Le député LFI Guiraud accusé d’antisémitisme se victimise en affirmant que son domicile a été la cible d’«actes malveillants graves» sans préciser que les auteurs sont ses ex-amis du collectif d’ultra-gauche Golem auquel appartient l’avocat Arié Alimi, un proche de Taha Bouhafs

By  |  6 Comments




Les mélenchonistes nous ont habitués à leurs luttes intestines
Ce collectif Golem est très proche de l’extrême gauche pro palestiniennes et ne s’en cache nullement
Ils demandent l’expulsion des juifs de Judée Samarie comme la France Insoumise
Il soutiennent les « forces progressistes » en Palestine et en Israël
Il demande que les « criminels de guerre » israéliens soient jugés
Il lutte contre la « coalition d’extrême droite » en Israël
Aujourd’hui en Israël après la tuerie du 7 Octobre l’extrême gauche n’existe plus
Tous les membres de Shalom Archav des kibboutz en bordure de la frontière ne veulent plus entendre de vivre avec des palestiniens »
Nous conseillons à nos frères juifs du Groupe Golem de faire leur alyah en Israël et de s’engager dans Tsahal
En découvrant la réalité sans aucun doute ils reviendront à une vision réaliste de la situation en Israël.




happywheels

6 Commentaires

  1. joseparis dit :

    Très bien qu’ils se bouffent entre eux. Si certains militants de Golem ont enfin compris que lfi se servent d’eux comme un paravent à leur antisémitisme débridé, c’est très bien. Qu’ils reviennent dans le champs communautaire, et soutiennent Israël. On fait tous des conneries, à un moment il faut savoir s’arrêter et reconnaitre ses erreurs.

  2. Franccomtois dit :

    Crapules contre crapules,qu´ils s´auto-détruisent 🤬!
    Par contre il y a des juifs nocif,des saloperies inculte donc trés dangereux pour leur communauté.

    Slate.Fr
    😵Aux États-Unis, une partie de la jeunesse juive s’élève contre Israël
    Sophian Aubin — Édité par Émile Vaizand — 4 janvier 2024 à 7h40

    Appelant à un cessez-le-feu à Gaza, des milliers de juifs américains affichent leur solidarité avec les populations civiles palestiniennes. Certains jeunes militants de Jewish Voice for Peace expliquent pourquoi ils refusent d’être associés à l’État hébreu.
    Temps de lecture: 6 min

    Une soirée inhabituelle s’est déroulée le vendredi 27 octobre 2023, au cœur de New York. Plusieurs centaines de personnes ont été arrêtées par la police, alors qu’un rassemblement a occupé le hall de la gare de Grand Central Terminal, à Manhattan. Inauguré par une prière judaïque, le sit-in a été organisé par l’antenne locale de Jewish Voice for Peace (JVP).

    Progressiste et fondée aux États-Unis, cette organisation activiste qui se revendique comme antisioniste se bat pour les droits des Palestiniens. Ce soir-là, des milliers de juifs américains ont réclamé un cessez-le-feu au Proche-Orient et l’arrêt des bombardements israéliens sur la bande de Gaza, en cours depuis les sanglantes attaques du Hamas le 7 octobre.
    Parmi les manifestants new-yorkais, Tal. «La situation à Gaza est reconnue par les experts comme un cas d’école de génocide. Et nous y assistons, tandis que les États-Unis financent, avec nos impôts, les bombes qui pleuvent sur des enfants palestiniens», s’indigne ce jeune homme de 26 ans. Sa grand-mère est rescapée d’un camp nazi en Hongrie. Lors de la Journée internationale de commémoration des victimes de la Shoah, le 27 janvier 2023, le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou avait promis qu’une telle tragédie «ne se reproduirait plus jamais pour notre peuple».

    «Plus jamais pour personne», répliquent les jeunes de Jewish Voice for Peace. Pour Tal, il est clair que le gouvernement israélien ambitionne de «rayer Gaza de la carte». L’Organisation des Nations unies (ONU) a soulevé des inquiétudes allant en ce sens. En tant qu’enfant issu d’une famille rescapée d’un génocide, Tal voudrait empêcher celui qui est «mené aujourd’hui par l’État hébreu».
    Selon le dernier bilan publié par le ministère de la Santé du Hamas, le 2 janvier 2024, au moins 22.185 personnes sont mortes dans la bande de Gaza depuis le début de la guerre le 7 octobre, et plus de 57.000 autres ont été blessées. Parmi les victimes, 70% sont des femmes ou des enfants d’après l’Unicef.

    «Je condamne la guerre israélienne dans la bande de Gaza, tout simplement parce qu’elle est abominable», répond sobrement Josh[1], 26 ans, militant pour JVP à Boston (Massachusetts). Mais dans une Amérique soutenant Israël depuis la naissance de l’État hébreu en 1948, des foules juives occupant –au nom du peuple palestinien– des lieux symboliques comme la statue de la Liberté suscitent légitimement l’intérêt des médias.
    Une minorité grandissante
    Pour autant, les organisations juives propalestiniennes comme Jewish Voice for Peace ou IfNotNow ne représentent pas l’opinion juive dominante, clarifie Sara Yael Hirschhorn[2], professeure à l’université de Haïfa (Israël). Néanmoins, pour cette historienne américaine, la «sensibilité propalestinienne» pourrait devenir majoritaire dans la communauté juive d’ici à deux décennies, si ce n’est pas avant. Et ce, pour au moins une raison: cette tendance semble plus prégnante parmi les juifs âgés de 18 à 30 ans.

    «On a inculqué à mes parents qu’être juif, c’est aussi aimer et soutenir Israël. Et on m’a aussi transmis cette idée pendant mon enfance», remarque ainsi Benjamin, 30 ans, membre de JVP à Los Angeles (Californie). Cependant, comme nombre de juifs de sa tranche d’âge, ce doctorant a vu sa perception du conflit israélo-palestinien évoluer à l’université. «J’ai réalisé à quelle mesure les concepts de colonialisme ou de justice raciale pouvaient être transposés dans le contexte palestinien.»
    Née après les éphémères espoirs suscités par les accords d’Oslo (signés à Washington le 13 septembre 1993), cette jeune génération n’a connu qu’un incessant cycle de violences au Proche-Orient. Dans cette spirale, Israël apparaît puissant et les Palestiniens comme faibles. Or, les milieux progressistes préfèrent les seconds aux premiers, pointe Sara Yael Hirschhorn.

    C’est le cas de Benjamin. En février 2019, des enquêteurs de l’ONU avaient indiqué avoir «trouvé des motifs raisonnables de croire que des tireurs d’élite israéliens ont tiré sur des journalistes, du personnel de santé, des enfants et des personnes handicapées, sachant qu’ils étaient clairement reconnaissables comme tels», lors des protestations palestiniennes qui se sont déroulées à la frontière entre Israël et la bande de Gaza, au cours du printemps 2018. Un déclic pour le jeune homme californien: «Je me suis dit: “Trop c’est trop.” De telles méthodes ne mettront aucune communauté en sécurité.»
    Protestation intergénérationnelle et propre aux États-Unis
    Les étudiants juifs engagés au sein de Jewish Voice for Peace établissent volontiers un parallèle entre les souffrances palestiniennes et des revendications qui occupent les campus des États-Unis depuis plusieurs années, comme celles nées du mouvement Black Lives Matter.

    On aurait tort de lire dans la mobilisation propalestinienne un «simple phénomène de mode» qui concernerait uniquement la jeunesse, rectifie toutefois Josh. «À Boston, notre groupe tire justement sa force d’une communauté multigénérationnelle. Celle-ci inclut des octogénaires ayant jadis lutté contre la guerre du Vietnam.»

    «L’antisémitisme est un problème mondial et nous méritons de vivre en paix. Mais notre sécurité ne dépend pas d’Israël.»
    Tal, jeune juif, membre de la branche new-yorkaise de l’ONG Jewish Voice for Peace
    «Au-delà de toute considération générationnelle, à la différence de juifs plus exposés à l’antisémitisme ailleurs, les juifs américains éprouvent globalement un sentiment de sécurité, de réussite et de pleine intégration dans leur pays», assure Sara Yael Hirschhorn.

    «Il est temps de dire qu’il fait meilleur être juif en Amérique qu’à Jérusalem. Si quelque chose comme la Terre promise existe, c’est nous, les juifs américains, qui y habitons», écrivait le rabbin et théologien américain Jacob Neusner, en 1987. Aussi, l’idée sioniste qu’Israël puisse servir de refuge si les choses tournaient mal pour les juifs ne fait donc pas forcément mouche parmi eux, poursuit la spécialiste de l’histoire juive.
    Antisionisme ou antisémitisme?
    Selon Tal, les promoteurs du sionisme «ont réussi à propager le mythe selon lequel l’ensemble des juifs ont besoin d’Israël en tant que superpuissance militaire qui les protègerait». Certes, «l’antisémitisme est un problème mondial et nous méritons de vivre en paix», concède-t-il. «Mais notre sécurité ne dépend pas d’Israël», poursuit le jeune homme.

    Pis, les «atrocités commises par un État autoproclamé juif ternissent dangereusement notre image aux yeux de certains», regrette Benjamin, depuis Los Angeles. «C’est pourquoi il est crucial d’affirmer qu’Israël ne nous représente pas», renchérit Tal.
    nous ne sont pas antisémites. Ce sont des gens qui veulent vivre libres.»
    Josh, 26 ans, militant pour Jewish Voice for Peace à Boston
    La riposte israélienne sur la bande de Gaza a d’ailleurs provoqué une épidémie d’antisémitisme à travers le monde. Croix gammées, agressions physiques, menaces de mort: celle-ci n’a pas épargné les universités américaines. Selon l’Anti-Defamation League (ADL), groupe non gouvernemental de défense de la communauté juive, les incidents antisémites aux États-Unis ont augmenté de 388% entre 7 et le 23 octobre 2023, par rapport à l’année précédente. Sans parler des réseaux sociaux où la haine en ligne a considérablement explosé.

    Selon un sondage réalisé par l’organisation juive américaine Jewish Federations of North America, publié début novembre dernier, 70% des juifs se sentaient «moins en sécurité» aux États-Unis depuis le début de la guerre déclenchée par les attaques terroristes perpétrées par le Hamas en Israël le 7 octobre 2023.
    Ce jour-là, les combattants palestiniens du Hamas ont ôté au moins 1.200 vies en Israël, dont une majorité de civils non armés. Partisans de l’annihilation du groupe islamiste, d’autres juifs américains confient avoir rompu les ponts avec quiconque soutient l’arrêt des bombardements à Gaza. «Ce sont des antisémites», estiment-ils.

    Josh se revendique lui aussi comme juif. Mais il estime essentiel de montrer que sa judéité ne l’empêche aucunement d’incriminer l’État hébreu: il s’agit pour lui de démontrer la différence entre l’antisionisme et la haine des juifs. D’ailleurs, Josh milite de concert avec plusieurs organisations palestiniennes. De quoi porter un message au monde: «Les Palestiniens qui manifestent avec nous ne sont pas antisémites. Ce sont des gens qui veulent vivre libres.»

    1 — Le prénom a été changé. Retourner à l’article

    2 — Sara Yael Hirschhorn est historienne, spécialiste des questions juives et des États-Unis, professeure invitée et chercheuse en chef à l’université de Haïfa (Israël), ainsi que membre du groupe de réflexion israélien Jewish People Policy Institute. Retourner à l’article

    🤮Je rajoute que ces tarés vivent sur une Terre colonisée et cela ne les dérangent pas.Enfants gâtés.fille et fils á papa qui ne doivent pas beaucoup souffrir du quotidien et si peu d´antisémitisme!En espérant que leurs voyages en Israel leur sera rendu compliqué et qu´une fois sur place ils prennent des torgnolles par les locaux!!!
    Un peu de zizique pour un peu de lumiere dans ce monde bien tristounet:
    -Dick Dale ~ Spacial Disorientation [full album + artwork]
    https://youtu.be/ENpEtiBVq84?feature=shared

  3. Ethan dit :

    Malheureusement ces left fachos font du mal par leur extrémisme, leur reniement,
    Ca fait penser aux staliniens israéliens après la guerre d’indépendance qui ont rejoint l’union soviétique : le peloton d’exécution des purges staliniennes les attendaient.
    Ils n’ont rien de juif, ce n’est qu’un paravent pour avancer une idéologie qui est fondamentalement contre le judaïsme.

  4. benjamin dit :

    cet individu a la tete qui enfle comme une pastèque tunisienne !le malheureux se croit important !!mais ce n est qu une petite merde pretencieuse !!

Publier un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *