Mohammed al-Joulani complice des assassins de Samuel Paty reçu Mercredi par MACRON
Le tueur de Samuel Paty était en lien avec le groupe de rebelles islamistes Hayat Tahrir al-Sham (HTS)
Mohammed al-Joulani, l’ancien fondateur du Front al-Nosra, affilié à al-Qaïda, qui a renversé le régime de Bachar al-Assad dimanche 8 décembre, joue depuis la carte de la modération. Mais en 2020, l’un de ses membres a été en contact avec le tueur tchétchène de Samuel Paty.
Mohammed al-Joulani le martèle depuis des années : le jihad global ne l’intéresse plus. L’ancien fondateur du Front al-Nosra, affilié à al-Qaïda, qui a renversé le régime de Bachar el-Assad, après une offensive éclair avec son groupe de rebelles islamistes Hayat Tahrir al-Sham (HTS), joue depuis la carte de la modération.
Gaële Joly a eu accès à un un document de la sous-direction anti-terroriste. Quand Abdoullakh Anzorov assassine Samuel Paty en octobre 2020, le terroriste tchétchène est en lien depuis plusieurs mois avec un certain Farrukh Fayzimatov, né au Tadjikistan, mais localisé en août 2020 à 20km d’Idlib, le berceau d’HTS.
À l’époque, l’homme de 24 ans exerce depuis la Syrie des activités de propagande au sein de l’organisation islamiste. Il anime des canaux d’information sur Telegram et collecte également de l’argent pour les combattants. Le 13 septembre 2020, sur Instagram, Farrukh Fayzimatov est soupçonné d’avoir diffusé une vidéo où il cible la France après la diffusion d’une caricature du prophète.
Abdoullakh Anzorov échange avec lui le jour de la décapitation du professeur et il lui envoie même une photo. 12 jours avant, il écrivait sur Snapchat : « Il n’y a pas de doutes que ce qui se passe à Idlib est le vrai jihad où Allah choisit parmi ses serviteurs les martyrs, et le meilleur groupe actuel à rejoindre, c’est Hayat Tahrir al-Cham. » Une véritable ode à HTS.
Melanchon devrait le prendre avec lui.
S’il pouvait neutraliser Macron en direct !
La France aurait peut-être une chance de se relever.
Perso, un verre de vin blanc bien frais me ferait plaisir.
Pour le symbole il pourrait le recevoir à la Gare de Montoire .
Le 24 octobre 1940, la gare de Montoire servait de décor à la tristement célèbre entrevue entre Hitler et Pétain. Un passé encore lourd à porter.
Il y a tout juste 80 ans, la petite ville de Montoire entrait dans l’histoire malgré elle. En cette fin octobre 1940, le quartier de la gare est transformé en forteresse Des centaines de soldats allemands pour sécuriser un rendez-vous organisé dans le plus grand secret. Des batteries antiaériennes sont disposées autour des voies de chemin de fer.
Les habitants sont consignés chez eux, le maire Louis Renard est placé sous la surveillance d’un officier. Considéré comme otage, il fera aussi office de goûteur du lait qui sera servi à un Adolf Hitler végétarien et paranoïaque.
Car c’est le Führer en personne qui s’apprête à faire escale dans cette localité du Loir-et-Cher. « Montoire était alors un nœud ferroviaire bien placé sur l’itinéraire de Hitler qui se rendait à Hendaye rencontrer Franco », précise Séverine Fraisse, responsable de la Gare historique, le musée qui relate cet épisode.
Autre atout stratégique : en cas d’alerte aérienne, le convoi de Hitler pourra se réfugier dans le tunnel de Saint-Rimay tout proche. « Les Allemands vont également réquisitionner des plantes tropicales acheminées depuis le jardin botanique de Tours ainsi que le tapis rouge de l’église pour décorer le bâtiment. »
Beaucoup de gens l’ignorent mais le Führer s’est arrêté deux fois à Montoire. La première étape a lieu le mardi 22 octobre. Un premier train arrive à 18 h 34 : celui du ministre des Affaires étrangères, von Ribbentrop. Vingt minutes plus tard, un second convoi s’immobilise sur la voie 3 aujourd’hui disparue. Il s’agit du train personnel d’Adolf Hitler surnommé Amerika (ou Erika). Les voitures personnelles (et blindées) du dictateur comportent salle de bain, chambre et salle à manger.
Protégé par deux wagons de DCA, le convoi est tracté par deux locomotives et d’une machine de secours, à l’arrière. II est 19 h, Pierre Laval, vice-président du Conseil et Otto Abetz, ambassadeur d’Allemagne en France montent à bord. « Cette entrevue était destinée à préparer celle prévue entre Hitler et le maréchal Pétain, deux jours plus tard », précise la responsable de la gare historique.
Hitler annonce à un Laval déjà engagé dans une collaboration étroite avec l’occupant nazi, qu’il désire l’aide de Vichy pour vaincre l’Angleterre. L’entretien s’achève à 20 h 15. Le train de Hitler repart au milieu de la nuit en direction d’Hendaye. Les soldats plient bagage et Montoire retrouve sa quiétude.
Prélude à la collaboration Mais le jeudi 24 octobre, c’est à nouveau le branle-bas de combat ! Pétain qui a été avisé des intentions du Führer part de Vichy au petit matin et s’arrête à la préfecture de Tours pour déjeuner avant de s’offrir une petite sieste.
De retour du Pays basque, le train d’Hitler arrive à Montoire à 15 h 29. Ribbentrop et l’interprète Paul Schmidt atterrissent à Parçay-Meslay et le rejoignent en voiture. Le maréchal Pétain arrive à 18 h et reçoit les honneurs d’un bataillon allemand rassemblé sur la place puis se dirige vers Hitler qui l’attend sur le quai. « La fameuse poignée de main a lieu sous la petite marquise située au milieu des voies et qui a été démolie depuis, indique Séverine Fraisse. Il s’agissait d’une marque de politesse et non d’un signe d’accord entre eux car la discussion n’a eu lieu qu’après, à l’intérieur de la voiture salon. »
Quant à l’entrevue, elle ne donnera lieu à aucun accord. L’ancien vainqueur de Verdun ne souhaite pas entrer en guerre contre l’Angleterre mais la voie de la collaboration est ouverte comme le confirmera le discours de Pétain prononcé une semaine plus tard, alors même que le régime de Vichy a déjà promulgué le statut des Juifs le 3 octobre. Les Montoiriens se seraient bien passés d’une telle postérité.
Micron manque vraiment de maturité politique…il est d’une naïveté désarmante .
Voilà l’homme qui nous gouverne cet homme est dangereux .