
VIDEO -«Ils nous ont traités de nazis» : le journaliste de Cnews Erik Tegnér agressé par la vermine anarchiste pro Hamas
Le journaliste Erik Tegnér affirme avoir été agressé, avec sa fiancée, par une dizaine de militants antifas lors d’une fête de village à Plouha, en Bretagne. Menaces, insultes et bousculades : il dénonce une violence politique orchestrée par l’ultragauche.
J’ai été agressé cette nuit en famille, à la fête de mon village de Plouha en Bretagne, par une dizaine de jeunes antifas qui m’ont reconnu comme journaliste Frontières et chroniqueur Cnews. “On sait où t’habites”, “nazi”, violentes bousculades, prise au coup, jets d’alcool à la… pic.twitter.com/RFKLhlPkeS
— Erik Tegnér (@tegnererik) August 1, 2025
« Ils m’ont reconnu comme journaliste de Frontières et chroniqueur pour CNews. » Erik Tegnér affirme avoir été victime d’une agression dans la nuit du 31 juillet au 1er août lors d’une fête au village breton de Plouha, dans les Côtes-d’Armor. Le directeur du média Frontières a raconté dans une vidéo sur ses réseaux sociaux avoir été ciblé, lui et sa fiancée, par « une dizaine de jeunes antifas » qui l’ont reconnu.
Le couple aurait été victime d’insultes, de menaces et de « violentes bousculades » de la part de ces individus. « Ils nous ont traités de nazis. Ils ont dit : ‘On te reconnaît. T’es un fasciste, tu n’as absolument rien à faire ici’ », raconte Erik Tegnér qui explique aussi avoir été « pris au cou » par l’un des agresseurs. « Ils ont dit à ma fiancée : ‘On sait où t’habites. On va vous chasser d’ici’ », ajoute-t-il. Face à ces individus, Erik Tegnér a alerté des policiers mobilisés « à plusieurs centaines de mètres » pour calmer la situation.
« Les antifas n’ont pas à faire leur loi »
Dans sa vidéo, il a également interpellé l’édile de Plouha : « Que fait le maire Xavier Compain (Parti Communiste) qui a payé ce concert avec nos impôts ? L’organisation d’événements municipaux doit permettre à tout le monde de participer sans avoir à se faire agresser, non ? »
Le journaliste affirme avoir pris rendez-vous lundi matin à la gendarmerie pour déposer plainte. « C’est intolérable ! L’extrême gauche et les antifas n’ont pas à faire leur loi chez nous, ils sont une minorité violente », dénonce-t-il avant d’assurer que « ces gens violents prennent exemple sur La France insoumise ».
Source Le JDD