En Creuse, des drapeaux palestiniens peints sur la forteresse de Crozant

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Plusieurs drapeaux palestiniens peints sur les ruines de la forteresse de Crozant ont été découverts, ce mercredi 3 septembre. Le syndicat mixte en charge de la gestion du site va porter plainte. Depuis, les faits suscitent de nombreuses réactions.


Laurent Daulny, le président du syndicat mixte en charge de la gestion du site de la forteresse de Crozant a appris la nouvelle en milieu d’après-midi, ce mercredi 3 septembre. Sur les ruines millénaires, dont celles des tours du château, plusieurs pierres ont été peintes aux couleurs de la Palestine. Une inscription « Free Palestine » a également été taguée. Les gendarmes sont venus constater les faits.
C’est la première fois que ce site classé monument historique est dégradé. L’ensemble des peintures auraient été réalisées dans la nuit ce mardi 2 septembre, une fois la nuit tombée, ou dans la matinée du mercredi 3 septembre.
La peinture incrustée dans les vieilles pierres
« C’est un manque de respect total. C’est tout un travail de préservation de notre patrimoine qui est souillé », regrette Laurent Daulny. « La peinture, sans doute réalisée à la bombe, s’est largement incrustée dans la pierre, très ancienne. Il va falloir trouver une entreprise qui puisse nettoyer ces peintures assez rapidement. On ne peut pas laisser le site dans cet état. La vraie crainte est de constater que la pierre est trop imprégnée de peinture », redoute-t-il.
Selon le président du syndicat mixte, une peinture de ce type a déjà été retrouvée à proximité au rocher de la Fiileuse, sur la commune de Saint-Plantaire dans l’Indre.
La forteresse de Crozant était en libre accès depuis quelques jours, car le portique permettant de faire payer l’entrée aux visiteurs ne fonctionnait plus. Le syndicat avait préféré laisser les visiteurs accéder librement au site plutôt que de le fermer complètement. Il est désormais fermé au public.

happywheels

5 Commentaires

  1. danny dit :

    C’est tout le temps en permanence et de plus en plus GROSSIER et OBSCENE que ça va gonfler de plus en plus d’indécis. Tout comme le gauchisme, la « palestinopathie » est une très sévère maladie mentale qu’il va falloir soigner avec des traitement de CHOC !

  2. Didier dit :

    Quelle coïncidence dans la Creuse paisible!:voir cet article de CAUSEUR et de Valeurs Actuelles sur la présence d’une poignée d’extrêmistes de gauche autour d’une candidate LFI frustrée Catherine Couturier, acoquinee avec une racaille un dénommé un Victor Speck qui a fichu le bazar dans une fête de village de Creuse et crie à la chasse aux negres sous la protection jouissive de Libé et autres torches cul.
    Si ça peut aider les gendarmes sur l’histoire des tags je leur suggère de regarder du côté des racailles Lfistes. Il y a comme un faisceau d’indices en leur défaveur. Même les gendarmes de Saint Tropez s’en rendraient compte.

    • liguedefensejuive dit :


      Dans la Creuse, l’extrême gauche locale transforme une rixe de village alcoolisée en prétendue «chasse au nègre» raciste.
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      La Creuse est le département le moins peuplé de France. 115 529 habitants au recensement 2022. Sa préfecture, Guéret, ne compte que 12 814 âmes. Le département ne compte qu’une seule circonscription.
      On aura compris que, vue des hauteurs parisiennes où sévit la technocratie d’État, la Creuse n’est que quantité négligeable, une sorte de néant territorial dont, par ailleurs, il n’est pas certain que ces Messieurs et dames des instances dirigeantes sachent le situer avec précision sur la carte. Quantité négligeable et donc négligée. Car s’il y a en France des « territoires perdus de la République », certains quartiers, certaines périphéries de grandes villes, il y a aussi, en moins visibles et moins tapageurs, ce qu’on pourrait appeler « les territoires méprisés de la République. » C’est ce que le mouvement des gilets jaunes – canal historique s’entend – s’efforçait de dénoncer avant de se voir récupéré, dénaturé et détourné par l’engeance mélenchonienne et crypto révolutionnaire de l’ultra-gauche. Forme dénaturée et détournée qui, au demeurant, sert aujourd’hui de faux-nez à cette même ultragauche pour la grande bordélisation de rue promise le 10 de ce mois. Les gilets jaunes, les vrais vrais, se laisseront-ils abuser ? Faisons confiance au bon sens des vrais gens…
      Duel politique au sommet du plateau de Millevaches
      En fait, l’impéritie, l’incurie d’État ayant créé ici – comme ailleurs – un vide, d’autres, bien entendu, s’emploient à l’occuper. Qui s’en étonnerait ?
      Ces autres : l’extrême gauche LFI, son entrisme, son activisme créolisateur, selon le catéchisme professé par son gourou et grand manitou. Celui-ci n’a-t-il pas honoré de sa rayonnante présence un rassemblement à Gentioux-Pignerolles devant le monument – national – aux morts pacifistes (sic). La députée LFI du département Catherine Couturier l’accompagnait (Les informations qui me permettraient de préciser si ledit gourou eut ou non, en ce jour solennel, la bonté de guérir les écrouelles me manquent. Je prie les lecteurs de m’en excuser).

      Cette députée LFI – investie Nupes – fut battue aux législatives post dissolution de 2024. Elle a donc dû céder son siège au jeune député Union des Droites pour la République Bartolomé Lenoir dont l’une des premières actions à la Chambre aura été d’alerter le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau sur l’infiltration extrémiste dans son département et ses dangers.
      Infiltration qui connut, pourrait-on dire, une très douteuse heure de gloire lors de la dernière fête du 15 août au village de Royère-de-Vassivière. La région est pourtant charmante, avec « un petit air de Canada » se plait-on à faire valoir. Nous sommes au plateau de Millevaches, autrement dit des mille sources, et tout près du lac de Vassivière. Quant au bourg concerné, il semblait jusqu’alors raisonnablement paisible, et le rendez-vous traditionnel du 15 août, où tout le monde se rassemble dans la bonne humeur, était jusqu’à cette année un jour de fête que n’aurait certainement pas désavoué le cinéaste Jacques Tati à son meilleur.
      Mais l’ultra gauche veillait !
      Et l’on assiste alors à la parfaite illustration de ce qu’est la stratégie subversive des mouvements et groupuscules révolutionnaires, la récupération et l’exploitation de ce qui ne pourrait être qu’un incident pour l’ériger en fait politique signifiant et en faire un motif de lutte ouverte.
      En vedette, ce 15 août à Royère, un dénommé Victor Speck, Français haïtien d’origine, fiché comme participant à des manifestations violentes et bien connu des habitants du village pour son sens bien particulier de la convivialité rurale et du vivre ensemble. Avoir balancé une échelle sur un responsable du comité des fêtes et avoir craché sur sa fille, planté sa tente sur un terrain loué par des chasseurs et n’en être parti qu’après maintes prières et, à la fin, la menace de balancer ses affaires dans l’étang… Ce 15 août, « il est accompagné de cinq ou six amis et de l’un de ses chiens », précise le reportage de Valeurs Actuelles1. Le groupe se montrerait plutôt agité toute la soirée : le chien aurait uriné sur les cartons appartement à l’association, larcins de gobelets… Rien de bien terrible, certes, mais quand même de quoi agacer. On en vient à émettre des reproches, à réclamer des excuses. Évidemment le ton monte. Jets de bouteille. Victor aurait lâché un coup de poing qui aurait atterri sur un de ses copains (Il n’y a pas que la police pour commettre des bavures). Bref, à ce stade, on n’en serait guère encore qu’à une embrouille de fin de nouba villageoise. Il est quelque chose comme deux heures du matin.
      Mais c’est alors que la stratégie évoquée plus haut se trouve activée.
      Victimisation en cinq étapes
      Première étape, la victimisation sur fond de racisme. Victor et ses copains affirment avoir été victimes d’une véritable « chasse aux nègres » et essuyé des insultes elles aussi racistes, ce que la loi punit. Dix jours après la fête gâchée, une manifestation de soutien aux “victimes” — non pas les villageois, évidemment, relégués au rang de fachos de service, mais bien Victor Speck et les siens — se tient sur place. Elle rassemble quelque deux-cent cinquante militants venus de tout le plateau. Une dizaine d’entre eux sont cagoulés. Ceux-là prétendront même avoir surpris le salut nazi d’un habitant occupé à « casser la croûte » avec d’autres à une terrasse. En fait, le geste amical adressé à une connaissance (Par chance, ces autochtones attablés et levant leurs verres ne se sont pas aventurés à chanter, sinon ils auraient probablement été accusés d’avoir beuglé Heili Heilo ou Maréchal nous voilà).
      Deuxième étape, la presse inféodée s’empare du sujet. Libération, Mediapart, l’Humanité pour qui c’est pain bénit.
      Troisième étape. L’ex députée LFI dépitée d’avoir perdu saisit là l’occasion de se refaire une santé et saisit la balle au bond. Elle fait entrer dans la boucle une avocate parisienne, acquise à la cause et militante – ce qui est son droit – et l’affaire va donc se trouver portée en justice.
      Quatrième étape, le 30 août, de Paris, treize militants se revendiquant membres de Renaissance puissance noire, sorte de survivance de la Ligue de défense noire africaine dissoute en 2021, débarquent au village. Dans une vidéo, aux côtés de Victor Speck au visage dissimulé, le chef lance : « Nous allons tout faire afin que justice lui soit rendue et nous comptons sur vous afin que l’affaire prenne des proportions internationales pour que les coupables paient. » Les coupables, ils ont été ciblés dès le 26 août dans une déclaration des députés insoumis relayée par les chaînes d’info : « Une fête de village dans la Creuse se transforme en « chasse au nègre », voici le bilan désastreux de Bayrou et Retailleau. La libération de la parole raciste dans l’espace public et médiatique crée un climat nauséabond dans ce pays. »
      Cinquième étape, le Syndicat de la montagne limousine, fortement acoquiné à l’ultra gauche, organise à son tour une fête à Royère. Cela, très probablement dans l’espérance que survienne la sixième étape du processus de manipulation révolutionnaire, le drame, la bavure. Le sang qui coule. Le martyr de la cause. Avec dans la foulée, l’embrasement quasi général.
      Qu’on ne se fasse pas d’illusion, la ligne suivie est bien celle-ci. Désormais, il n’est pas un seul coin de France qui ne puisse fournir à cet activisme-là l’étincelle qui mettrait le feu aux poudres. Voilà où nous en sommes. Il faut espérer cependant que ce rendez-vous des plus explosifs soit interdit par les autorités ou qu’il se déroule sans trop de dommages. Cela juste pour que, le week-end suivant, par exemple, Monsieur Dupond-Moretti puisse, en toute tranquillité, tenir à Royère-de-Vassivière une belle conférence pour expliquer aux populations de ce joli coin aux airs de Canada que tout cela, finalement, ne relève que du ressenti.

  3. Didier dit :

    Quelle coïncidence dans la Creuse paisible!: un micro événement dans ce département, monté en épingle par les staliniens locaux. voir cet article de CAUSEUR et de Valeurs Actuelles sur la présence d’une poignée d’extrêmistes de gauche autour d’une candidate LFI frustrée Catherine Couturier, acoquinee avec une racaille un dénommé un Victor Speck qui a fichu le bazar dans une fête de village de Creuse et crie à la chasse aux negres sous la protection jouissive de Libé et autres torches cul.
    La poignée de crapules en cause applique effectivement les consignes d’Adolf Mélenchon: mettre le désordre partout tout le temps pour n’importe quoi, et sans gène ni limite puisqu’il n’y a rien ni personne en face.
    Si ça peut aider les gendarmes sur l’histoire des tags je leur suggère de regarder du côté des racailles Lfistes. Il y a comme un faisceau d’indices en leur défaveur. Même les gendarmes de Saint Tropez s’en rendraient compte.

  4. joseparis dit :

    C’est le phénomène du nombre. Ils effacent la présence française par leurs symboles fascistes. L’étendard colonisateur palestinien est le marqueur de leur présence toujours plus nombreuse chaque jour et de l’emprise du pouvoir nazislamiste sur le territoire français. Emprise d’autant plus facile qu’ils ont des alliés politiques entre la rance islamiste et le président qui a une peur bleue de ce qu’ils peuvent faire en France. micron sacrifie les français juifs aux nazislamistes pensant satisfaire la oumma hexagonale. Il a tort, ils n’en auront jamais assez.

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