
Trump déclassifie les dossiers sur le tueur palestinien de Robert Kennedy
Le président américain Donald Trump a vu des milliers de documents publiés sur cet assassinat très médiatisé.
De nouvelles informations sur Sirhan Sirhan, le Palestinien condamné à perpétuité pour le meurtre de Robert F. Kennedy, sont devenues publiques alors que les Archives nationales américaines ont publié des milliers de pages de documents relatifs à l’assassinat.
Les Archives nationales ont publié plus de 10 000 pages de documents relatifs à l’assassinat de Kennedy, selon les informations publiées vendredi sur leur site web. Cette décision s’inscrit dans le cadre d’une initiative plus vaste de l’administration Trump visant à déclassifier les informations relatives aux assassinats de plusieurs personnalités américaines.
« Lever le voile sur les documents de RFK est une étape nécessaire pour restaurer la confiance dans le gouvernement américain », a déclaré le secrétaire américain à la Santé et aux Services sociaux, Robert F. Kennedy, Jr., fils du sénateur, dans un communiqué.
Parmi les nombreux documents figurait une note écrite par Sirhan, âgé de 24 ans au moment du meurtre, qui stipulait que le sénateur « devait être éliminé comme son frère l’avait été » cinq ans auparavant. « RFK doit mourir », a-t-il écrit à maintes reprises dans un journal retrouvé plus tard.
Bien que Sirhan soit Palestinien, l’attaque a eu lieu après qu’il ait prêté allégeance à la Russie et à la Chine communistes. Pourtant, cet homme de 81 ans a admis que le meurtre était motivé par le conflit israélo-palestinien.
Kennedy a été sélectionné pour son soutien pendant la guerre des Six Jours d’Israël en 1967.
Source
https://www.jpost.com/
Sirhan Sirhan (arabe : سرحان بشارة سرحان), né le 19 mars 1944 à Jérusalem, est un chrétien colon arabe de nationalité jordanienne jugé coupable de l’assassinat du sénateur américain Robert « Bobby » Kennedy à l’Ambassador Hotel de Los Angeles, le 5 juin 1968. Condamné à mourir dans la chambre à gaz de la prison d’État de San Quentin, sa peine est finalement commuée en emprisonnement perpétuel par l’effet rétroactif de la décision de la Cour suprême de Californie dans l’affaire California v. Anderson. Il purge cette peine au centre correctionnel Richard J. Donovan (en) dans le comté de San Diego
Sirhan Bishara Sirhan est le cinquième enfant de parents de confession maronite ; il a plusieurs fois changé de dénomination étant adulte. Il déclare que, enfant, il a été traumatisé par la violence du conflit israélo-arabe et notamment par la mort de son frère aîné, écrasé par un véhicule militaire jordanien qui tentait d’échapper aux « tirs sionistes »[1]. Alors qu’il a 12 ans, sa famille arrive aux États-Unis avec des visas de réfugiés et s’installe brièvement à New York, puis en Californie.
En janvier 2022, malgré un préavis positif d’une commission spécialisée, Gavin Newsom, gouverneur de Californie, rejette une demande de libération conditionnelle
L’assassin aujourd’hui
Sa mort aurait arrangeait beaucoup de monde….la ma fia en tête…..celle de la Nouvelle Orléans (comme pour son frère).
Le père Kennedy les a élevé dans l’antisémitisme, ne souhaitait il pas une alliance avec Hitler .
Et enfin son frère a tout fait pour qu’Israël ne possède pas sa bombe avec un chantage à la clef : supprimer l’aide de 5 milliards de dollars au cas où il l’on tiendrait .
Il y a beaucoup à dire sur cette famille maudite .
Correction;
« Sa mort aurait arrangé….. »
Scusi
Carlos Marcelo parrain de la Nouvelle Orléans lui voulait une haine viscérale .
Ne l’a t+il pas expulsé des EU vers la jungle du Guatemala , signe du double jeu des frères Kennedy qui avaient été élus grâce à l’aide de la mafia .
Un autre mafieux lui en voulait à mort ….ce fut Jimmy Hoffa le patron du puissant syndicat des transporteurs .
Bref….la liste est longue .
Carlos Marcello, né sous le nom de Calogero Minacori à Tunis le 6 février 1910 et mort à Metairie (Louisiane) le 3 mars 1993, est un mafieux italo-américain.
Il est spécialement connu pour avoir été pendant plusieurs décennies le parrain de la famille de la Nouvelle-Orléans, considérée comme étant la plus vieille famille mafieuse des États-Unis avec des racines remontant jusque dans les années 1860. D’après les enregistrements effectués dans le cadre de plusieurs enquêtes d’infiltration menées par le FBI, il avoua avoir ordonné l’assassinat du président américain John Fitzgerald Kennedy, le 22 novembre 1963 à Dallas.
Des témoins ont rapporté que Marcello proférait de nombreuses menaces à l’adresse de John Kennedy. Durant l’été 1962, Marcello déclara lors d’une rencontre entre mafieux que le président Kennedy allait se faire descendre et qu’il n’aurait eu que ce qu’il mérite. En septembre 1962, il déclara au promoteur immobilier Edward Becker au cours d’une réunion qu’un chien continue à mordre si l’on coupe sa queue, tandis que si l’on coupe sa tête, il cesse d’être dangereux. Il aurait signifié ainsi que l’homme à abattre était moins l’attorney général Robert Kennedy, initiateur des poursuites à son encontre et de la pègre en général, que le président John F. Kennedy. En effet, Robert Kennedy deviendrait inoffensif si c’est le président qui se faisait tuer.
Après l’assassinat de Kennedy, le FBI enquêta sur Marcello et également sur plusieurs de ses associés mais ne transmit aucune information ni procès-verbal à la commission Warren et cette dernière conclut à l’absence de lien entre Marcello et Jack Ruby, bien que celui-ci l’aurait rencontré la veille de l’assassinat. Toutefois, en 1967, le FBI rédigea un mémorandum au sujet de cette réunion de 1962 où Carlos Marcello était montré clairement comme l’instigateur d’une action contre John Fitzerald Kennedy au lieu de Robert Kennedy[2]. De même, lors de l’enquête menée par le procureur Jim Garrison sur l’assassinat, le FBI fit un rapport où il était indiqué que le district attorney de la Nouvelle Orléans soupçonnait le parrain de cette dernière d’être impliqué dans l’affaire[2].
Il est en effet reconnu que Joseph Kennedy, le père de John Fitzgerald Kennedy, a sollicité en mai 1956, puis les années suivantes, et obtenu l’aide de Sam Giancana et de ses associés, notamment Carlos Marcello, afin de faciliter l’investiture de son fils John Fitzgerald Kennedy comme candidat pour le parti démocrate et de contribuer financièrement à lui faire remporter les élections présidentielles de 1960. Joseph Kennedy, lui-même, au cours de la prohibition des années 1930, avait été en liaison avec Meyer Lanski et Franck Costello, parrains de la pègre. D’ailleurs, Franck Costello avait l’habitude de déclarer : « J’ai aidé Joe Kennedy à devenir riche »[2].
L’intérêt de l’opération pour l’organisation criminelle était de disposer d’un homme à la Maison Blanche et d’avoir la perspective très lucrative d’obtenir des contrats gouvernementaux et ce, associé à une relative clémence de la justice américaine à leur égard à la suite de leur contribution pour l’élection. La campagne de John Fitzgerald Kennedy fut financée comme celle de Richard Nixon (à hauteur d’un million de dollars pour ce dernier). Ce fut, d’après Samuel et Chuck Giancana, sur instance de Carlos Marcello et en liaison avec Joe Kennedy que fut choisi le vice-président démocrate, Lyndon B. Johnson dont l’influence politique sur les États du sud était importante[3].
Or, à partir de 1961, les relations avec Sam Giancana et les autres grands mafieux américains se dégradèrent très sensiblement. Les frères Kennedy, oubliant le soutien apporté par la mafia et tablant sur le bénéfice politique de la lutte contre le crime organisé, se lancèrent dans une opération à l’échelon national contre la Mafia par l’intermédiaire de Robert Kennedy, le frère du Président nommé au poste de procureur général des États-Unis en décembre 1960. La surveillance du FBI. fut renforcée notamment par le biais d’écoutes. Le nombre d’accusations fédérales contre le crime organisé passa de 19 actes en 1960, à 96 en 1961, à 101 en 1962 et plus de 2 000 poursuites, principalement sous forme de procédures fiscales, furent menées par l’IRS. De plus, le 4 mars 1961, Carlos Marcello, parrain de la Nouvelle Orléans, qui travaillait en parallèle avec la CIA pour éliminer Fidel Castro, était expulsé des États-Unis vers le Guatemala, signe pour la pègre que John Fitzgerald Kennedy et Robert Kennedy jouaient un « double jeu ». Cette décision avait d’ailleurs ulcéré les agents opérationnels de la CIA qui avaient pour objectif d’éliminer le leader cubain et la chute de son régime[3].
En effet, parallèlement, Sam Giancana avait déployé ses réseaux et sollicité Santo Trafficante (parrain de Cuba, libéré entre-temps des geôles cubaines grâce à l’intervention de Jack Ruby) et Carlos Marcello, déjà très impliqué dans le soutien aux anti-castristes, afin qu’ils apportent leur soutien à la réalisation du projet d’assassinat de Fidel Castro, projet décidé par la présidence sous Eisenhower et planifié par la CIA. L’avènement de Fidel Castro en juin 1959, avait été pour le crime organisé la déroute financière la plus importante de son histoire se chiffrant en une perte de plusieurs dizaines de millions de dollars avec la nationalisation du jeu et la lutte contre toutes les formes de trafics clandestins, drogue et prostitution[3] notamment : les bénéfices de l’organisation criminelle étaient évalués à 100 millions de dollars en 1959 soit 900 millions de dollars en 2013[4]. Elle représentait également une perte pour la CIA, qui percevait un pourcentage des revenus issus de la pègre pour financer ses opérations illégales pour lesquelles les fonds fédéraux ne pouvaient être employés. Parallèlement, en pleine guerre froide, les États-Unis ne pouvaient pas tolérer, en vertu de la doctrine Monroe de 1823, et de leur lutte contre le communisme, la présence d’une révolution communiste à leurs portes. La collaboration active avec la CIA, sous la forme d’un bras armé, offrait en cas de chute du régime castriste, la possibilité de reprendre le pied sur l’île. Outre la désastreuse tentative d’invasion de la baie des Cochons, le 17 avril 1961, 8 tentatives d’assassinat seront effectuées contre Fidel Castro soit par corruption d’un membre du régime cubain ou par empoisonnement[2].
Ce fut à la suite de l’échec de l’invasion de la baie des Cochons qui mettait en péril pour beaucoup d’agents de la CIA, l’autonomie même de l’agence dont le directeur historique Allen Dulles et ses plus proches conseillers avaient été congédiés par la présidence à la suite du fiasco rencontré, et qui, en plus se promettait de limiter sérieusement les pouvoirs de l’agence dans le futur, qu’un profond ressentiment se forma au sein de la centrale de renseignements se retrouvant conjointement lié à celui de l’organisation criminelle vis-à-vis de la politique menée par John Fitzgerald Kennedy et Robert F. Kennedy vis-à-vis de Cu
Edgar Hoover le puissant patron du FBI de l’époque était en conflit lui aussi avec les frères Kennedy .
Il détenait des dossiers explosifs contre John dont celui d’une femme qu’il partageait les faveurs avec Sam Giancana l’un des chefs de la mafia de l’époque .
Et enfin je tiens à rappeler que cette famille donneuse de morale avec à sa tête le père Joseph Kennedy qui a fait fortune sous la prohibition au même titre que les autres grands mafieux dont Al Capone .
Je crois que cette photo a été prise dans le bateau qui les emmenait en Angleterre où il a été nommée ambassadeur .
C’est là qu’il a montré son vrai visage de nazi en souhaitant une alliance avec Hitler. Entre Churchill et Roosevelt il n’a pas fait long feu ….ils l’ont dégagé vite fait .
Et le désastre de l’affaire de « la Baie des Cochons » où il a envoyé au « casse pipe » des centaines de ressortissants cubains qui lui en voulaient à mort ?
Bilan : 114 morts, un « échec parfait »
Sauf que l’opération, sans soutien populaire à Cuba et mal préparée tactiquement, est un échec complet. Bilan : 114 morts et 1.189 prisonniers parmi les « anti-castristes ». Il a fallu attendre plus d’un an de négociations et un accord de 53 millions de dollars pour les libérer.
Il aurait envoyé tout simplement l’aviation il aurait sauvé ces pauvres malheureux cubains .
Voilà le vrai visage de John Kennedy .
Même Franck Sinatra « son ami » a fini par le détester alors qu’il lui devait beaucoup pour son élection .
Bref ….
Enfin pour finir avec Robert Kennedy ce grand moraliste.
Beaucoup pensent qu’il serait à l’origine de la mort de Marilyn Monroe avec qui il aurait partagé avec son frère ses faveurs .
Elle aurait détenu des secrets explosifs et elle était prête à les divulguer pour se venger de tout ce qu’ils lui ont fait subir .
Maintenant pour les ragots de la presse people on l’a soupçonné d’avoir eu des rapports avec Jacky Kennedy sa belle sœur……en effet on l’aurait vu quitter son domicile à l’aube en « secret » .
Voilà notre Bébert le grand « moraliste » qui n’hésitait pas à nager en eaux troubles quand ça l’arrangeait .
Carlos Marcello.
Pour la petite histoire il est né le 6 février 1910 à Tunis .
Il rejoint Elie Kakou et sa fille Fortunée parmi les gens connus de Tunisie .
Voir à tout prix le document sur youtube suivant :
« Les ombres de Dallas: révélations sur l’assassinat de JFK » .
Des révélations intéressantes .
Merci ldj
A la finale le seul responsable de la mort des frères Kennedy est le mafieux et antisémite Joseph le père .
Il tenait à tout prix que John soit Président grâce à l’aide de la mafia.
Et c’est encore lui qui a imposé Robert comme Ministre de la justice …..une trahison pour la mafia .
Il a récupéré deux corps criblés de balles par sa folie des grandeurs .
Comme disait Jimmy Hoffa: » deux enfants pourris et gâtés » sous l’emprise de papa .
D’ailleurs Edgar Hoover le patron du FBI s’adressait souvent à Joseph qu’il connaissait bien quand il voulait envoyer un message à John …..je pense à sa maîtresse qu’il partageait avec Sam Giancana et à son alliance avec la mafia lors du désastre de la Baie des Cochons .
Tout « passait » par Joseph .
Et pour finir :
Les deux meurtres sont liés….preuve d’un complot . Le nom des Kennedy était banni pour beaucoup de puissants .
On peut être Président et ne pas avoir le dernier mot ‘