“Mélenchon exige la dévotion aveugle” : purges, manipulations, insultes, menaces, antisémitisme… révélations explosives sur LFI

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Selon Le Monde, dans La Meute, à paraître chez Flammarion le 7 mai, les journalistes Charlotte Belaïch et Olivier Pérou livrent une enquête approfondie sur les méthodes internes de La France insoumise (LFI) et le fonctionnement autour de son fondateur, Jean-Luc Mélenchon.
Issu de plus de 200 témoignages, le livre dépeint une organisation ultra-centralisée, autoritaire et marquée par des purges violentes. Chaque contestation est perçue comme une trahison. Alexis Corbière, compagnon de route de Mélenchon depuis 30 ans, a vu leur relation brisée par un message lapidaire : « Ne m’adresse plus jamais la parole. » Raquel Garrido, Clémentine Autain, François Ruffin et d’autres figures historiques ont été évincés, marginalisés ou accusés de « sabotage ».
La dévotion attendue par le chef est totale : « Celui qui doute trahit. » Sophia Chikirou, présentée comme la « femme du chef », y joue un rôle central et craint, mêlant influence numérique, agressivité managériale et omniprésence politique. Elle aurait même déclaré : « A LFI, je peux leur dire ce que je veux. Comme je suis la femme du chef, ils obéissent. »
Les « boucles Telegram » internes de LFI deviennent des lieux de harcèlement contre les dissidents. Jean-Luc Mélenchon y alterne favoritisme, humiliation publique et menaces à peine voilées. Il aurait dit à Charlotte Girard, veuve de François Delapierre : « Delap aurait honte de toi. »
L’accusation d’antisémitisme pèse également sur Mélenchon. Si ses proches l’ont longtemps défendu, ses déclarations récentes, comme qualifier la marche contre l’antisémitisme du 12 novembre 2023 de « soutien inconditionnel au massacre », ou affirmer que l’antisémitisme est désormais « résiduel », choquent jusqu’à son propre entourage. Certains évoquent désormais une dérive assumée.
Enfin, la solitude de Mélenchon transparaît. Après la mort de ses plus fidèles soutiens, comme Bernard Pignerol, il reste retranché dans sa tour, avec pour seule ambition : « être le dernier debout ». À 76 ans en 2027, il espère encore incarner la gauche dans un duel face à Marine Le Pen.
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extrait :
En fouillant dans leur mémoire, certains des amis de Jean-Luc Mélenchon se souviennent de quelques réflexions qui, à l’époque déjà, les avaient interpellés. Un ancien de l’Essonne raconte sa gêne après avoir entendu, selon son récit, Mélenchon lancer à une militante au nom à consonance hébraïque, au détour d’une phrase : « Toi et les tiens. » Deux personnes, un temps très proches de lui, affirment aussi l’avoir entendu plusieurs fois parler du « lobby dont on ne doit pas dire le nom ». La coautrice de cet ouvrage, au nom hébraïque, coupable d’avoir écrit un article sur le fossé grandissant entre les juifs et Mélenchon en juillet 2023 ? « Un agent du Likoud ! » affirme-t-il. « Que vous êtes naïf ! » dit-il à ceux qui lèvent un sourcil circonspect. Au détour d’une conversation sur Raquel Garrido, que certains surnomment Merkava en interne, le nom des chars israéliens, car identifiée comme sioniste, il peut aussi glisser, tout sourire : « Raquel, elle est super, le seul problème, c’est qu’elle est extrêmement naïve sur l’influence de la communauté juive en France. » (…)

happywheels

6 Commentaires

  1. David92 dit :

    Heil!

  2. benjamin dit :

    la famille musulmane de la maitresse de melenchon la chikirou ne doit pas etre tres contente de voir l une des leurs coucher avec un incirconcis !!un roumi !et de plus sans etre marièè!en plus le melenchon est un catho ex enfant de choeur !!un veritable kouffar !!quel scandale !!

  3. joseparis dit :

    C’est la même organisation qu’il y avait autour de h*tl*r à l’époque, il n’a rien inventé. Seulement doriochon oublie une chose c’est que l’on n’a pas la mémoire courte, et que l’on ne va pas se laisser faire. Comme disait Menahem Begin: « never again ». La honte est pour ceux qui soutiennent ces ordures antisémites, toute la gauche et le parti présidentiel qui ont appelé à voter pour eux lors des législatives de la honte en 2024 pour soit disant faire barrage à l’extrême droite. On a vu le résultat avec l’élection de plus de députés antisémites au final.

  4. josué bencanaan dit :

    Dans tout ce mic-mac politique, ordurier et pourri de LFI, qui est le plus responsable : cette charogne de Mélenchon ou ses électeurs ??

  5. Franccomtois dit :

    Rien á foutre du melenchon,tout son parti est pourrit,de A á Z !Parti de misérable crevures et celles et ceux qui s´y sont associés ne valent pas mieux.Aujourd´hui cette saloperie de parti a fini de servir donc on déballe toutes les saloperies du chef pour anéantir lui et son cheptel.Mais le mal est fait et trés bien fait,ils ont rendu l´antisémitisme,l´anti-christianisme,l´anti-France fréquentable,acceptable!Dépolué les esprits faible des idées nauséabonde des LFI-NFP va être dure,trés dure á moins d´user d´une certaine violence passagere pour recadrer tout cela,mais qui le fera?Maintenant il s´agirait de dégager le melanchoniste qui couche á l´Élysée 🤬!Reconnaissons que tout se qui gravitent autours ou qui militent á la LFI sont des barjots de la pire espece!

    Phénomene de toutes les gauches á 100%,essayez d´avoir raison une seule fois avec eux si vous n´êtes pas de leur bord 😁:

    Pourquoi les idiots se croient intelligents ?
    Avez-vous déjà remarqué que ceux qui en savent le moins sont souvent les plus sûrs d’eux ? Que ce soit lors d’un souper de famille, à la télévision ou sur les réseaux sociaux, certaines personnes sans réelle expertise se montrent étrangement convaincues d’avoir raison. Cette impression troublante n’est pas qu’un ressenti : elle a un nom, une origine scientifique, et des effets bien réels. Ce phénomène, connu sous le nom d’effet Dunning-Kruger, est au cœur d’une découverte fascinante qui nous éclaire sur les limites de notre propre jugement.
    Le paradoxe de l’incompétence

    L’effet Dunning-Kruger, mis en lumière en 1999 par les chercheurs David Dunning et Justin Kruger, repose sur une idée simple mais percutante : les personnes les moins compétentes dans un domaine sont souvent incapables de reconnaître leur propre incompétence. Lors d’une série de tests portant sur l’humour, la grammaire et la logique, les participants ayant obtenu les pires résultats étaient ceux qui se jugeaient les meilleurs. Cette illusion vient du fait qu’un manque de compétence empêche aussi de détecter… ce même manque !

    “Ceux qui savent peu en sont rarement conscients.”

    L’aveuglement sur soi-même

    Selon Dunning, la connaissance est nécessaire pour évaluer la connaissance. Or, ceux qui n’en ont pas assez se retrouvent dans une double peine : non seulement ils prennent de mauvaises décisions, mais ils ne peuvent même pas réaliser qu’ils se trompent. Cette incapacité à faire preuve de métacognition – c’est-à-dire à réfléchir sur ses propres limites – est ce qui alimente une surconfiance toxique, parfois lourde de conséquences dans des domaines aussi critiques que la politique, la médecine ou les finances.

    Une illusion qui touche tout le monde

    Loin d’être un cas isolé, l’effet Dunning-Kruger a été confirmé dans plus de 100 études. Il touche tous les milieux, toutes les cultures, et tous les âges. Même les personnes très intelligentes peuvent y tomber… dans un domaine qu’elles maîtrisent mal. Ce n’est donc pas une question de quotient intellectuel, mais de conscience de ses propres compétences. Un bon exemple ? Ce collègue persuadé de savoir tout sur tout… sauf quand il s’agit de reconnaître ses erreurs.

    L’humilité comme antidote

    Face à ce piège mental, l’humilité intellectuelle est une des seules armes efficaces. Reconnaître que l’on peut se tromper, rester curieux, accepter les critiques constructives et chercher à apprendre constamment sont des signes de vraie intelligence. Comme le rappelle David Dunning lui-même : “Ceux qui savent le plus sont souvent les plus prudents dans leurs affirmations.”

    La sagesse commence là où finit la certitude.

    Une leçon pour tous les jours

    L’effet Dunning-Kruger est bien plus qu’une curiosité psychologique. C’est un miroir tendu à nos certitudes, qui nous invite à la vigilance face à ceux qui parlent fort sans savoir… mais aussi à examiner nos propres convictions avec humilité. La prochaine fois qu’une personne vous donne un avis tranché sur un sujet complexe sans y être formée, souvenez-vous : parfois, le vrai savoir parle doucement… tandis que l’ignorance crie fort.

    Conclusion – Savoir que l’on ne sait pas : un signe d’intelligence

    En définitive, l’effet Dunning-Kruger nous rappelle une vérité précieuse : admettre ses limites n’est pas une faiblesse, mais une force. Comme le disait Socrate : “Je sais que je ne sais rien.” Une phrase vieille de plus de deux millénaires… et pourtant plus actuelle que jamais.
    🙏✝✡👍💪

    • liguedefensejuive dit :

      L’effet Dunning-Kruger, ou comment les incompétents se surestiment
      Avoir confiance en soi, c’est une force. Mais en avoir trop, cela peut se transformer en piège et coûter cher aux surconfiants.
      Parmi les grandes tragédies cognitives du XXIe siècle, l’effet Dunning-Kruger tient une place de choix. Non seulement il est omniprésent, mais il prospère avec une insolence qui frôle la performance artistique. Ce biais cognitif, mis en lumière par David Dunning et Justin Kruger en 1999, décrit un phénomène aussi paradoxal qu’irritant : les moins compétents dans un domaine ont tendance à surestimer drastiquement leurs capacités. Pendant ce temps, les plus compétents et honnêtes, eux, ont de plus en plus tendance à… douter.

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