
RACISME ANTI ALGERIEN ? La France Insoumise prend ses distances avec Sébastien Delogu
Sébastien DELOGU embrasse le drapeau lagérien
Il est loin d’être l’individu inculte et ignorant ^que les médias présentent : Lors des législatives de 2022, il est candidat de La France insoumise – NUPES dans la septième circonscription des Bouches-du-Rhône. En tête au premier tour, il est élu au second avec 64,68 % des voix
Cette circonscription est principalement peuplée de français d’origine algérienne dont un grand nombre restent attachés à leur pays d’origine
Delogu le sait parfaitement
Son comportement en Algérie ne se justifie que pour séduire son électorat
Si ses électeurs étaient d’origine tunisienne ou marocaine Delogu aurait fait le même cinéma dans ces 2 pays
En France les communautés d’origine algérienne, marocaine et tunisienne ne se méalngent pas.
Lire ci-dessous l’article du Figaro
En pleine crise diplomatique entre Paris et Alger, le député LFI affirme avoir traversé la Méditerranée pour défendre une alternative au bras de fer engagé par Bruno Retailleau. Une approche fondée selon lui sur «le respect, la souveraineté et le respect du droit international».
La France Insoumise (LFI) n’a pas pour habitude de désavouer publiquement ses cadres, même en cas de déclarations controversées. Elle vient pourtant de déroger à cette ligne en prenant ses distances avec Sébastien Delogu, député des Bouches-du-Rhône et très proche de Jean-Luc Mélenchon. Une explication s’impose : alors que la France et l’Algérie traversent depuis des mois l’une des pires crises diplomatiques de leur histoire, l’élu, d’origine algérienne, effectue une visite de plusieurs jours sur la terre de ses ancêtres. À cette occasion, il a prôné en début de semaine un dialogue «d’égal à égal» avec le régime de Abdelmadjid Tebboune, défendant une «autre voie» que celle du gouvernement français, fondée sur le «respect», «la souveraineté» et le «respect du droit international».
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Une pique adressée au ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau, engagé – jusqu’ici sans succès – dans un bras de fer avec Alger afin de contraindre le pays du Maghreb à reprendre ses ressortissants frappés d’une obligation de quitter le territoire français (OQTF). Une posture de fermeté perçue, de l’autre côté de la Méditerranée, comme une cabale dirigée contre l’Algérie à des fins politiques. Pour rappel, ce climat de tensions a éclaté l’an dernier après la reconnaissance par Paris d’un plan sous souveraineté marocaine pour le Sahara occidental, initiative considérée comme une provocation par Alger.
Le député Sébastien Delogu embrasse le drapeau algérien lors d'une manif à Marseille
(Source : Facebook / Sébastien Delogu) pic.twitter.com/yTdrcNdisJ— TSA Algérie (@TSAlgerie) June 5, 2024
«Des millions de Françaises et de Français se sentent insultés face aux invectives incessantes de certains ministres français», a dénoncé Sébastien Delogu, qui, après avoir échangé avec des députés de l’Assemblée nationale populaire, a préféré insister sur les relations qui unissent les deux peuples : «Il y a la mer Méditerranée qui nous lie, il y a notre histoire commune avec le peuple algérien». Avant d’exprimer à la télévision nationale sa reconnaissance envers l’Algérie, sans formuler la moindre critique à destination de son pouvoir : «Quand vous arrivez ici, vous apprenez à avoir un peuple qui vous accueille d’une manière dont, honnêtement je n’ai jamais été accueilli (…) Tout le monde est gentil, tout le monde sourit, tout le monde prend soin de moi.»
Problème : à aucun moment, lors de ses interventions médiatiques, le député mélenchoniste n’a évoqué le cas de l’écrivain franco-algérien Boualem Sansal – condamné ce mardi à cinq ans de prison ferme en appel pour «atteinte à l’unité nationale» – qui avait envenimé la crise franco-algérienne, ni celui du journaliste sportif français Christophe Gleizes, condamné à ce dimanche sept ans de prison ferme, notamment pour «apologie du terrorisme». De quoi faire grincer des dents dans son propre mouvement.
Alors que l’AFP (Agence France Presse) affirme ne pas avoir pu interroger Sébastien Delogu au sujet de ces deux Français emprisonnés en Algérie, LFI, sentant la polémique enfler, s’est rapidement désolidarisée de son élu sur les réseaux sociaux. «Le député Sébastien Delogu s’est exprimé de façon personnelle en Algérie. Il n’engage ni les groupes parlementaires de la France insoumise, ni le mouvement», peut-on lire sur le compte X officiel du parti, rappelant au passage, «protester» contre l’arrestation du journaliste Christophe Gleizes et sa «demande» de «libération immédiate», tout en «renouvelant» son «exigence de voir libérer Boualem Sansal». Une source interne au groupe LFI à l’Assemblée a même pris davantage de distances, confiant au Figaro que Sébastien Delogu «a organisé un déplacement personnel en Algérie». Une mise au point jugée nécessaire face aux interpellations croissantes de la «presse française» à ce sujet, ajoute-t-on.
Signe que le voyage de l’élu marseillais embarrasse, le député Éric Coquerel n’a pas attendu la réaction officielle de son mouvement pour prendre les devants. En début d’après-midi ce mardi, l’élu de Seine-Saint-Denis a «réclamé la libération du journaliste français Christophe Gleizes», bien qu’il assure «ne pas faire partie de ceux qui cultivent des relations tendues avec l’Algérie. Au contraire». «Rien ne justifie le maintien en détention de ce journaliste qui n’a été sur place que pour un reportage consacré à sa passion, le foot», a-t-il martelé, sans faire référence explicitement à son collègue des Bouches-du-Rhône.
Honte à delogu et sa bande anti France anti juive anti occident ou dhimis a l écoute de leurs maîtres islamistes ou simplement islamistes assumes !!!
Un peu d’histoire:
» Le 30 avril 1827, à Alger, le dey Hussein soufflette de son éventail le consul de France, un affairiste du nom de Deval qui avait refusé avec insolence de s’engager sur le remboursement d’un prêt. C’est le prétexte à une tension entre les deux pays qui débouche trois ans plus tard sur la conquête de l’Algérie.
La France a bien changé »
A l’origine de cette dette deux courtiers Juifs. : Bachri et Buznach qui avaient vendu du blé à la France sous la révolution .
Dette impayée su jour de l’incident qui débouche 3 ans après à la prise d’Alger
Pour la petite histoire Talleyrand était intervenu auprès de Napoléon pour régler ce litige et percevoir au passage sa commission….. sacré Maurice!