ISRAEL : Robert Badinter joue au prophète de malheur

By  |  9 Comments

Badinter qui a pris la défense de Mitterrand ami du chef de la police antijuive de vichy René Bousquet se permet de donner son opinion sur la politique intérieure israélienne alors qu’il n’est pas citoyen de ce pays et qu’aucun de ses enfants ou petits-enfants n’a servi dans les rangs de l’armée israélienne…

Citoyen français Robert Badinter se mêle de la politique intérieur israélienne
Badinter feint d’ignorer que depuis plus de 30 ans la Cour Supreme a grignoter petit a petit des pouvoirs qu’elle n’avait pas et aujourd’hui elle s’immisce dans tous les domaines en jugeant partialement selon l’opinion de gauche prédominante chez ses membres.

Badinter ne supporte le vote des électeurs israéliens qui savent ce qu’ils font en vivant eux ici au quotidien.

Les Juifs de gauche français qui êtes-vous pour juger alors que vous ne comprenez rien ? Si vous êtes bien en France, occupez-vous de la France

En janvier 2001, un débat a opposé Serge Klarsfeld et Robert Badinter à propos de la libération de Maurice Papon, condamné en 1998 à dix ans de réclusion criminelle pour complicité de crimes contre l’humanité, et dont les avocats réclamaient la mise en liberté pour raison médicale. Tandis que Serge Klarsfeld invoquait « l’exemplarité de l’accomplissement de la peine »68, Robert Badinter déclarait : « il y a un moment où l’humanité doit prévaloir sur le crime »69. Le rapport médical décrivant Maurice Papon comme « impotent et grabataire » parut à beaucoup démenti quand il quitta, à pied, la prison de la Santé en septembre 2002. La libération de Maurice Papon avait été rendue possible par la loi « Kouchner » du 4 mars 200271, qui prévoit que les prisonniers peuvent être libérés si leur état de santé est durablement incompatible avec le maintien en détention. Maurice Papon fut le deuxième détenu en France à en bénéficier. Après trois ans de prison, il passera les cinq dernières années de sa vie dans son pavillon de Gretz-Armainvilliers

Touvier comme Bousquet méritaient la peine de mort.

Lire ci dessous l’article de LPH

Robert Badinter:  »Si la réforme judiciaire passe en Israël, ce sera la fin du judaïsme et d’Israël »

Robert Badinter: »Si la réforme judiciaire passe en Israël, ce sera la fin du judaïsme et d’Israël »
Robert Badinter, l’ancien ministre français de la Justice, et celui qui a fait annuler la peine de mort en France, a aussi été président du Conseil constitutionnel.
Il a accordé une interview à Ynet dans laquelle, il donne son opinion sur le projet de réforme judiciaire en Israël.
Badinter s’est déjà rendu à plusieurs reprises en Israël mais c’est la première fois qu’il s’exprime dans un média israélien.
Pour Badinter, la Cour suprême en Israël »n’a jamais remplacé la consitution parce qu’elle ne dispose d’aucun pouvoir sur les sujets politiques ou internationaux. Mais elle sert de garde-fou pour les droits fondamentaux des citoyens. La Cour suprême a une très bonne réputation, elle contribue à améliorer l’image d’Israël dans le monde ».
Il poursuit: »Les Juifs en général et les Israéliens sont le peuple de la loi. Il s’agit d’un mot sacré pour les Juifs, ce qui en fait une exception dans l’histoire de l’humanité. Nous grandissons sur le respect de la loi pas uniquement de par notre culture, c’est un principe dans notre âme de Juifs. Si nous nous transformons en un peuple qui fait tout ce qu’il veut, ce sera la fin du judaïsme, y compris la fin d’Israël. Toucher à la Cour suprême, c’est toucher à la signification profonde du judaïsme. L’histoire juive s’incarne dans la déception du général romain, Pompée le jeune, qui est entré dans le Temple avant l’empereur Titus. Les Romains étaient persuadés que des trésors y étaient cachés. Dans le Saint des Saints, il n’y avait rien. La loi est abstraite. Aujourd’hui le sanctuaire d’Israël, c’est la Cour suprême. Le peuple de la loi doit la préserver et il est interdit de toucher aux gardiens de la loi ».

Badinter explique que la réforme judiciaire videra la Cour suprême de tout son sens. »Le résultat est l’élimination de la Cour suprême. Il y a plusieurs façons d’y arriver. La première, la plus extrême, est de l’annuler tout simplement. L’autre façon est plus sournoise: on l’ampute de ses pouvoirs l’un après l’autre, dans le cadre d’un processus progressif de »réformes » jusqu’à ce qu’il ne reste à cette institution qu’un rôle symbolique uniquement. Ce processus porte atteinte aux droits individuels et à tout ce qui garantit le respect des droits des citoyens israéliens ».

Quant à la méthode de nomination des juges, rappelons que sur les 9 juges qui siègent au conseil constitutionnel, trois sont nommés par le Président de la République, trois par le président de l’Assemblée nationale et trois par le président du Sénat. Badinter précise: »J’ai un collègue américain qui m’a dit une fois: il n’existe pas de méthode de nomination parfaite, il existe juste de bons juges. Il avait raison. Dans toutes les méthodes de nomination, vous pouvez avoir des surprises. Souvent, les juges s’avèrent indépendants de l’autorité qui les a nommés. En tant que président du conseil constitutionnel, je disais toujours aux juges: »Vous avez un devoir de droiture » et j’ajoutais: »Vous avez le devoir d’être ingrat. Vous n’êtes pas redevables aux autorités qui vous ont nommés ».

Il résume ainsi ce qui se joue en Israël: »Il est inconcevable que chaque changement politique transforme du tout au tout l’interprétation de la loi. Le parlement doit s’inspirer du conseil constitutionnel et non l’inverse. Sinon il n’a aucune utilité. C’est là le coeur du conflit en Israël aujourd’hui ».
Pour Badinter, »le véritable danger est la fin de l’existence de la Cour suprême, ce qui menacerait la liberté des droits constitutionnels de chaque citoyen. Et dire que la bonne réputation de la Cour suprême israélienne dans le monde acquise après des décennies peut être détruite en un instant par une loi et une majorité simple ».

happywheels

9 Commentaires

  1. Paul06 dit :

    Malheureusement, Badinter n’est pas atteint de démence, il est uniquement gauchiste avant d’être juif. Je l’invite à s’occuper de ses problèmes, sa participation sur les réformes en Israel est illegitime et malvenue.

  2. Vérité dit :

    Très bien dit la LDJ…
    Qu il. s occupe de son pays la France après avoir lécher le roi des hypocrites Mitterand…
    Il fait parti des juifs de gauche qui ont honte d exister entant que juif fier ( comme Anne sainclair etc…).
    Israël n a que faire de son avis de dhimis….
    Israël est autonome pour prendre ses décisions…
    La démocratie ce n est pas la dictature de la minorité et de l ingérence étrangère même juive

  3. Vérité dit :

    Il n est pas prophète juste un bobo perdu…

  4. Franccomtois dit :

    Quand on a beaucoup de pognon et du pouvoir,que vous soyez juif,chrétien,taoiste….tout cela s´efface et vous devenez une chose sans âmes,sans amour propre!Avis purement personnel.
    Avoir été l´ami d´un monstre qui a collaboré et surtout qui a toujours fleuris la tombe de l´ignoble anti-France petain,une honte absolu!

    La lâcheté dans toute sa splendeur des enfants de salopes qui ont participé á cette horreur:
    -La Rafle – Bande-annonce
    https://youtu.be/qXOmq3tcmnw

    N´hésitez pas á découvrir Patrick Cabanel sur le sujet(entre autre).

  5. benjamin dit :

    les iraniens eux ne s y trompent pas !et constatent avec delectation la grande rupture historique qui s installe en israel !leur ennemi jurè!et du fait avancent leurs pions visant a etouffer l etat d israel!c est tres grave!et surtout pas du tout le moment de mettre de l huile sur le feu monsieur badinter !restez chez vous ! bien au chaud avec votre milliardaire d epouse !!

  6. Dr Amos dit :

    Les arguments de Badinter sont excellents en théorie et auraient pu être utilisés par n’importe quel étudiant ayant suivi 2 heures de droit constitutionnel. Badinter ne connaît pas ou feins ne pas connaître les spécificités et la complexité de la situation israélienne. Il devrait s’abstenir de faire montre de son ignorance; quelle déchéance.

  7. jrl dit :

    @Benjamin
    Israël n’est pas l’ennemi juré des iraniens.
    Il est l’ennemi juré du régime théocratique des mollahs.
    Beaucoup d’Iraniens veulent une véritable amitié avec Israël, à commencer par le fils du Shah

  8. cmoiwilly dit :

    Encore un allumé de la gauche caviar et bien pensante, les donneurs de leçons qui ne connaissent rien de rien à la politique israélienne et qui pensent détenir la vérité , nous pouvons ajouter Anne Saint Clair dans ce wagon  » plombé  »
    Gardez vos fausses analyses et opinions pour vous et vous seul. En quoi ce sera la fin du judaïsme ?
    Quand à votre judaïsme, il reste à prouver , vous êtes loin d’être représentatif dans notre communauté .Vous vous êtes même octroyé de remettre en place notre communauté lors d’une manifestation contre l’amitié de son mentor Mitterrand avec Bousquet. Il avait fait un discours HONTEUX contre notre communauté et certainement pas la sienne. C’est cet homme qui veut donner des leçon à Israël concernant sa politique TAISEZ-VOUS Monsieur Badinter

  9. Franccomtois dit :

    jrl vous avez absolument raison et de plus si Israel pensait que l´Iran est son ennemie voilá longtemps que ce pays aurait frappé vite et fort le régime totalitaire « plein d´amour et de paix ».
    -Iranians and Israelis Stand Together as One
    https://youtu.be/G2_QQQKU4-4

    Autre chose,la France c´est pas macron et les macroniens,je ne suis pas pour être associé á des jobastres,l´Iran c´est pas les mollahs!

Publier un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *