
Le député LFI Éric Coquerel s’en prend à Israël après l’attaque antisémite de Washington
Le député insoumis réagit au meurtre de deux employés de l’ambassade d’Israël à Washington en évoquant la crise humanitaire à Gaza.
Éric Coquerel, député LFI, a réagi sur RTL, à la mort de deux employés de l’ambassade d’Israël aux États-Unis devant le Musée juif de Washington ce mercredi 21 mai. « Ma réaction, c’est qu’il faut très rapidement que s’arrête le génocide en cours à Gaza, voilà ce que je veux dire. Parce qu’il est évident qu’à partir du moment où vous avez un tel déchaînement de haine, de violence, ça déchaîne la haine de tous les côtés. »
Le Musée juif, situé en plein centre de Washington, à proximité du Capitole, accueillait au moment de l’attaque une réception organisée par l’American Jewish Committee (AJC). Selon cette organisation, il s’agit « clairement d’une attaque motivée par la haine envers le peuple et l’État juifs ».
« Je vais faire attention dans les petites phrases qui sont après reprises. Mais Jean-Noël Barrot expliquait hier que qui sème la violence récolte la violence », se justifie Éric Coquerel en citant des propos du ministre des Affaires étrangères tenus la veille sur France Inter, avant les événements. « Il voulait dire qu’à partir du moment où il y a des actes de guerre ou de génocide, cela peut un jour se retourner contre la population israélienne, ce que je condamne », ajoute le député insoumis
Accusations de harcèlement sexuel
Sophie Tissier, activiste, ancienne proche du Parti de gauche et figure des Gilets jaunes, accuse Éric Coquerel de « gestes déplacés » lors d’une soirée dansante prolongée en boîte de nuit en 2014 à Grenoble dans le cadre des universités d’été du parti dont il était alors le coordinateur national.
Le 3 juillet 2022, elle annonce avoir saisi le comité contre les violences sexuelles de La France insoumise[34],[35]. Dénonçant des mains baladeuses, une « drague lourdingue » et un « regard salace et gluant » ainsi que des textos suggestifs, elle porte plainte contre lui à Vanves, le 4 juillet pour harcèlement sexuel et pour des gestes « pouvant s’apparenter à une agression sexuelle ». Éric Coquerel affirme qu’il s’agissait d’un « flirt » et dément toute « drague lourde » ou « harcèlement ». La militante d’extrême droite Tatiana Ventôse, elle-même ancienne responsable du Parti de gauche, indique avoir été témoin des faits avancés par Sophie Tissier. Cependant, Marie-Laure Darrigade, candidate LFI aux élections européennes, infirme ces allégations. La militante féministe Rokhaya Diallo affirme que le témoignage de Sophie Tissier n’est pas isolé : « J’ai eu accès à des témoignages directs, j’ai aussi eu plusieurs fois accès à des témoignages de journalistes qui en avaient recueilli d’autres ». Le 2 juillet, selon Mediapart, il n’existe que deux témoignages directs, dont celui de Sophie Tissier, et celui d’une autre femme qu’Éric Coquerel dément intégralement.
Le 13 juillet 2022, le parquet de Paris annonce l’ouverture d’une enquête pour harcèlement sexuel et agression sexuelle à l’encontre d’Éric Coquerel, à la suite des accusations et de la plainte déposée par Sophie Tissier. Le 20 février 2023, le parquet de Paris annonce que cette affaire est classée sans suite pour infraction insuffisamment caractérisée[43]. Sophie Tissier dépose à nouveau plainte avec constitution de partie civile pour agression et harcèlement sexuels contre lui en juin 2024
Il est payé pour ça
« Money. Money »…
On les voit ils sont tous bien gras avec leur langue bien pendue .