À Moscou, l’incroyable histoire du crâne d’Adolf Hitler

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GRAND RÉCIT – Le Figaro a pu voir les restes du chef nazi, récupérés par les Soviétiques à Berlin après son suicide et détenus par la Russie.
Par Alain Barluet
Un vertige vous saisit lorsque deux mains gantées de plastique bleu vous présentent le crâne d’Adolf Hitler. La voici donc, cette funeste relique, ultime lambeau d’humanité du dictateur qui mit à feu et à sang l’Europe entière et ordonna la «solution finale». Nous sommes dans les étages d’un vieil immeuble des Archives d’État de la fédération de Russie (Garf), à Moscou. Éclairée d’une méchante lumière, la pièce exiguë est aussi avenante qu’une cellule de prison. Seuls meubles, une armoire forte et une petite table sur laquelle ont été disposées plusieurs liasses épaisses: des documents sur la mort du führer dans son bunker de la Chancellerie, le 30 avril 1945, et les enquêtes qui suivirent, menées par les Soviétiques, les premiers parvenus sur les lieux, mais aussi par leurs alliés occidentaux.
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Les deux archivistes masqués ne s’empressent guère et ne répondent à aucune question. On dirait ces cerbères contrariés d’avoir à dévoiler au visiteur le fameux «objet», longtemps secret, sur lequel ils veillent jalousement depuis des années. Deux détails frappent immanquablement. Le premier est presque cocasse: les morceaux du crâne de Hitler – un pariétal gauche, avec un infime fragment du pariétal droit et de l’occipital -, sont conservés dans une simple boîte à disquettes en plastique… Nous pouvons prendre des photos mais sans soulever le couvercle, transparent.
Le deuxième détail qui retient l’attention est plutôt glaçant. C’est un trou de huit millimètres, bien visible à la surface du fragment crânien. L’orifice de la balle tirée par l’un des pistolets personnels du Führer, un Walther PPK 7,65 mm, tombé au pied du divan sur lequel il est mort avec à ses côtés Eva Braun, elle aussi retrouvée sans vie. Il l’avait épousée la veille, dans la nuit du 29 avril, lors d’une brève cérémonie crépusculaire. Autour de lui, le Reich «qui devait durer mille ans» s’effondre sous les bombes. Le dernier carré des fidèles sombre dans une atmosphère hallucinante, proche de la folie collective, rapporteront des témoins.
Les troupes soviétiques du général Vassili Tchouïkov ne sont plus qu’à quelques kilomètres. Entre sursauts d’espoir, explosions de colère et abattement, le dirigeant nazi dicte son testament à l’une de ses secrétaires: «Moi et ma femme choisissons la mort pour échapper à la honte de la déposition et de la capitulation. Notre désir est d’être brûlés immédiatement sur les lieux où j’ai fourni la plus grande partie de mon travail quotidien pendant les douze années passées au service de mon peuple.»
Hitler était obsédé par l’idée folle selon laquelle Staline voulait l’attraper vivant, le mettre dans une cage et l’exhiber comme cela à travers toute la Russie
Ce même 29 avril, le führer apprend la capture dans le nord de l’Italie de Benito Mussolini et de sa compagne, Clara Petacci, abattus et pendus par les pieds devant la foule à Milan. C’est sa hantise. «Hitler était obsédé par l’idée folle selon laquelle Staline voulait l’attraper vivant, le mettre dans une cage et l’exhiber comme cela à travers toute la Russie», explique Sergueï Mironenko, le directeur scientifique des Archives d’État. «Dans le bunker, on a même retrouvé un laboratoire portatif pour détecter les gaz: Hitler pensait que les Soviétiques allaient le capturer en l’endormant…», raconte-t-il encore. Une fois découverts, dans l’après-midi du 30 avril 1945, le corps de Hitler et celui d’Eva Braun ont été incinérés à la hâte avec du kérosène et recouverts de terre dans un trou d’obus dans les jardins de la Chancellerie, alors sous le feu de l’artillerie soviétique.
Nombre de «thèses» ont circulé sur la fin de Hitler et des zones d’obscurité ont persisté durant des décennies sur ces événements. Beaucoup ont été éclaircies, certaines subsistent. Comment Hitler est-il mort – et d’ailleurs est-il vraiment mort, ce 30 avril à Berlin? Ses restes sont-ils authentiques ou bien des faux, fabriqués ultérieurement par les Soviétiques pour s’assurer, grâce à cet inestimable trophée, – la dépouille du chef de l’ennemi -, une place prépondérante dans l’imaginaire collectif et s’ériger en véritables vainqueurs du nazisme?
Selon la version la plus plausible, le maître du IIIe Reich s’est suicidé en avalant une capsule de cyanure et en se tirant une balle dans la tête alors qu’il était assis sur un canapé – dont le Garf conserve aussi un montant de bois et un morceau de tissu avec des tâches ressemblant à du sang. Près de lui, Eva Braun aurait ingéré du cyanure. Mais on ne peut totalement exclure que Hitler, qui était atteint de la maladie de Parkinson et dont les mains tremblaient, ait demandé à un aide de camp de lui donner le coup de grâce. «Je n’y crois pas. Si quelqu’un d’autre avait tiré, il aurait visé ailleurs, dans le cœur par exemple», rétorque le directeur scientifique des Archives, Sergueï Mironenko.
Il n’y a aucun argument morphologique et historique qui s’oppose au fait que ce crâne appartienne à Hitler
Philippe Charlier, lui, déclare «ne pas pouvoir affirmer» que Hitler se soit suicidé. Mais il se dit en revanche convaincu qu’il s’agit bien des restes du dirigeant nazi. Ce médecin légiste et anthropologue français renommé a été choisi par le Kremlin pour réaliser en 2016-2017 la seule expertise légale depuis celle effectuée en 1946 par les légistes soviétiques. Outre son objectivité – il n’est ni Russe ni Américain -, l’expert a pour lui de s’être déjà confronté avec efficacité à plusieurs «patients historiques»: Richard Cœur de Lion, Diane de Poitiers, Henri IV, Descartes, Marat et Napoléon Ier (1). «Il n’y a aucun argument morphologique et historique qui s’oppose au fait que ce crâne appartienne à Hitler», souligne Philippe Charlier.
L’hypothèse la plus probable, ajoute le spécialiste, c’est qu’«Hitler, qui était droitier, a posé son arme du côté de la tempe droite et que la balle est sortie du côté du fragment du crâne que l’on possède, c’est-à-dire un pariétal gauche». Selon lui, il est absolument certain que Hitler ne s’est pas tiré une balle dans la bouche, car sinon on aurait retrouvé des traces d’éléments liées aux gaz de propulsion et à la poudre lors de l’examen de la «denture» du führer. Ce terme désigne l’os de la mâchoire supérieure, la mandibule, les dents et un appareil dentaire en grande partie métallique. À Moscou, Philippe Charlier a eu en effet accès à cette «denture», pièce clef du dossier Hitler, conservée non aux Archives d’État mais à la Loubianka, siège du FSB, les services de sécurité russes.
«Notre étude a montré qu’il s’agissait bien de restes authentiques qui n’avaient pas été trafiqués. Cela nous a aussi permis de confirmer le régime alimentaire d’Adolf Hitler qui était végétarien strict», explique Philippe Charlier. «Nous avons aussi retrouvé de petits fragments de verre intercalés entre les dents et les prothèses, ainsi qu’une pigmentation des éléments métalliques de couleur bleue, qui pourraient correspondre aux restes d’une ampoule de cyanure qu’il aurait croquée et aux conséquences physico-chimiques de l’interaction poison/métal», ajoute le médecin légiste. Dans les jours suivant la mort de Hitler, Käthe Heusermann, l’assistante de Hugo Blaschke, le dentiste personnel du Führer, avait été retrouvée et interrogée par les Soviétiques. Elle avait pu dessiner de mémoire la mâchoire de Hitler, et notamment son appareil dentaire, qui correspondaient aux restes des deux corps carbonisés retrouvés près du bunker et identifiés comme étant ceux de Hitler et d’Eva Braun. Des radiographies du führer, réalisées un an avant sa mort et qui sont conservées actuellement aux États-Unis, «collaient» également avec les fragments retrouvés.

Les jardins de la chancellerie du Reich à Berlin, où étaient le corps d’Hitler et Eva Braun. Mirrorpix/Mirrorpix via Getty Images
D’emblée les restes de Hitler – et notamment son crâne – ont été au cœur des rivalités géopolitiques entre les Alliés. Mais aussi au centre des luttes internes, en URSS, entre les «services». Le 2 mai 1945, la chancellerie, dernier refuge du führer, est occupée par l’Armée rouge. Ce même jour, le Smersh, le département du contre-espionnage dirigé par Viktor Abakoumov, trouve les corps de Joseph Goebbels et de sa femme Magda. Ils se sont donné la mort après avoir tué leurs six enfants. Le 5 mai, une section du Smersh repère deux autres cadavres atrocement brûlés et méconnaissables, près du bunker personnel de Hitler, dans un trou d’obus. Une commission d’enquête est mise en place, un examen médico-légal est effectué. Les rares témoins sont interrogés. Grâce notamment aux renseignements fournis par l’assistante du dentiste, l’enquête soviétique abouti à la conclusion qu’il s’agit «vraisemblablement» du corps du dictateur et de sa femme. La mort de Hitler, lit-on aussi, «a été causée par un empoisonnement aux composés de cyanure de potassium».
La thèse de l’empoisonnement prévaudra en URSS jusqu’à l’époque de Khrouchtchev. Dans le rapport d’autopsie que Staline reçoit le 16 juin, le crâne n’est pas évoqué. Et pour cause, les hommes du Smersh ne l’ont pas retrouvé. «À la suite de l’onde de choc provoquée par le coup de feu, un fragment pariétal s’est détaché, il ne tenait que grâce à la peau. Mais lorsque le corps a été incinéré et que la peau a brûlé, le fragment est resté dans la terre quand le corps a été sorti du trou d’obus», détaille le directeur scientifique des Archives, Sergueï Mironenko.
Le crâne de Hitler ne sera retrouvé qu’un an plus tard, en mai 1946, par le NKVD, la police politique, dirigé par le puissant Lavrenti Beria. Celui-ci n’a guère apprécié les initiatives du Smersh – un service rival -, pour le «doubler» dans l’identification du corps de Hitler. «Le Smersh n’a d’ailleurs pas voulu passer au NKVD les corps calcinés retrouvés le 5 mai 1945. Ils ont été enterrés dans le camp militaire de Magdebourg, où se trouvait le département du contre-espionnage», raconte Vladimir Kozlov, historien, ex-directeur adjoint des Archives d’État et auteur d’un livre intitulé Où est Hitler? (Rosspen, Moscou, 2016).
Aujourd’hui encore, il y a des gens qui estiment que Hitler s’est enfui en Amérique du Sud
Au printemps 1946, Beria lance donc une deuxième enquête. L’opération est dénommée MIF – le mythe en russe. Le plus célèbre médecin légal russe de l’époque, Piotr Semionovsky, y participe. «Les instructions étaient de ne pas tenir comme acquise la mort de Hitler mais d’examiner toutes les versions possibles», souligne Vladimir Kozlov. Pourtant, «le nom de Hitler ne figurait pas sur la liste des criminels nazis jugés au procès de Nuremberg (qui s’est ouvert le 20 novembre 1945, NDLR), c’est-à-dire que tout le monde s’accordait à dire qu’il était déjà mort», rappelle l’historien russe. Mais, dès cette époque, la rumeur se propage selon laquelle le dirigeant nazi aurait survécu. «Aujourd’hui encore, il y a des gens qui estiment que Hitler s’est enfui en Amérique du Sud», souligne Sergueï Mironenko, le directeur scientifique du Garf. D’autres ont avancé la thèse selon laquelle il serait mort en 1976 dans un camp soviétique. «Cela ne tient pas parce que la denture que l’on détient est bien celle de Hitler en 1944-1945: il n’a donc pas pu survivre et est mort dans les conditions que l’on sait», relève Philippe Charlier.
Début 1946, le NKVD interroge à nouveau les témoins qui ont été emmenés en captivité en URSS. Parmi eux, le chef-pilote du chancelier du Reich, le général Hans Baur, et le majordome Heinz Linge. Présents dans le bunker, tous ont affirmé que leur chef s’était suicidé par balle. Mais «on exigeait qu’ils reconnaissent que Hitler était resté en vie», dit Sergueï Mironenko. «Le NKVD a utilisé toutes ses méthodes, y compris les coups», précise-t-il. Des mouchards sont placés avec eux en cellule pour les faire parler. On les humilie pour qu’ils craquent. «Un jour, on a retiré au général Baur son uniforme militaire et il a été obligé de revêtir une tenue de prisonnier. Il s’est mis à pleurer, en disant qu’il n’était pas un criminel et qu’il n’avait tué personne… Tout ceci figure dans nos archives», raconte encore M. Mironenko.
Un autre jour, on réunit les prisonniers dans une datcha, en leur ordonnant d’écrire leurs Mémoires, sous bonne garde… «C’est ridicule, tous ont commencé par une phrase qu’ils auraient écrite, du style : “Quand l’aube d’Octobre rouge a éclairé le monde et apporté la liberté aux peuples…”», relate M. Mironenko. Un petit nombre de ces proches de Hitler pourront rentrer en Allemagne après la visite de Konrad Adenauer en URSS, en 1955. Käthe Heusermann, l’assistante du dentiste, devenue un témoin gênant parce qu’elle connaissait la vérité, et envoyée dans une prison du KGB puis dans un camp de travail en Sibérie, ne sera libérée qu’en 1965.
À la fin de cette deuxième enquête, un texte a été préparé, annonçant qu’on était prêt à faire […] une déclaration officielle sur la mort de Hitler. Mais elle n’a jamais été signée par Staline
Le 30 mai 1946, deux morceaux de crâne partiellement carbonisés sont découverts par les agents du NKVD dans le même trou d’obus d’où les corps avaient été exhumés un an auparavant. C’est le fameux fragment que nous avons eu sous les yeux. Lors de cette deuxième enquête, le morceau de canapé est récupéré dans le Führerbunker. Les Soviétiques ont maintenant confirmation que Hitler est bien mort à Berlin, le 30 avril 1945, à l’âge de 56 ans. Mais ils n’en diront rien. «À la fin de cette deuxième enquête, un texte a été préparé, annonçant qu’on était prêt à faire, en coopération avec les Alliés, une déclaration officielle sur la mort de Hitler. Il y a des projets de cette déclaration dans nos archives. Mais elle n’a jamais été signée par Staline», relate Sergueï Mironenko. Américains et Anglais transmettent aux Soviétiques certaines informations concernant les enquêtes qu’ils mènent eux aussi sur la fin du dictateur mais se plaignent de n’obtenir que peu de choses en retour.
Pourquoi l’URSS (ni d’ailleurs ensuite la Russie) n’a-t-elle pas reconnu officiellement la mort de Hitler? «C’est une vraie énigme», affirme le patron scientifique des Archives russes. Manifestement, Staline a estimé qu’il était de son intérêt de ne pas le faire, sans doute pour laisser planer l’idée que les Occidentaux auraient pu accueillir le chef nazi. «Peut-être pour maintenir une pression vis-à-vis d’autres qui avaient survécu, comme Josef Mengele, (le sinistre médecin des camps de la mort, NDLR) pour les utiliser?», hasarde Philippe Charlier. Selon l’ex-directeur des Archives, Vladimir Kozlov, Staline n’était même pas au courant des résultats de la deuxième enquête, toute l’affaire de l’opération «Mythe» cachant, selon lui, une rivalité entre services de renseignement…
Le crâne et les autres «reliques» de Hitler disparaissent pendant un demi-siècle. En 1970, Iouri Andropov, alors patron du KGB, ordonne que les corps enterrés près de Magdebourg soient incinérés et les cendres jetées dans l’Elbe. Il ne fallait pas que le lieu puisse attirer les nostalgiques du fascisme… Il ne reste donc plus que la denture, conservée à la Loubianka, et le crâne – ainsi que le morceau de sofa, détenus par le NKVD et versés au Garf en tant qu’archives d’État. Nommé sous Eltsine, en 1992, Sergueï Mironenko se souvient qu’à son arrivée aux archives, on lui a remis un paquet, nulle part référencé et que les directeurs se transmettaient de la main à la main: les restes de Hitler! Ces éléments – qui incluent également deux albums photos -, sont alors enregistrés pour la première fois et déclassifiés. Ils n’ont été exposés qu’à de rares occasions, au début des années 2000, et une autre fois récemment. La porte s’est ouverte pour Le Figaro grâce à l’aide de Pierre Malinowski, un Français doté d’un solide réseau à Moscou et qui préside une «Fondation pour le développement des initiatives historiques franco-russes», très soutenue par le Kremlin. Passionné par la Seconde Guerre mondiale, cet ex-militaire affirme que sensibiliser les jeunes générations à cette période de l’histoire constitue «une priorité absolue».
Les mystères qui ont longtemps entouré la mort du führer ont-ils tous été percés? Pas tous. «À l’issue d’un long processus d’analyses, nous sommes ressortis avec une certitude scientifique absolue ; si je devais déposer en cour d’assises pour attester de l’authenticité des restes, j’irais sans hésiter», déclare Philippe Charlier, le médecin légiste et anthropologue. «Pour la denture, aucune validation supplémentaire n’apparaît plus nécessaire», dit-il.
En revanche, faute d’analyse génétique, un doute peut subsister concernant le crâne, même si son authenticité est vraisemblable. «Puisque l’on sait maintenant que la denture est authentique, il faudrait pour aller plus loin extraire l’ADN de la denture et le comparer à celui du crâne», explique l’expert français. «Selon la législation russe, une expertise génétique nécessiterait l’ouverture d’une affaire pénale. Or il n’y eut aucune demande dans ce sens», précise Sergueï Mironenko, le gardien des restes de Hitler. Un bon connaisseur de la Russie avance une explication illustrant, une fois encore, de farouches luttes intestines: «La Loubianka détient la denture qui est un élément incontestable. En revanche, si une analyse génétique révélait que le Garf n’a pas le véritable crâne de Hitler, ce serait une profonde déconfiture. Le statu quo actuel est donc préférable…» Tout, plutôt que la tempête sur un crâne…
Source
https://www.lefigaro.fr/international/a-moscou-l-incroyable-histoire-du-crane-d-adolf-hitler-20210507

happywheels

4 Commentaires

  1. limone dit :

    j’ai entendu sur une radio !
    selon le médecin légiste de hitler
    qu’il était atteint d’une ectopie c’est a dire
    qu’il n’avait qu’une couille, l’autre état pas descendu
    mais rester coincer dans l’abdomen selon une étude
    les chiens comme ça sont nettement plus agressif

  2. Franccomtois dit :

    H.S: commentaire que j´ai laissé pour un autre article.Agression de dit « palestiniens »(ne seraient-ils pas un peu voleur)
    á la dite « esplanade des mosquées »:

    Jérusalem : plus de 180 blessés dans les heurts sur l’Esplanade des Mosquées
    Selon un bilan établi vendredi soir, au moins 178 manifestants palestiniens et six policiers israéliens ont été blessés dans des heurts qui ont éclaté sur l’Esplanade des Mosquées.

    Par Le Figaro avec AFP

    Qu´Israel foute tout ces mendiants,parasites,ces menteurs,ces voleurs hors de ses frontieres!!!!!En France on se fera un plaisir de les récupérer,ils ont déjá quelques colonies bien installées qui ne demande qu´á s´agrandir avec des gens de qualité 🤣.


    C’est lorsque les ténèbres s’épaississent que l’Eternel, le D.ieu de Jacob, intervient. Israël n’est plus un agneau que l’on conduit à l’abattoir, cette nation exemplaire possède la meilleure armée du monde, et elle verra la puissance de Dieu se révéler : « Le jeûne du 4e mois (tamouz), le jeûne du 5e mois (tisha be’Av)… se changeront pour la maison de Juda en jours d’allégresse et de joie, en fêtes de réjouissance » – Zacharie 8:19.

    La Chrétienté saura-t-elle se trouver dans le bon camp ?… Le choix est à faire sans tarder, car la colère de D.ieu est prête de tomber : « C’est alors qu’ils trembleront d’épouvante, quand D.ieu paraîtra au milieu de la génération des justes » – Psaume 14:5.
    Soyons de cette génération !

    Publié hier à 23:15, mis à jour il y a 29 minutes

    Jérusalem est juive!!!Maintenant même les pays arabo-musulman dans l´ensemble le reconnaisse.

    Le pasteur Martin Luther King a été clair, lorsqu’il écrit sa « lettre à un ami antisioniste » :

    «… Tu déclares, mon ami, que tu ne hais pas les Juifs, que tu es seulement antisioniste. A cela je dis, que la vérité sonne du sommet de la haute montagne, que ses échos résonnent dans les vallées vertes de la terre de Dieu : Quand des gens critiquent le sionisme, ils pensent Juifs, et ceci est la vérité même de Dieu ».

    Pour le crâne d´adolf une bonne décharge ferait l´affaire!

  3. limone dit :

    vu que c’est l’union soviétique qui a mis
    fin au régime nazi non seulement ils leurs ont
    mis une branlée en prime ils ont ramener
    sa tête trop fort sur se coup là ..

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