BALANCE TON ANTISEMITE : Taieb El Mestari est fonctionnaire et soutient les actions terroristes du Hamas!

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Taieb El Mestari est fonctionnaire, cadre dirigeant du Comité Action Palestine Bordeaux. Comme tous les fonctionnaires il est soumis au devoir de réserve. Voici son tweet du 7 octobre !



SOURCE
https://twitter.com/JCoupable

happywheels

7 Commentaires

  1. David dit :

    Dans peu de temps il pourra visiter visiter la  » Palestine libérée « 

  2. Vérité et justice dit :

    Bientôt son propre massacre par ses potes djihâdistes du Hamas qui détestent tt le monde à part leur gueule et qui kiffent leur vie en milliardaires égoïstes et cruels….
    Leurs points communs entre ce pauvre raté inculte haineux et le hamas le meme goût du sang des mécréants et profiteurs a ts les niveaux de l occident 🐀🐀🐀🐀🐀🐀🐀🐀
    Qui rigolera bien rigolera le dernier…

  3. David dit :

     » la Palestine libérée…. du Hamas ‘

  4. Hérode dit :

    une chance pour la France….

  5. Franccomtois dit :

    Incroyable ces afro-maghrébins(sans faire de généralité,mais ils sont nombreux),pourquoi ont-ils tant de haine au coeur?Les kurdes,les yazidis,les ouighours,ils s´en battent les roubignoles?Pas de juifs derriere,merde!Le Maghreb est dans une misere absolue,les minorités terrorisées et ils crachent leur haine sur les juifs,Israel,La France et ils crêvent dans la misere chez eux,en plus par les leurs,je les plains!Ont-ils de la dignité?Réveillez-vous,remettez vos pays sur pied,soyez digne et franc!Pour celles et ceux qui vivent en France,pas d´excuse et effectivement une rémigration des teigneux associaux serait un bien pour la France,voir pour l´Europe!De plus en plus de gens qui jusque lá leur trouvaient des excuses,finissent par baisser les bras,ils lassent tout le monde!Nos tarés bien de chez nous+les tarés d´ailleurs,y a pas bon!!!
    Maintenant je ne généralise pas,je n´oublie pas le monsieur algerien qui nous a tendu la main quand nous étions dans la galere,même dans notre quartier pourrie en France,il y avait des personnes d´origine maghrébine adorable.Mais les salopards doivent dégager á grand coups de pompes!!!

  6. Franccomtois dit :

    Bande de saloperie antisémite!!!Que ces salopards lisent cette info:
    France 24
    En Indonésie, une vague de désinformation met en danger les réfugiés rohingyas
    Article de Thaïs Chaigne • 2 h
    Sur les réseaux sociaux indonésiens, des dizaines d’images manipulées ou sorties de leur contexte ciblent les réfugiés rohingyas. La désinformation est telle que, même dans la province d’Aceh, réputée très accueillante, l’ONU s’inquiète pour leur sécurité. Notre Observateur, un journaliste indonésien spécialiste de la vérification pour « Mafindo », décrypte cette campagne de haine en ligne.

    Le 27 décembre 2023, des centaines de manifestants vêtus d’uniformes d’étudiants ont forcé des réfugiés rohingyas à quitter un refuge temporaire dans un parking de la ville de Banda Aceh, capitale de la province indonésienne d’Aceh. Des vidéos les montrent en train de chanter des slogans, tels que « dégagez-les », et menacer des réfugiés effrayés, dont des femmes et de jeunes enfants.

    Ces images, largement relayées sur les réseaux sociaux et par les médias, ont choqué la communauté rohingya et ses défenseurs : chaque année, de nombreux Rohingyas débarquent sur les plages de cette région, à l’extrême nord de l’Indonésie, dans des embarcations de fortune. Jusque-là, ils avaient été bien accueillis par les locaux.

    Ethnie musulmane originaire de Birmanie, les Rohingyas sont persécutés dans leur pays. Plus de 700 000 d’entre eux ont fui depuis la violente répression militaire qui s’est abattue sur eux en août 2017. Beaucoup se sont réfugiés au Bangladesh, mais dans des conditions souvent extrêmement précaires. C’est depuis la Birmanie ou le Bangladesh que certains prennent la mer.

    Que ce soit à cause de mauvaises conditions météorologiques ou d’embarcations surpeuplées et mal équipées, les candidats à l’exil dévient souvent de leur route et n’atteignent que rarement la destination visée, très souvent la Malaisie.
    Beaucoup échouent également dans la région indonésienne d’Aceh : plus de 1 600 ont débarqué là-bas en 2023, selon le Haut Commissariat aux réfugiés des Nations Unis (HCR).

    Mais depuis quelques mois, les Rohingyas ne semblent plus les bienvenus à Aceh : des réfugiés ont été repoussés vers la mer, d’autres menacés physiquement et verbalement, et des membres du HCR et de l’Organisation Internationale pour la migration (OIM) ont été menacés et accusés de participer à un complot de trafic humain.

    Cette hausse des actes anti-Rohingyas intervient dans un contexte d’expansion des discours haineux et de la désinformation en ligne au sujet des Rohingyas en Indonésie.

    Sur Instagram et TikTok, le nombre d’images sorties de leur contexte et alimentant une image négative des réfugiés rohingyas a explosé ces derniers mois.

    Une vidéo virale sur TikTok affirme, par exemple, montrer des réfugiés rohingyas brûler un entrepôt. Une recherche d’images inversées (voir ici comment procéder) permet d’en retrouver l’origine : c’est un incendie en 2020 à Cimahi, une ville de la province de Java occidental en Indonésie.

    Une autre vidéo, visionnée plus de 11 millions de fois sur TikTok depuis décembre, montre un énorme bateau rempli de passagers. La vidéo a pour légende : « Des Rohingyas sont à nouveau transportés du Bangladesh vers l’Indonésie. » Il s’agit en réalité d’un bateau opérant des voyages internes au Bangladesh. On peut lire le nom du bateau sur les images et retrouver son itinéraire à partir de cette information. Par ailleurs, une partie des images du bateau sont extraites d’une chaîne YouTube bangladaise.

    « Les fausses informations liées aux discours de haine visent l’aspect émotionnel des personnes »
    Ces deux vidéos ont été vérifiées par la plateforme indonésienne « Mafindo ». Selon l’un de ses journalistes, Aribowo Sasmito, les fausses informations liées aux Rohingyas ont proliféré ces derniers mois :

    Tout a commencé avec une série de publications émanant de faux comptes qui se faisaient passer pour le HCR sur TikTok. C’était [arrivé] au point où ils ont dû communiquer pour dire que ce n’était pas eux.

    Puis il y a eu de plus en plus de vidéos sur Instagram et TikTok qui dépeignaient les Rohingyas comme étant des personnes ingrates.

    Le problème avec les vidéos, c’est que les gens se laissent facilement influencer sans vérifier, notamment en ce qui concerne tout ce qui renforce le récit que les Rohingyas sont mauvais.

    Ces intox dépeignent souvent les Rohingyas comme n’étant pas suffisamment reconnaissants vis-à-vis de l’accueil indonésien, comme faisant partie d’un réseau de trafic humain, ou encore comme étant de mauvais, voire de « faux » musulmans.

    Comme la majorité des Indonésiens sont très religieux et orientés vers la famille, leur foi est l’un des principaux ingrédients exploités par la désinformation, surtout celle associée à un discours de haine.

    Il est très difficile de déconstruire les fausses informations liées aux discours de haine, car elles visent l’aspect émotionnel des personnes. Et le moyen le plus facile d’atteindre une société religieuse et familiale comme l’Indonésie est d’intégrer la religion et les questions raciales dans les fausses informations.

    Certaines publications vont jusqu’à comparer les réfugiés rohingyas débarquant en Indonésie à la situation entre Israël et Gaza – mais dans un schéma selon lequel les Rohingyas viendraient spolier la terre des Indonésiens.

    Un faux compte du HCR a, par exemple, sous-entendu qu’ils allaient leur « donner une île vidée ». Une autre intox censée montrer des bateaux de réfugiés rohingyas est légendée : « La situation d’Israël se reproduit ici. » Il s’agit pourtant de bateaux de pêche chinois.

    Certaines ONG locales commencent à croire à ces discours négatifs sur les Rohingyas. Certains de leurs membres reprennent une partie du narratif dépeignant les réfugiés comme ingrats ou ayant un mauvais comportement.

    Cette image négative des Rohingyas s’explique aussi par un sentiment croissant d’injustice chez une partie de la population d’Aceh, en particulier à la suite de l’emprisonnement de trois pêcheurs qui avaient aidé à débarquer 99 réfugiés rohingyas piégés sur un bateau en train de couler, en 2021. Ils avaient été condamnés à cinq ans de prison pour trafic de migrants.

    Dans cette région très pauvre, l’image de réfugiés « ingrats » se diffuse facilement, explique Aribowo Sasmito :

    Certains cas isolés, où certains Rohingyas se sont peut-être mal comportés, ont pu être généralisés. Et la généralisation est l’une des tactiques utilisées pour susciter la colère et l’aversion des gens. Lorsque cette aversion existe déjà, il est évident que les gens sont facilement incités à diffuser des informations erronées.

    Il y aussi d’autres facteurs extérieurs qui viennent renforcer ce récit, comme lorsque le président Joko Widodo a dit [en décembre 2023, NDLR] que le nombre de Rohingyas arrivant dans son pays augmentait à cause du trafic d’êtres humains.

    Certaines fausses informations sur les Rohingyas concernent des personnalités politiques, accusées d’avoir pris position sur le sujet. Par exemple, début janvier, un extrait vidéo partagé plus de 200 000 fois sous-entendait que le président indonésien s’était engagé à expulser les Rohingyas. Mais dans son discours original non tronqué, retrouvé par l’AFP factuel, Joko Widodo ne parle jamais d’expulsion : il dit seulement vouloir sévir contre le trafic d’êtres humains et s’engage à fournir une aide temporaire aux Rohingyas « tout en donnant la priorité aux intérêts des communautés locales ».

    « Les Rohingyas deviennent de véritables boucs émissaires »
    Reste que ce sentiment anti-Rohingya intervient dans un contexte de montée du nationalisme et du patriotisme, avec la tenue des élections le 14 février. Chris Lewa, présidente de l’Arakan Project, une association de défense des Rohingyas, a suivi de près l’évolution de ce discours anti-Rohingya en ligne :

    Quand le premier bateau a été repoussé [en novembre], il y a eu un commentaire du porte-parole du ministère des Affaires Étrangères qui a rappelé que l’Indonésie n’avait pas signé la Convention de 1951 sur les réfugiés, et n’avait donc aucune obligation de recevoir les Rohingyas. Cela a beaucoup été repris dans le discours anti-Rohingyas.

    Mais le pays reste quand même tenu de respecter les lois nationales [qui lui imposent de prendre en charge les réfugiés, comme un décret présidentiel de 2016, NDLR].

    Dans ce contexte d’élections présidentielles, les Rohingyas deviennent de véritables boucs émissaires.

    [Face aux tensions] le gouvernement a dit vouloir collaborer avec le HCR et l’OIM et a donné des instructions, mais sur le terrain, ça ne change rien : des Rohingyas continuent d’être déplacés par des locaux, certains membres indonésiens de mon association n’osent plus aller dans les camps. Certains ont même été physiquement menacés. Heureusement, ce n’est pas partout comme cela, et certains villageois restent solidaires avec les Rohingyas.

    Selon nos Observateurs, il est difficile d’établir qui est à l’origine de la diffusion de ces fausses informations. Plusieurs analystes et journalistes parlent d’une « campagne » de désinformation qui semble coordonnée, sans pouvoir pour autant en définir les contours.

    🤬INDONÉSIE pays muzz!!!

  7. joseparis dit :

    Est-ce-que l’on sait dans quelle administration ce fanatique travaille ?

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