
LE BNVCA DEPOSE PLAINTE CONTRE LE JOURNAL RIVAROL
Le Bureau National de Vigilance Contre l’Antisémitisme (BNVCA) a déposé plainte ce 3 juillet 2025 contre l’hebdomadaire Rivarol, son directeur de publication, ainsi que l’auteur d’articles récents à caractère ouvertement antisémite.
Ces publications incitent à la haine et à la violence contre les Juifs en violation manifeste des articles 23, 24 et 24 alinéa 8 de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse :
Article 23 : punit la provocation à la haine ou à la violence, même indirecte, par voie de presse.
Article 24 alinéa 8 : réprime spécifiquement la provocation à la discrimination, à la haine ou à la violence envers une personne ou un groupe à raison de leur origine ou de leur appartenance religieuse.
Ces textes sont clairs : la liberté d’expression ne saurait couvrir l’appel à la haine raciale. Rivarol, publication coutumière de propos antisémites, franchit une nouvelle fois la ligne rouge.
Le BNVCA demande à la justice d’engager sans délai les poursuites nécessaires. Il en va de la protection des valeurs républicaines et de la cohésion nationale.
Lá au moins c´est clair,le bourbon est une ordure absolue,un anti-France de premiere(apologie du cölönisateur nazie),un vrai consanguin!Qu´il fasse de la taule et son gros derche y serve de défouloir!
RIVAROL: outre la rime en -gignol, nous trouvons ici: Ra’ali belo : mon poison en lui ; Riv ra lo : la dispute lui fait du mal ; Ra v’alor : mal et pas de lumière ; Ra velo ‘ir : mal et sans ville ; Rav ra lo : beaucoup de mal pour lui. Donc ça va leur en mettre un coup. Vous n’avez pas peur pour la sensibilité de ces andouilles?
Le racisme, l’antisémitisme, la défense de l’Europe blanche et chrétienne font partie du bagage de Rivarol « .
Moralité :
Il y avait plus de juifs dans la résistance que des membres de Rivarol .
On a vu ce qu’ils ont fait de la France en 40 : un paillasson devant l’ennemi.
Et ils se disent « français » ?
Sans les « Rivarol » et autres collabos au moins notre honneur aurait été sauf .
Ils n’ont « résisté » que le temps d’un séjour à Sigmaringen.