Le chef d’état-major critique Haaretz pour « son discours anti Tsahal»
Le chef d’état-major de Tsahal, Eyal Zamir, critique vivement l’article de Haaretz, qui l’accuse d’incitation à la haine contre le chef du commandement central, Avi Bluth. « Les images déformées à son encontre franchissent toutes les lignes rouges. »
Le chef d’état-major de l’armée israélienne, Eyal Zamir, a critiqué jeudi matin Haaretz pour un article condamnant le chef du commandement central, le général de division Avi Bluth.
Dans une déclaration, Zamir a souligné qu’il « condamne fermement les publications horribles et incitatives contre le commandant du commandement central, le général de brigade Avi Bluth, et condamne les déclarations honteuses à son encontre ».
Il a souligné : « Le MG Bluth est un officier de combat de première ligne avec des valeurs et une morale, qui a consacré de nombreuses années, jours et nuits, à défendre l’État d’Israël et ses citoyens, en particulier les citoyens de Judée et de Samarie. »
« L’utilisation d’images déformées contre lui franchit toutes les lignes rouges.
« L’armée israélienne opère et continuera d’opérer contre le terrorisme en Judée-Samarie, tout en respectant la loi et ses valeurs.
« La tentative de contester ses actions ou de jeter le doute sur MG Bluth est préjudiciable à un fonctionnaire qui consacre sa vie à l’État d’Israël, et est totalement inacceptable. »
Eyal Zamir (à gauche) avec Avi Bluth (à droite)
Si je puis me permettre.
Malgré l’instruction de ne pas s’imposer une aiguille dans le pied démographique, le Temple (son lieu) fut rétro-prêté à la Jordanie (qui est cette fameuse Pestine qu’ils réclament).
– les nations font pareil et inversent tout quitte à se faire délugiser.
Et soudain c’est la finale: horreurs et contre-attaque fulgurante.
– or malgré leurs critiques les Nations Font De Même (voir situation Europe houleuse, populations se retournant!)
…
Ça me rappelle le fait suivant.
Des soldats juifs, donc jeunes, ont dû bénéficier de douches en pleine zone habitée.
Les jeunes filles chastes et musulmanes passaient mains sur les yeux et doigts desserrés.
Les nations font de même. Elles se plient au langage obligatoire de l’accusateur katégorique : « ils auront à avoir eu t’appeler, dit-on, Israel – et maintenant laisse moi aller chanter car c’est la fin de la nuit! »
Et pourtant elles crient implicitement « jusqu’à quand? ».
À Israel de faire le pari que si « toc toc toc bonjour haaretz, c’est la Police », les nations auront le langage woke en criant au loup, mais dans un mouvement pourtant inverse et donc assainissant et clarificateur malgré eux.