BALANCE TON ANTISEMITE- VINCENT REYNOUARD PERSISTE DANS SES DELIRES ANTJUIFS

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dans une vidéo de 4minutes et trente huit secondes , VINCENT REYNOUARD nous fait la promotion de son prochain  » Torchon littéraire « .
Voici quelques extraits que nous avons soigneusement pris soin de relever , de 38s à 50 secondes: «Le prétendu génocide des juifs est un mythe», ou encore de 1m03 à 1m14s :«Mais aucune extermination systématique n’ a été ni ordonnée ni planifiée ni perpétrée ….en particulier les prétendues chambres à gaz hitlériennes n’ont jamais existé», ou encore de 3m31s à 3m35s…..:«L’invocation d’un prétendu massacre systématique qui n’a jamais existé ».
Mr Reynouard déjà condamné et exilé en Angleterre pense rester impuni……
De nouvelles lois condamnant le négationnisme viennent d être appliquées outre Manche.
Un mandat d’extradition est en court . Et comme à notre habitude avons contacté les associations et juridictions compétentes.
Source :
https://blogue-sc.com/2019/10/pourquoi-etait-il-antisemite-un-livre-tres-actuel?fbclid=IwAR0Z6m0YdY8sjhz3U6AlcO0MQfsK0iFxfzIBKR3qZ-UN5KQ-SpHHgC5lLa4

Vincent Reynouard, né le 18 février 1969 à Boulogne-Billancourt, est un militant négationniste et sédévacantiste2 français. Il se réclame de l’idéologie national-socialiste
Vincent Reynouard aurait été, selon son propre récit, séduit par le nazisme dès l’adolescence4. Étudiant au début des années 1990 à l’ISMRA à Caen, il y crée une « Association normande pour l’éveil du citoyen » (ANEC) qui diffuse un bulletin, Nouvelle vision, qu’il rédige avec Rémi Pontier. Il fonde aussi, avec Pontier et Philippe Costa, l’« Amnistie nationale pour les internés et victimes de la loi Gayssot ».
Il se réclame du courant négationniste « post-révisionniste » des héritiers de Robert Faurisson, Alain Guionnet et Olivier Mathieu, courant qui affirme dénoncer, au-delà du prétendu « mythe de la Shoah », l’« emprise juive » sur le monde moderne. Il est un temps exclu du campus pour y avoir distribué des tracts et des autocollants et, dès 1991, fait l’objet de poursuites en justice7. Il milite alors également au sein du Parti nationaliste français et européen (PNFE), groupe néo-nazi dont il est brièvement secrétaire général en 1991.
Le 8 octobre 1992, la cour d’appel de Caen le condamne à un mois d’emprisonnement avec sursis et à 5 000 francs d’amende pour contestation de l’existence d’un ou plusieurs crimes contre l’humanité (arrêt no 679), Reynouard ayant, selon la Cour de cassation, « adressé aux vingt-quatre élèves d’un lycée, lauréats du concours Résistance et Déportation, des lettres anonymes auxquelles était annexée la photocopie d’écrits contestant l’existence des chambres à gaz en Allemagne durant la Seconde Guerre mondiale ».
Après ses études d’ingénieur chimiste, il opte pour l’enseignement et réussit en 1994 le concours de professeur de mathématiques; il est titularisé en 1995, bien qu’entre-temps la Cour de cassation ait rendu définitive sa condamnation pour négation de la réalité du génocide et que de nouvelles poursuites contre lui soient en cours, pour distribution de tracts dans les rues de Caen. Il est suspendu le 20 décembre 1996 puis révoqué de l’Éducation nationale en avril de l’année suivante pour avoir conservé dans un ordinateur de son lycée des documents niant la Shoah et avoir distribué à des élèves un exercice sur les statistiques de mortalité à Dachau inspiré d’un article de Robert Faurisson.
Il contribue en 1997 à un livre intitulé Le Massacre d’Oradour. Un demi-siècle de mise en scène qui prétend innocenter les Waffen SS du massacre d’Oradour-sur-Glane ; il réitère avec une cassette vidéo, également interdite en 2001. En juin 2004, la cour d’appel de Limoges le condamne à vingt-quatre mois de prison, dont six ferme, pour apologie de crimes de guerre. La Cour de cassation casse cependant cet arrêt sans renvoi en avril 2005, jugeant que les faits reprochés ne constituent pas une apologie de crimes de guerre, mais une simple contestation de crimes de guerre, laquelle n’est pas réprimée par la loi.
Réfugié en Belgique, il crée la branche française, « Vision historique objective » (VHO), de la maison d’édition néonazie (de même sigle) de Siegfried Verbeke « Vrij Historisch Onderzoek ». Ses propres écrits sont notamment diffusés par le mensuel L’aSSaut du groupuscule néonazi L’Assaut. Il y anime également la revue néonazie Sans concession. Il fonde en 2005 avec Jean-Jacques Stormay sa propre structure « catholique national-socialiste et révisionniste », le « Mouvement de combat Saint-Michel ».
Arrêté lors d’un déplacement en France le 10 novembre 2006, Reynouard reçoit le soutien de l’hebdomadaire d’extrême-droite Rivarol.
Il est condamné le 8 novembre 2007 à un an de prison et 10 000 € d’amende par le tribunal correctionnel de Saverne (Bas-Rhin) pour contestation de crimes contre l’humanité, pour avoir écrit et fait distribuer la brochure « Holocauste, ce que l’on vous cache » auprès de musées, de syndicats d’initiative et de mairies d’Alsace ; la Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme (LICRA), partie civile, obtient 3 000 € de dommages-intérêts, et une manufacture d’impression et son président où avait été distribué le document, 150 €. En juin 2008, il est à nouveau condamné, en compagnie de Siegfried Verbeke, par le tribunal correctionnel de Bruxelles pour négationnisme. Il vit dans la clandestinité pendant un an. En février 2009, les journalistes d’investigation belges Frédéric Loore et Manuel Abramowicz retrouvent sa trace et publient leur information exclusive sur le site de RésistanceS et dans l’hebdomadaire Paris Match. Vincent Reynouard est pour finir arrêté le 9 juillet 2010 puis extradé vers la France où il est finalement incarcéré, à Valenciennes pour purger sa peine.
Un comité de soutien et un site web (« csvr.wordpress.com ») sont alors créés avec la participation du groupuscule lyonnais d’extrême-droite Jeune Nation, émanation de l’Œuvre française ; on y trouve notamment Robert Faurisson et sa sœur Yvonne Schleiter qui relaie les messages de Reynouard sur sa liste de diffusion « Bocage ». Jacques Leclerq note qu’« en réalité, cette structure sert avant tout à faire passer les idées de l’intéressé, plus que le défendre ; cela lui permet à nouveau de développer ses thèses ouvertement favorables à Hitler […] ».
Le 6 août 2010, l’écrivain Paul-Éric Blanrue lance une « pétition pour l’abrogation de la loi Gayssot et la libération de Vincent Reynouard ». Le texte de cette pétition précise qu’il « ne s’agit pas, pour les signataires de cette pétition, de soutenir les idées de Vincent Reynouard mais de défendre son droit à les exprimer ». Cette pétition marque cependant le début de l’engagement négationniste de Paul-Éric Blanrue selon l’historienne Valérie Igounet. Elle est signée par des personnalités aux opinions politiques diverses, parmi lesquelles le physicien et essayiste Jean Bricmont, le professeur Noam Chomsky, mais également le délégué du Front national Bruno Gollnisch, des personnalités passées par le FN et l’ayant quitté comme Jean-Yves Le Gallou et Alain Soral, le polémiste Dieudonné. On y trouve également les signatures des négationnistes Robert Faurisson, Pierre Guillaume, Jean Plantin et Bernard Notin.
Selon les journalistes Abel Mestre et Caroline Monnot, certains signataires sont des « idiots utiles », parmi lesquels, outre Bricmont et Chomsky déjà cités, l’écrivain et réalisateur Yann Moix (qui retirera sa signaturen 1), le journaliste et fondateur de Reporters sans frontières Robert Ménard, le journaliste et écrivain Dominique Jamet, et plus à gauche, l’évêque catholique Jacques Gaillot (qui a retiré sa signature), et le journaliste québécois Jean-Guy Allard.
Libéré après neuf mois de détention en avril 2011, il reste sous contrôle judiciaire et sous le coup d’une procédure pour la diffusion de cédéroms négationnistes en 2009 à cent vingt lycées. Il écrit notamment dans Rivarol et crée en novembre 2011 un site internet négationniste, « phdnm.org » (« Pour une Histoire Débarrassée des Nombreux Mensonges ») qui se présente comme une réponse au site internet PHDN (Pratique de l’Histoire et Dévoiements Négationnistes). Reprenant une tradition de son courant de pensée, il propose une somme d’argent (5 000 €) à celui qui « démontrera au terme d’un débat libre, loyal et courtois que les chambres à gaz homicides hitlériennes ne sont pas un mythe de propagande ».
Le 11 février 2015, après s’être défendu sans avocat, il est condamné à deux ans de prison ferme par le tribunal correctionnel de Coutances pour avoir diffusé sur son site des vidéos dans lesquelles il déclarait que les commémorations du 70e anniversaire du débarquement en Normandie relevaient de la propagande et niait à nouveau l’existence des crimes nazis. Cependant, le procureur Renaud Gaudeul, constatant que la peine infligée excède les plafonds prévus par la loi affirme que « cette peine est illégale » et qu’il fait appel de la condamnation. L’arrêt de la cour d’appel de Caen intervient le 17 juin 2015, et condamne Vincent Reynouard à un an de prison ferme, mais sans peine d’amende.
Le 7 mai 2015, il est condamné à deux mois de prison ferme pour complicité de contestation de crime contre l’humanité pour un article paru quatre ans plus tôt dans Rivarol, et qui remettait en cause l’existence de la Shoah35. La cour d’appel de Paris confirme cette condamnation en février 2016.
En octobre 2015, il obtient de la Cour de cassation la transmission au Conseil constitutionnel d’une question prioritaire de constitutionnalité relativement à la loi Gayssot. Le Conseil se prononce le 8 janvier 2016 et déclare la loi Gayssot conforme à la Constitution. Puis, le 21 juin 2016, la Cour de cassation rejette son pourvoi.
Le 4 novembre 2016, il est condamné par le tribunal correctionnel de Paris à une nouvelle peine de cinq mois de prison ferme pour avoir mis en ligne deux vidéos négationnistes dans lesquelles il renouvelle son défi : « 5 000 € à qui me convaincra que la Shoah n’est pas un bobard de guerre ». Il est en outre condamné à verser 2 000 euros de dommages et intérêts à la LICRA, qui était partie civile, ainsi qu’une somme identique au titre des frais de justice.
Pour Jean-Yves Camus, « l’affaire Reynouard établit des liens entre plusieurs courants de l’intégrisme catholique et le négationnisme » : la Fraternité sacerdotale Saint-Pie-X (FSSPX) et le courant sédévacantiste « dont la position sur le génocide nazi est assez clairement négationniste ». C’est « un hybride d’un genre nouveau. Il a un rôle important. La nouveauté par rapport à Faurisson, c’est qu’il fait pénétrer le négationnisme au cœur du catholicisme intégriste ».
Selon Jean-Yves Camus, Vincent Reynouard serait très marqué par le catholicisme traditionaliste et appartiendrait au courant sédévacantiste : « sa femme fréquente la Fraternité sacerdotale Saint-Pie X (FSSPX), il a enseigné dans une école de la Fraternité et ses enfants (il en a huit) sont scolarisés dans un établissement lefebvriste. Selon lui pourtant, le courant lefebvriste est « trop modéré ». Il se réclame donc à la fois du « national-socialisme » et du minuscule courant sedevacantiste ».
Reynouard est d’ailleurs signataire de la pétition en faveur de Richard Williamson en 2009 aux côtés de Jean Plantin et de Robert Faurisson.

happywheels

3 Commentaires

  1. vrcngtrx dit :

    faut entendre aussi les théories de ce connard sur Oradour, un vrai fumier !

  2. Bertrand Jean-Michel Escaffre dit :

    « On » s’attaque au nazisme en étant soi-même doux comme un agneau.
    C’est comme vouloir attaquer Alien en étant la Schtroumpfette.

    Les nazis cramaient des gens morts, et ne les mangeaient pas plus qu’ils ne pratiquaient des rituels inquiétants avec les restes.

    Je respecte les limites de l’expressivement correct et j’ai envie d’éviter les ennuis avec les lois des faibles qui tiennent hélas le pouvoir au nom de l’hypocrisie lâche afin de rendre les gens mignons pour que ceux-ci acceptent de se faire ponctionner les poches et les veines par les connards de l’impunité, ce qui collatéralement nous asservit aussi à la persistance des cons notamment les nazis et leurs complices du quotidien les fascisto-bisounours toujours prêts à des joutes oratoires contre les gens de l’action au nom de la sérénité de l’âme et autre couilleries dangereuses où la faiblesse est encensée et la résistance lacérée – car entre nous soit-dit, l’inaction des gens de bien n’y est pour rien, c’est plus les bâtons qui sont mis dans leurs roues la cause du problème. Bref.

    Aussi à la place de mes envies concernant les nazis j’évoque plutôt une simple claque et un méchant crachat sur le visage de Chomsky-le-décevant. Parce qu’il a fait une grosse connerie au nom du principes-fumette général de « droit à l’expression » avec cette pétition à deux balles.

    Ma sensibilité est profondément choquée, je vais avoir du mal à m’en remettre, car j’éprouvais de la tendresse câline pour lui. J’ai de la peine. Mes larmes romantiques ne demandent qu’à se manifester.

    Ceci étant je n’ai rien contre passer outre mes convictions temporairement et inviter les nazis à un bon repas et sa cérémonie de clôture, je suis humain malgré tout et il faut être bon vivant, ouvert d’esprit et savoir accepter un peu de l’autre en soi : ça fait aussi partie des valeurs communes qui fondent notre espèce.

    Voici un cool clip afin de marquer l’instant.
    Le lieu de tournage est esthétique.

  3. Ben dit :

    Putain de tête de victime. Un pauvre type a l’instar d’un soral. Des nevrosés en puissance.
    Ali Saroual, le moment venu, on t’oubliera pas 😉

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