Le journal Siné Mensuel est à court d’argent.Nous lui souhaitons de crever !

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En août 1982, peu de temps après la fusillade de la rue des Rosiers et dans le contexte de l’intervention de l’armée israélienne au Liban de juin 1982, Siné est invité par Jean-Yves Lafesse à une discussion sur les ondes de la radio libre Radio Carbone 14, Siné avait alors déclaré, à quatre heures du matin lors d’une nuit arrosée :
« Je suis antisémite depuis qu’Israël bombarde. Je suis antisémite et je n’ai plus peur de l’avouer. Je vais faire dorénavant des croix gammées sur tous les murs… Rue des Rosiers, contre Rosenberg-Goldenberg, je suis pour… On en a plein le cul. Je veux que chaque Juif vive dans la peur, sauf s’il est pro-palestinien… Qu’ils meurent ! Ils me font chier… Ça fait deux mille ans qu’ils nous font chier… ces enfoirés… Il faut les euthanasier… Soi-disant les Juifs qui ont un folklore à la con, à la Chagall de merde… Y a qu’une race au monde… Tu sais que ça se reproduit entre eux, les Juifs… C’est quand même fou… Ce sont des cons congénitaux. »
Il publie ultérieurement une lettre d’excuses à la LICRA sous forme d’encarts publicitaires dans le journal le Monde, affirmant avoir été ivre au moment de ces déclarations. La LICRA retire alors sa plainte, son avocat Bernard Jouanneau déclarant à propos de cette lettre :
« Lisez, apprenez-la par cœur, récitez-la à vos enfants. Vous avez là un morceau d’anthologie, une page du cœur. […] À la prochaine audience, je pourrai serrer la main de Siné. »
Le Comité juif d’action à travers l’avocat Gilles-William Goldnadel continue cependant l’action en justice et Siné est finalement condamné, le 12 février 1985, pour « provocation à la discrimination, la haine ou la violence raciale ».
Dans une chronique humoristique pour l’émission le Tribunal des flagrants délires sur France Inter, Pierre Desproges, dans le rôle du procureur, déclarait à propos de Siné (dans le rôle de l’accusé) :
« ce morne quinquagénaire gorgé de vin rouge et boursouflé d’idées reçues, présente à nos yeux blasés […] la particularité singulière, bonjour les pléonasmes, d’être le seul gauchiste d’extrême droite de France. Xénophobe même avec les étrangers, rebonjour, masquant tant bien que mal un antisémitisme de garçon de bain poujadiste sous le masque ambigu de l’antisionisme pro-palestinien […]. »
Desproges et Siné travaillaient ensemble pour l’hebdomadaire Charlie Hebdo et s’étaient prêtés à ce sketch au second degré. Ces propos ont été cependant repris dans la presse24 sans que la nature parodique de l’émission soit précisée, laissant entendre que Desproges tenait réellement Siné pour antisémite

lire ci-après l’article de L’EXPRESS
« Trois ans après sa création, le magazine satirique Siné Mensuel lance un nouvel appel aux dons auprès de ses lecteurs pour recueillir 100 000 euros. Problème: il lui manque chaque mois 2000 lecteurs.

Trois ans après sa création, le magazine satirique Siné Mensuel, lance un nouvel appel aux dons auprès de ses lecteurs pour recueillir 100 000 euros, n’ayant « dans [ses] caisses que de quoi tenir deux mois ». Le mensuel espère réunir cette somme d’ici à la fin de l’année.
« On a fait le bilan fin septembre. On ne doit rien à personne, mais on a besoin d’argent pour continuer à paraître », a expliqué à l’AFP Catherine Sinet, directrice de la publication et épouse du dessinateur Siné, précisant que « les ventes du magazine étaient à -13% sur l’année ». « En moyenne, nous vendons 15 000 exemplaires (…). Le magazine, fondé par l’ancien pilier de Charlie Hebdo également passé par L’Express dans les années 50, mélange textes et dessins à parts égales, emploie trois salariés et dit travailler avec une quarantaine de collaborateurs réguliers.
Le magazine, vendu les premiers mercredis de chaque mois au prix de 5,50 euros, a déjà récolté 90 000 euros l’an dernier lors d’un premier appel aux dons. Il nous faudrait 17 000 exemplaires pour être à l’équilibre », explique Siné Mensuel sur son site, soulignant « perdre un peu de fric à chaque numéro ».

« Nous restons fidèles à nos principes: pas de pub, pas d’investisseurs, pas de grands patrons au capital… On veut juste garder notre liberté et notre niaque. Sans compromission », justifie le magazine, lancé en septembre 2011, seize mois après l’arrêt de Siné Hebdo, et trois ans après le licenciement de Siné de Charlie Hebdo pour un dessin sur Jean Sarkozy considéré comme antisémite par Philippe Val, directeur de la publication. Après avoir été relaxé pour cette accusation au nom du droit à la satire, Siné avait fait condamner Charlie Hebdo pour licenciement abusif. «
lire l’article de L’EXPRESS en cliquant sur le lien ci-après
http://www.lexpress.fr/actualite/medias/sine-mensuel-a-cours-d-argent-appelle-au-secours_1608951.html

ci-après un exemple de la pensée délirante de l’individu

happywheels

5 Commentaires

  1. Lionel dit :

    Amen et je payerai les funérailles ! Lol

  2. Cathy dit :

    Qu’ils crèvent , lui et son torchon ! Amen

  3. yaacov dit :

    sine c cause perdue tu vas crever avec ton litron de prefontaine

    bon debarras

  4. Yéh'ezkel Ben Avraham dit :

    …et si on lui rachetait son canard pour en faire une vraie feuille d’information avec divers articles provenant de Juifs et d’Israéliens tendance Mah’ané Léoumi !? En échange, on lui offrirait une ou deux (cela dépendra du temps que ses hôtes s’aperçoivent qu’il est un kafir!)semaines de vacances à Mossoul, endroit où il pourrait « antisémiter » tout à son aise.

  5. Eveil dit :

    Encore un irrécupérable.

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