Revenues de Daech jugées à Paris : « Je suis coupable, je ne suis pas là pour nier », les premiers mots de Jennifer Clain
Six ans après leur rapatriement et leur incarcération en France, la nièce des frères Clain et deux autres femmes comparaissent à partir de ce lundi devant la cour d’assises spécialement composée pour « association de malfaiteurs terroristes ».
« Je suis coupable », « je regrette tellement ». Les premiers mots de Jennifer Clain, 34 ans, à l’ouverture, ce lundi, de son procès pour association de malfaiteurs terroristes et abandon moral d’enfants, ce lundi devant la Cour d’assises spécialement composée de Paris, sont conformes aux regrets qu’elle a exprimés pendant l’instruction. « Aujourd’hui je suis devant vous comme je l’ai été depuis 6 ans, sincère et transparente », a-t-elle dit depuis le box, vêtue d’une veste grise, d’un chemisier blanc et d’un jean.
« Je voudrais dire que je ne suis pas là pour nier, j’ai adhéré à ce groupe terroriste et tueur, j’ai amené mes enfants alors que j’aurais dû les protéger. Je regrette tellement, mais je ne peux pas revenir en arrière », a-t-elle déploré.
« Elle a un vrai recul sur elle-même et s’inscrit dans la manifestation de la vérité. Elle n’entend rien minimiser », expliquait au Parisien son avocat, Me Guillaume Halbique.
Jennifer est la nièce de Jean-Michel et Fabien Clain, les Français qui ont revendiqué pour le groupe État islamique les attentats du 13 novembre 2015 à Paris et Saint-Denis, qui ont fait 130 morts et des centaines de blessés. Les oncles, présumés morts en Syrie, ont été condamnés en leur absence en 2022 à Paris à la perpétuité incompressible.
En 2014, trois ans après le début de la guerre en Syrie, Jennifer était partie pour Raqqa avec ses enfants, rejoignant son mari Kevin Gonot, choisi par son oncle Jean-Michel et épousé à l’âge de 16 ans en Égypte. Jennifer et ses cinq enfants sont rentrés en France en septembre 2019. Kevin Gonot a été jugé et condamné à la pendaison en Irak mais sa peine ne semble pas avoir été exécutée.
source
Le Parisien

En 1946 à Nuremberg, certains protagonistes aussi ont joué les remords tardifs pour tenter d’échapper à la corde. C’est avant d’agir qu’il faut réfléchir pas après ! Pas de pitié pour les MONSTRES, il doivent payer leurs ardoises, n’en déplaise à leur fan-club nazislamiste (islamo-gauchiste).
Lâche….incapable d’assumer.
cette famille des clain est une racaille de tarès !tres tres laids physiquement et moralement !il faut voir la tronche des deux freres clain presumès tuès en syrie !a vous foutre la gerbe !!
Je n’en crois pas un mot de sa repentance, elle dit ça pour rentrer en France et avoir une peine trés legere ce qui lui permettra de recommencer
Elle me fait penser à Ilse Koch, « la chienne de Buchenwald…’