Quand les professeurs peinent à enseigner la Shoah

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Des élèves contestent l’évocation du génocide juif. L’affaire Dieudonné a ravivé un antisémitisme latent.
Avec l’affaire Dieudonné, une digue morale vient de sauter dans les établissements scolaires, selon certains enseignants interrogés par Le Figaro. «La Shoah, j’en suis gavé depuis la classe de troisième. Entre les émissions de télé, les séries, l’école, on ne parle que de ça. Moi, ça me fait du bien d’en rire avec Dieudonné.» Voici ce qu’a entendu la semaine dernière un professeur d’histoire parisien lors d’un cours consacré à la Seconde Guerre mondiale. «Pourquoi parle-t-on tout le temps du génocide juif et pas du génocide rwandais ou cambodgien?», écrit une élève à la fin d’un devoir d’histoire sans vouloir réaliser, apparemment, qu’elle vit en France. Le mois dernier, une enseignante, professeur contractuelle d’histoire-géographie dans un lycée de Saint-Priest (Rhône), a déposé plainte en raison d’attaques à caractère antisémite de ses élèves. Elle s’est ainsi entendu dire: «On ne veut pas d’une juive comme professeur dans notre classe.»

lire l’article du FIGARO en cliquant sur le lien ci-après
http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2014/01/26/01016-20140126ARTFIG00134-quand-les-professeurs-peinent-a-enseigner-la-shoah.php

happywheels

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  1. roufi dit :

    c’est à nous d’intervenir dans les écoles parce que l’on a le discours et les réponses un prof d’histoire non même s’il a fait le séminaire de Yad Vashem

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