Adèle Haenel, actrice et militante féministe lesbienne trahit la cause LGBT pour soutenir les terroristes de Gaza

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Urgence Palestine : une célèbre comédienne a soutenu ce collectif que veut dissoudre le gouvernement
Le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau a confirmé la procédure qui doit mener à la dissolution de la Jeune Garde antifasciste. « Dans cette association, plusieurs de ces membres sont mis en cause par la justice notamment pour des violences y compris vis-à-vis d’un jeune adolescent juif parce qu’il appartenait à la Ligue de défense juive, c’est intolérable », a-t-il déclaré sur CNews. Il poursuit : « Je veux dire que l’un des porte-paroles, des co-fondateurs, c’est quand même un député insoumis, c’est M. Arnault, c’est quand même grave. Et je procéderai aussi, par ailleurs, à la dissolution de deux autres groupes », annonce-t-il.

En effet, « je vais demander la dissolution d’Urgence Palestine et celle du groupe d’ultra-droite Le Lyon populaire », a dit ce mercredi, toujours sur CNews, Bruno Retailleau. Urgence Palestine s’est fait connaître en appelant à manifester pour soutenir le peuple palestinien après l’attaque du Hamas, le 7 octobre 2023. Le collectif a notamment été soutenu par une célèbre comédienne, avant que le gouvernement ne décide d’engager une procédure pour le dissoudre.
Il s’agit d’Adèle Haenel, actrice et militante féministe. Dans un clip vidéo publié par le collectif sur Youtube en décembre 2023, elle demandait « un cessez-le-feu immédiat et l’arrêt d’un génocide en cours à Gaza ». Les Gazaouis sont « privés d’eau, de nourriture, de matériel médical de carburant, d’électricité par l’Etat d’israël qui a aggravé encore le blocus qu’il impose contre la bande de Gaza, depuis déjà seize ans et créé une crise humanitaire sans pendant », dénonçait-elle. Cette dernière déplorait également « l’impunité accordée à Israël » dans un appel initié par le réseau Artistes Pour la Palestine-France, et signé par de nombreux artistes, paru dans le journal l’Humanité.

A Gaza, on traque, on moleste, on viole, on assassine les personnes homosexuelles. Beaucoup de gays et lesbiennes palestiniens trouvent refuge en Israël. Une réalité ignorée par de nombreuses personnes LGBT pro-palestiniennes en Occident
« L’un des plus grands paradoxes en matière de droits humains, c’est le soutien des LGBTQ aux Palestiniens dans le conflit les opposant à Israël », déclare le réalisateur américain Ami Horowitz en guise d’incipit de son documentaire diffusé en juillet de cette année. En Palestine, on ne prêche pas une telle convergence des luttes, contrairement au média AJ+, le pure player qatarien « cool » et inclusif ciblant les jeunes Occidentaux. Bien au contraire, les personnes homosexuelles y sont persécutées, parfois tuées, en Cisjordanie sous Autorité palestinienne comme dans la Bande de Gaza dirigée par le Hamas. Certaines d’entre elles trouvent refuge en Israël comme Ahmad Abou Marhia, 25 ans, capturé et ramené en Palestine où il a été décapité début octobre après avoir reçu des menaces de mort. Le silence général concernant ce dernier crime jure avec les dénonciations soudaines de l’homophobie au Qatar.

En 2016, le mouvement terroriste Hamas tortura et tua l’un de ses chefs, Mahmoud Ishtiwi, officieusement accusé d’homosexualité, sans que cela ne suscite l’intérêt de l’immense majorité des médias et associations militantes de gauche. Même la « modérée » Autorité palestinienne persécute les homosexuels. Dans cette société, il n’y a pas ce « M. » qui osa saluer publiquement Oscar Wilde que l’on conduisait aux travaux forcés après sa condamnation pour « grossière indécence » : il y serait peut-être lynché à mort.
la Bande de Gaza connaît toujours les dispositions pénales de l’époque du mandat britannique criminalisant l’homosexualité. Cependant, les gays sont traqués, molestés, violés – au besoin avec des objets -, emprisonnés, voire tués dans tous les territoires palestiniens, même par leurs familles.

Des pratiques bien au-delà de la loi britannique d’alors. La police, qui dit enquêter sur l’assassinat d’Abou Marhia, n’est pas la dernière à s’en prendre aux homosexuels. L’impunité est réelle pour les agresseurs qui peuvent agir en plein jour, comme ce groupe de jeunes agressant une personne transgenre et ses amis dans la rue en mars 2019. Les victimes savent qu’il est préférable de ne pas se défendre pour éviter le pire.
Cheikh Mahmoud est un imam populaire à Ramallah. Interrogé par Ami Horowitz, il révèle qu’il a conseillé à un parent qui lui demandait que faire de son enfant homosexuel de le tuer : « La punition islamique devrait s’appliquer à ceux qui empruntent cette voie ». L’imam ne se contente pas de considérer l’homosexualité comme un crime, il la met au même niveau que le meurtre. La société n’est pas en reste.
Horowitz assure que les quelques témoignages recueillis dans la rue sont représentatifs de tout ce qu’il a entendu dans la journée. Un homme affirme que « les gays sont à l’origine des problèmes du monde entier » et les qualifie de « maladie », un autre dit qu’il faut les condamner à la prison à vie et qu’il est normal que leurs parents veuillent les tuer pour effacer l’infamie. Pour un autre « ils devraient se suicider ou être enfermés dans des établissements spécialisés », tandis qu’un Palestinien plus « modéré » dit juste souhaiter qu’ils s’en aillent.
Le réalisateur a pu obtenir le témoignage d’un homosexuel, pseudonommé Mahmoud, qui dit que son oncle a menacé de le violer et le jeter d’un pont et que cela a fait rire sa mère. Selon Mahmoud, tous les trois mois on peut entendre parler de l’assassinat d’un homosexuel en tant que tel, les queers peuvent se faire agresser, voire violer. Ils ne le signalent pas aux policiers qui, sinon, leur feraient subir le même sort : « Mon ami a été violé par un policier dans un poste de police […] il est sorti du poste en ne pouvant pas marcher correctement ».

Sur cette photo , la manière dont les islamistes se débarrasse des homosexuels : en les jetant du haut d’un immeuble

happywheels

2 Commentaires

  1. josué bencanaan dit :

    Sans blague, ils sont serieux ce gens la ?, savent-ils ce que font les Gazaouis a des personnes comme eux ?

    • liguedefensejuive dit :

      La célèbre Gay Pride de Tel Aviv n’aura pas lieu cette année dans sa version festive habituelle, et la ville organisera à la place une assemblée axée sur « la fierté, l’espoir et la liberté » en l’honneur des 132 otages – dont 128 ont été enlevés le 7 octobre et quatre sont détenus depuis près de dix ans – toujours captifs des terroristes à Gaza, a annoncé mercredi le maire Ron Huldaï.

      « Ce n’est pas le moment de faire la fête », a écrit Huldaï sur X, ajoutant que le pays traverse « l’une des périodes les plus difficiles qu’il ait jamais connues ».

      Huldaï a indiqué qu’une partie du budget destiné à la parade – qui était prévue pour le 8 juin – a été réorientée pour soutenir le Centre communautaire LGBT municipal de Tel Aviv.

      De leurs côtés, les organisateurs de la Marche des Fiertés de Jérusalem ont annoncé que l’événement aurait bien lieu le 30 mai, suivant l’itinéraire habituel, dans le cadre de la lutte pour la libération des otages.

      L’organisateur de la Marche, The Jerusalem Open House, a indiqué que la Marche de Jérusalem était par essence un événement de protestation en même temps qu’une manifestation de tolérance, d’espoir, de force de la communauté et de foi en un avenir meilleur, différente donc dans sa nature et son ambiance de l’événement éminemment festif de Tel-Aviv, qui n’aura pas lieu cette année et donnera lieu à un rassemblement de soutien aux otages de Gaza.

      Selon The Jerusalem Open House, cette année, la Marche des Fiertés de Jérusalem réunira l’ensemble de la communauté LGBTQ d’Israël dans la capitale pour exiger l’égalité des droits.

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