise en cause des fondations mêmes des sociétés occidentales par la revendication identitaire et religieuse, le seul axe d’affirmation politique et sociale des communautés qu’ils influencent de plus en plus. Et s’ils se sentent autorisés à le faire, c’est aussi parce que nul ne se soucie, chez ceux qui nous représentent, ni d’expliquer les règles aux nouveaux arrivants, encore moins de les faire respecter. Ceux-ci alors essaient de recréer un environnement qui leur est familier et, marginalisés et sans grandes perspectives, ils se donnent un sentiment de virilité et de prise sur le monde en exerçant leur pouvoir sur les femmes. Ils sont encouragés dans ces attitudes par les prédicateurs bas de plafond dont ils sont la cible et qui ont table ouverte dans notre pays. Alors il ne s’agit pas ici de dire que tous les migrants sont ainsi, ce serait aussi injuste qu’insultant, mais de s’interroger sur notre réticence à défendre ce que nous sommes face à des comportements qui ne sont ni respectables ni tolérables et nous renvoient à un obscurantisme et à une violence intrinsèquement méprisable et face à laquelle nos autorités ne devraient pas être tétanisées.
    L’air est connu: souvenez-vous du reportage d’Antenne 2 tourné à Sevran et à Villeurbanne où un homme chassait des femmes d’un café en leur expliquant: «Ici c’est pas Paris, c’est comme au bled».
    Ceux qui ont relayé ce reportage ont été comme d’habitude accusés de mensonges, de racisme et d’appartenir à la fachosphère.
    Ce qui signifie, non seulement cette zone nous appartient et tu dois savoir rester à ta place, donc chez toi. Mais aussi que sur certains territoires, la France n’existe plus et ses lois ne s’appliquent pas. Ainsi, l’espace public n’est plus partagé, commun. Sur certains territoires, il est réservé à ceux qui ont une existence sociale, donc aux mâles, pas à celles qui leur appartiennent et n’existent que dans la sphère de l’intime. Pour avoir dénoncé ces phénomènes dont seuls ceux qui nous représentent semblent totalement inconscients, la journaliste de France 2 et Nadia Remadna de la brigade des mères, ont été violemment attaquées par le Bondy Blog et ceux qui ont relayé ce reportage ont été comme d’habitude accusés de mensonges, de racisme et d’appartenir à la fachosphère. Et ce quand bien même les témoignages de cette tentative d’imposer un apartheid sexuel en France se multiplient.
    L’enjeu aujourd’hui est de faire vivre nos grands principes pour tout le monde, de faire en sorte que les libertés que la loi garantit ne dépendent pas de notre niveau culturel et social ou de notre lieu de vie. C’est cela le sens même de la politique: garantir les droits de tous ceux qui vivent sur son territoire. Et cela ne se fera pas sans fermeté, ni justice.
    Aujourd’hui la protection de la loi n’est accordée qu’aux hyper inclus, à ceux qui ont les moyens financiers de choisir leur environnement.
    Aujourd’hui la protection de la loi n’est accordée qu’aux hyperinclus, à ceux qui ont les moyens financiers de choisir leur environnement. Pour beaucoup d’autres, c’est retour au moyen âge: il faut se soumettre à ses voisins et à l’homme de la rue car la protection de la loi ne peut plus s’incarner. Une des phrases que l’on entend le plus dans les zones sous influence des islamistes et des identitaires, c’est «chez nous, c’est comme ça» et ce «chez nous» n’évoquent pas la France, alors même que ceux qui tiennent ce discours sont Français, pas même forcément les règles du pays d’origine, mais ce mélange de tradition et de religion dont les islamistes entendent faire le fond d’écran des mentalités qu’ils façonnent. C’est ainsi que les passages à l’acte se multiplient, rite d’initiation du refus de la citoyenneté et de l’affirmation des valeurs patriarcales validées par les représentations religieuses, le tout sur fond d’impunité des agresseurs et de mise en accusation de ceux qui dénoncent l’abandon des autorités comme une faute politique majeure.
    Et pendant ce temps, notre nouveau gouvernement prône la libéralité en matière de laïcité tout en promettant de lutter contre l’islamisme. Le problème c’est que l’on ne lutte pas contre qui veut vous détruire en renonçant à ses principes et à ses idéaux et qu’en ce domaine, la libéralité équivaut à livrer les plus faibles à leurs oppresseurs. Il serait dommage qu’à force d’aveuglement sur ces questions, la France devienne un pays qui ne garantit que les libertés de ceux qui ont les moyens de choisir leur voisinage et leur environnement.

  5. Gilles-Michel De Hann dit :

    * « Islamophobie », voile à l’école : Macron a-t-il bien lu sa secrétaire d’Etat Marlène Schiappa ?

    https://www.marianne.net/politique/islamophobie-voile-l-ecole-macron-t-il-bien-lu-sa-secretaire-d-etat-marlene-schiappa

  6. Leulmi dit :

    Le quatrième D est ‘.. Oh pardon la quatrième lettre n’est pas destinée àla secretaire d’état de notre pays la France, mais aux Français de confession hébraïque et j’insiste parce que la LDJ s’adresse aux cesfrans, donc la 4 idem lettre est le S comme soumission, celle des hommes israélites qui acceptent une loi celle de 2004 qui interdit aux garçons de porter la kipa a l’école, loi qui remet en cause l’un des premiers articles de la constitution à savoir l’égalité devant la loi pour chaque citoyen de ce pays, loi arbitraire puisque les chefs d’établissements de notre France ne sont plus égaux devant la loi en décidant au cas par cas d’après le conseil d.etat, et donc vos garçons, des l’enfance, intègre que porter la kipa peut créer des ennuis ou que c’est honteux de la porter.
    Sur ce, messieurs les hébraïques qui avez oublié ce que c.est que d’être des vrais français, c’est à dire défendre ses droits quand une loi est inique, je vous salue en rayant les hommes qui ont intégré la peur de porter la kipa dans l.espace public depuis qu’ils sont petits parce que cela ne se fait pas à l’école.
    Samia de joli ville le pont

    • liguedefensejuive dit :

      Nous n’avons jamais connu d’enfant juif portant une kippa dans une école laïque avant 2004 ou après 2004
      Les parents choisissant que leurs enfants portent une kippa inscrivent leurs enfants dans une école privée juive

  7. JEAN-MARC dit :

    Qu’on le veuille ou non, on prend des risques à se déclarer antisioniste car c’est être implicitement mélangé dans le camp de ceux qui veulent la destruction d’un état qui se trouve être juif !
    C’est alors dénier le droit aux Juifs d’avoir une terre sûre où leur sécurité sera préservée !

  8. charles dit :

    ELLE A OU VA …schiapparder comme les autres !

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