INSULTES AUX MORTS DU BATACLAN :La veuve de Samy Amimour, assaillant du Bataclan et fière des meurtres de son mari, rapatriée en France

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Selon la fiche Wikipedia :

« Samy Amimour est inhumé le 24 décembre 2015 au carré musulman du cimetière intercommunal de La Courneuve dont relève la commune de Drancy, d’où il est originaire14. Ce même mois, la presse française fait état de mails de Kahina, l’épouse d’Amimour qui réside à Mossoul dans lesquels elle loue l’action de son mari7. »

Ci-dessous l’article du POINT
Kahina El H., qui s’avère être l’épouse d’un terroriste du Bataclan, a été rapatriée en France depuis la Syrie en juillet, a appris l’AFP de sources proches du dossier, confirmant une information de RMC. Cette personne, veuve de Samy Amimour, fait partie d’un groupe de 16 femmes, toutes rapatriées en même temps, mises en examen et placées en détention provisoire.
Kahina El H., qui serait née en janvier 1997, était partie en Syrie en octobre 2014, deux mois avant les attentats de Charlie Hebdo et de l’Hyper Cacher et un an avant ceux du 13 novembre 2015. Selon l’ordonnance finale de mars 2020 renvoyant devant la cour d’assises spéciale les protagonistes de ces attentats, elle a très rapidement épousé Samy Amimour une fois parvenue en Syrie.
En décembre 2014, Kahina El H. envoyait une vidéo à la sœur de Samy Amimour dans laquelle elle « menaçait de venir en France pour égorger les mécréants », selon l’ordonnance. Plus tard, elle apparaissait sur une photo avec une kalachnikov. Au courant de l’année 2015, elle avait aussi menacé de mort une de ses anciennes amies qui avait cessé de porter le voile. Toujours d’après cette ordonnance, Kahina El H. avait envoyé un mail à une connaissance trois jours après les attentats de novembre 2015 pour l’informer que son mari était Samy Amimour. Elle écrivait l’avoir encouragé à cette action et se disait fière de lui.
Une figure djihadiste, répertoriée parmi les plus dangereuses, rapatriée
Début juillet, la France a fait revenir 35 mineurs et 16 mères, premier rapatriement massif depuis la chute, en 2019, du « califat » du groupe État islamique (EI) alors que jusqu’ici la France privilégiait « le cas par cas » et avait seulement rapatrié des enfants.
Parmi les femmes rapatriées, âgées de 22 à 39 ans, figurait Émilie König, l’une des djihadistes françaises les plus connues, placée par l’ONU sur sa liste noire des combattants les plus dangereux.
Avant ce rapatriement, 120 femmes et près de 290 enfants français étaient détenus dans les camps syriens contrôlés par les Kurdes, avait indiqué en juillet à l’AFP Laurent Nuñez, l’ancien coordonnateur français du renseignement et de la lutte contre le terrorisme.
Cette information sur l’identifié d’une des femmes rapatriées intervient le jour où la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) doit rendre un arrêt très attendu sur le rapatriement de familles de djihadistes français.
La CEDH a été saisie par deux couples de Français qui avaient demandé en vain aux autorités françaises le retour de leurs filles, deux jeunes femmes compagnes de djihadistes, et de leurs trois enfants
source
https://www.lepoint.fr/justice/la-veuve-de-samy-amimour-assaillant-du-bataclan-rapatriee-en-france-14-09-2022-2489930_2386.php?fbclid=IwAR1JitoVK9qacvZJPfJBjPsMAjjdbwKnaMr_XmBzAlx_VDZRGy3PcCW82qA


Samy Amimour, né le 15 octobre 1987 à Paris et mort le 13 novembre 2015 à Paris, est un terroriste islamiste français d’origine algérienne. Cet ancien conducteur d’autobus de la RATP est parti rejoindre les rangs de l’État islamique en Syrie en 2013. Revenu en France, il est devenu l’un des trois auteurs, avec Ismaël Omar Mostefaï et Foued Mohamed-Aggad, de la tuerie du Bataclan qui a causé la mort de 90 personnes lors des attentats du 13 novembre 2015 à Paris.
Samy Amimour grandit dans la cité de la Boule à Drancy en Seine-Saint-Denis dans une famille musulmane décrite comme « très occidentalisée ». Ses deux parents sont d’origine algérienne et habitent à Liège en Belgique. Polyglotte et féru de littérature française, son père quitte le foyer dans son enfance, mais la famille reste en lien3. Sa mère, féministe, milite au sein d’une association culturelle berbère. Son père exerce dans l’import-export entre la France et la Belgique. Titulaire d’un bac L, Samy Amimour échoue successivement en droit à l’Université Paris-XIII puis dans un IUT de logistique. Il est finalement embauché en tant que conducteur à la RATP en 2012.
À partir de l’été 2012, Samy Amimour commence à adopter la tenue vestimentaire des musulmans salafistes. Le 15 octobre, il est auditionné avec deux autres personnes par la Direction générale de la Sécurité intérieure, Samir Bouabout et Charaffe al Mouadan, qui sera visé et éliminé par un drône américain à Raqqa le 24 décembre 2015. Le trio est soupçonné de vouloir se rendre au Yémen ou en Afghanistan pour faire le djihad. Amimour et al Mouadan ont suivi des cours de tirs à l’Association nationale de tir de la police, dans le 18e arrondissement de Paris. Amimour est relâché rapidement mais est placé sous contrôle judiciaire1. Il rencontre cette même année sur internet sa future épouse Kahina, qui le rejoindra plus tard en Syrie où ils se marieront.
C’est en septembre 20133 que l’ancien conducteur d’autobus de la RATP part rejoindre les rangs de l’État islamique (Daech) en Syrie via la Turquie. Les services secrets turcs le repèrent le 6 septembre 2013 en compagnie d’Ismaël Omar Mostefaï qui est l’un des trois terroristes du Bataclan et de Samir Bouabout, avec qui il avait préparé un départ pour le djihad raté en 2012. De là, il franchit la frontière avec la Syrie et rejoint les rangs de Daech. Sa future épouse le rejoint et ils se marient. Ils s’installent à Raqqa, le centre de l’État islamique en Syrie. Il prend le surnom d’Abou Hajia. Un mandat d’arrêt international est lancé contre lui par la France. En janvier 2014, il est blessé à la jambe par un obus près d’Alep lors d’affrontements contre les rebelles. Inapte au combat, il s’installe à Al-Chaddadeh. Son père lui rend brièvement visite le 29 juin 2014 en Syrie, avec pour espoir de le faire quitter les rangs de l’EI, mais sans succès. Le couple rejoint ensuite Mossoul en Irak.
Samy Amimour parvient à revenir en France sans se faire repérer par les autorités.
Le 13 novembre 2015, il participe, avec Ismaël Omar Mostefaï et Foued Mohamed-Aggad à la tuerie du Bataclan, l’une des trois séries d’attentats visant l’Île-de-France ce jour-là. Les trois hommes, munis de kalachnikov et de ceintures explosives, commencent leur attaque à 21 h 40. Ils ouvrent le feu sur le public du concert donné par les Eagles of Death Metal. L’attaque durera plusieurs heures, causant la mort de 90 spectateurs. Amimour est le premier terroriste à être neutralisé par les forces de l’ordre. Un commissaire divisionnaire et un brigadier de la BAC qui ont pénétré dans le Bataclan après avoir été prévenus par radio de l’attaque en cours aperçoivent au rez-de-chaussée de la salle de spectacle, à une vingtaine de mètres de leur position, sur la gauche de la scène, Samy Amimour à 21 h 57. Il tient en joue un otage, les mains sur la tête, à qui il ordonne de s’allonger sur le sol. Ils l’abattent aussitôt, faisant feu à six reprises. Sa ceinture d’explosifs explose. L’officier de la BAC estime que c’est Amimour qui l’a déclenchée avant de mourir.
Samy Amimour est inhumé le 24 décembre 2015 au carré musulman du cimetière intercommunal de La Courneuve dont relève la commune de Drancy, d’où il est originaire. Ce même mois, la presse française fait état de mails de Kahina, l’épouse d’Amimour qui réside à Mossoul dans lesquels elle loue l’action de so

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4 Commentaires

  1. Paul06 dit :

    Une justice contre le peuple, une justice politique, une justice inique.

  2. Max dit :

    Pourquoi faire revenir ces personnes, ce sont des bombes à retardement en puissance, sans mauvais jeux de mots.

  3. joseparis dit :

    Le gouvernement français savait très bien où elle était. La justice aurait pu la rapatrier pour qu’elle soit inclue dans le procès du Bataclan, et qu’elle réponde de son soutien à son ordure de mari, et à son idéologie nazislamiste. Elle est inculpée maintenant pour association de malfaiteurs terroriste criminelle, donc elle risque beaucoup moins que si elle avait été jugée lors du procès du Bataclan. Pourquoi la faire revenir avec ses enfants? Elle n’a jamais regretté être partie. Elle ressortira bientôt de prison, reprendra ses gosses, et les élèvera en bon djihadistes dans le souvenir de son mari mort pour la cause nazislamiste. Tout ça avec les allocs de la France qu’elle déteste tant. La situation serait presque comique, si ce n’était le révélateur de l’incapacité de la France à lutter contre ce cancer qu’est l’islamisme.

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