
PARIS- LES BUREAUX D’EL AL PRIS POUR CIBLE
La haine anti-juive a encore frappé ! DERNIÈRE MINUTE : Les bureaux parisiens de la compagnie aérienne israélienne El Al ont été sauvagement pris pour cible lors d’une attaque antisémite d’une violence inouïe.
« Lorsque le président français Macron fait des déclarations qui reviennent à offrir des cadeaux au Hamas, voilà le résultat », a affirmé la ministre israélienne des Transports, Miri Regev
Les locaux de la compagnie aérienne israélienne El Al à Paris, ont été vandalisés dans la nuit du 6 au 7 août. La façade du bâtiment a été maculée de peinture rouge, accompagnée d’inscriptions accusant El Al d’être une « compagnie génocidaire ». Selon les premières constatations, l’acte a été perpétré alors que les lieux étaient vides, et aucun employé n’a été mis en danger.
Dans un communiqué officiel, El Al a condamné fermement ce qu’elle qualifie de « grave incident », affirmant collaborer étroitement avec les autorités françaises et israéliennes pour faire toute la lumière sur les faits. La compagnie rappelle qu’elle « porte fièrement le drapeau d’Israël sur ses avions » et qu’elle « condamne toute forme de violence, en particulier celle motivée par l’antisémitisme ».
Face à cet acte, attribué à des militants pro-palestiniens, El Al a décidé de suspendre temporairement les séjours de ses équipages à Paris. Le service sera désormais assuré par une société tierce, en coordination avec la police locale.
La ministre israélienne des Transports, Miri Regev, a ordonné le rapatriement immédiat du personnel au sol de la compagnie, affirmant que les conditions de sécurité n’étaient plus garanties. Elle a également appelé les autorités françaises à agir rapidement et avec fermeté pour identifier les auteurs.
« Aujourd’hui c’est El Al, demain ce sera Air France », a écrit Miri Regev, appelant les citoyens français à « se réveiller ». « Lorsque le président français Macron fait des déclarations qui reviennent à offrir des cadeaux au Hamas, voilà le résultat », a-t-elle martelé.
L’incident intervient dans un contexte de tensions croissantes entre Paris et Jérusalem, après l’annonce par Emmanuel Macron, le 24 juillet, de la reconnaissance prochaine de la Palestine par la France. Pour El Al comme pour une partie de l’opinion israélienne, cette décision serait perçue par certains extrémistes comme un feu vert à la haine.
SOURCE
https://www.i24news.tv/