Les avocats de Salah Abdeslam renoncent à défendre leur client

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Cet assassin doit être totalement isolé et purger sa peine en totalité Ses conditions carcérales doivent même être les plus sévères. Il ne mérite aucune compassion Dans un cachot avec eau pain et jambon !!!!ce serait un régime plus approprié qu’une cellule avec salle de sport et nourriture à nos frais !!!!
Vivement un Guantánamo français

Ces avocats renoncent à le défendre mais pas à le faire passer pour une victime ! «Si ses conditions de détention relèvent de la torture psychologique», que penser, messieurs les avocats, de la torture psychologiques de tous les survivants et de toutes les familles qui ont perdu des proches dans les attentas auxquels Abdesalam a participé
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On croit rêver, ils le font passer pour une victime en plus! S’il ne parle pas, autant lui placer une corde dans sa cellule pour que l’on soit débarrassé de ce rat (comme le qualifie si justement son avocat)
« La prison transforme Salah Abdeslam en bête sauvage ». Parce ce n’était pas déjà une bête sauvage capable de tuer, en masse, des innocents ? On croit rêver… Transformer Abdeslam en bête sauvage ? Alors c’est un progrès. Aucune bête sauvage n’aurait eu la cruauté de faire ce que ce type a fait.


C’est quand même extraordinaire, on a le seul « rescapé » d’une équipe ayant tué en l’espace de 2 ou 3 heures , 130 personnes à la kalachnikov et on respecte son droit au silence…les droits de l’homme se retourne contre les innocents et les victimes. Faudrait peut être loué les services russes ou israélien pour le faire parler

Chaque matin un groupe de personnes au quatre coins de France se lèvent avec certainement une pensée envers un proche si mochement abattu, pour rien, pour satisfaire des individus déviants. La famille, des amis proches dont on partageait l’existence, au total avec ces 250 victimes ce sont 5000, 10.000 personnes qui vivent avec un poids quotidien ne jamais plus revoir et partager la vie de quelqu’un qu’on aimait et qu’on aime toujours. Et rester sans espoir sur cela jusqu’à la fin de ses jours. Que peut-on leur dire à tous ces humains, qui pourra un jour venir regarder ces 10.000 paires d’yeux et leur raconter de quoi redonner un sens, une réponse qui puisse au moins les faire espérer : rien à proposer, leurs proches sont morts pour rien en toute inutilité, rien à expliquer pour apaiser les douleurs, de l’espoir nulle part. Peu importe de ce qu’on fera de ce complice, de sa peine, il vivra en prison, au fil du temps reconstruira un quotidien, privé de libertés, pas toutes, il lira, travaillera, écrira, rira aux éclats un jour.

Cela lui est permis dès à présent et la justice et nos institutions y veillent. Tout le mal qu’on lui souhaite, mais surtout pendant ce temps Mrs les avocats trouvez nous une réponse à apporter à ceux qui portent un fardeau, ne rient plus qu’à moitié, trainent leur boulet, dans ce quotidien. La justice des hommes n’apporte pas de réponse dans l’intimité des cœurs, ne peut rien réparer des âmes meurtries à jamais.
« Je vous le dis, la prison est en train de transformer Salah Abdeslam en bête sauvage. » Abdeslam ne se transforme pas, Il est une bête sauvage. Et ces deux avocats ne doivent pas connaitre le sens du mot torture.
« Salah Abdeslam n’a jamais été l’organisateur des attentats de Paris. » C’est avec un muet qu’ils ont appris cela ? Etonnante déduction, il faudra peut-être revoir la formation de base des avocats.
La lâcheté jusqu’au bout !
Après avoir fui toutes les polices de France, il se fait attraper.
Et là, au lieu de revendiquer haut et fort ses « idées » et ses « motivations », non… il ne dit rien. Il se cache derrière le silence.
Ces gens se disent être des « combattants ». Ils ont une attitude qui montre qu’ils sont exactement le contraire. Ce sont des lâches qui poussent la lâcheté à un niveau rarement observé jusque-là.
Quand ils se limitent à des « petits » actes de délinquance, c’est pareil : ils attaquent à plusieurs (le moins de risque possible), ils attaquent cagoulés (des fois qu’on les reconnaîtrait…), ils s’attaquent à des gens faibles, des femmes, des personnes seules, des personnes âgées…
C’est le paroxysme de la lâcheté. Ce sont des gens qui méritent notre mépris le plus total.

Salah Abdeslam, né le 15 septembre 1989 à Bruxelles, est un terroriste français d’origine marocaine résidant et ayant grandi en Belgique, dans la commune de Molenbeek-Saint-Jean.
Affilié à l’État islamique, il est impliqué dans les attentats du 13 novembre 2015 qui ont fait 130 morts en région parisienne. Il a notamment loué la voiture utilisée par les assaillants de la salle du Bataclan, et a aussi déposé les trois kamikazes devant le Stade de France où ils se sont fait exploser. Il aurait pour sa part renoncé au dernier moment à en faire de même, abandonnant son véhicule dans le XVIIIe arrondissement parisien, puis sa ceinture explosive à Montrouge. Il parvient à s’enfuir de la région parisienne avec l’aide de complices venus le chercher la nuit même des attentats pour être déposé à Laeken pour ensuite être conduit vers Schaerbeek où il reste caché dans un appartement de la Rue Henri Bergé pendant 20 jours avant de disparaître en Belgique.
Il est arrêté lors d’une opération policière menée à Molenbeek-Saint-Jean le 18 mars 2016, après une cavale de 125 jours. Son implication dans la préparation des attentats du 22 mars 2016 à Bruxelles, qui ont lieu quatre jours après son arrestation, est également en question.
En janvier 2015, Brahim Abdeslam tente de se rendre en Syrie mais est intercepté par les autorités turques. Renvoyé en Belgique, il est interrogé en Belgique, de même que Salah. Ils sont relâchés bien qu’identifiés comme radicalisés23. Son nom figure dans une liste de suspects d’activités terroristes remise au bourgmestre de Molenbeek-Saint-Jean le 26 octobre par les services secrets belges.

Dans les neuf mois avant les attentats, Salah Abdeslam est identifié dans six pays différents. En août 2015, il se trouve avec Ahmet Dahmani, tous deux se rendent de l’Italie vers la Grèce en ferry. Dahmani est interpellé le 21 novembre en Turquie à Antalya, comme complice du réseau franco-belge de l’État islamique. Le 9 septembre, le véhicule de Salah Abdeslam est contrôlé à la frontière austro-hongroise en provenance de Budapest. Il se trouve en compagnie de deux hommes munis de deux pièces d’identité belges, qui se révéleront par la suite fausses, au nom de Samir Bouzid (Mohamed Belkaid) et Soufiane Kayal (Najim Laachraoui). Ces deux hommes coordonnent ensuite les attaques depuis Bruxelles le 13 novembre.
Un artificier de Saint-Ouen-l’Aumône (Val-d’Oise, Île-de-France) indique, après les attentats, qu’Abdeslam a fait un passage dans son entreprise en octobre 2015. Il a laissé la copie de son permis de conduire pour justifier l’achat d’une dizaine de détonateurs électriques.
D’après le magazine Le Point, il réserve sur internet deux chambres de l’hôtel Apart’City d’Alfortville (Val-de-Marne, Île-de-France) deux jours avant les attaques. Selon une autre source, la réservation aurait couru du 11 au 17 novembre. Grâce à des relevés bancaires corroborés par des archives de vidéosurveillance, les enquêteurs ont pu déterminer que Salah Abdeslam se trouvait en compagnie de Mohamed Abrini, un djihadiste belge passé par la Syrie, deux jours avant les attaques, dans une station service de l’Oise (Nord-Pas-de-Calais-Picardie), sur l’autoroute A1, en direction de Paris31. Ils sont à bord de la Renault Clio noire conduite par Abdeslam lors des attentats. On retrouve la trace de cette Clio, trois heures avant les attentats à 18 h le 13 novembre à l’aéroport de Roissy. Elle est détectée grâce à un système de reconnaissance de plaques.

Dès le 16 novembre, Salah et Brahim Abdeslam sont identifiés comme ayant été dans une Seat et une Volkswagen toutes les deux louées par Salah.
Selon le témoignage d’un voisin et ami des frères Abdeslam qui les a vus la veille des attentats du 13 novembre 2015 à Paris, une grosse dispute aurait éclaté dans la fratrie et l’un d’eux aurait affirmé ne pas bouger s’il n’avait pas « empoché l’argent ».
Le rôle exact de Salah Abdeslam dans les attaques du 13 novembre reste encore entouré de nombreuses zones d’ombres. Des signalements incohérents font état de sa présence à la même heure en des lieux différents. Ceci s’explique, selon les enquêteurs, par le fait qu’Abdeslam possède un physique passe-partout.
Les enquêteurs affirment que Salah Abdeslam a convoyé jusqu’aux abords du Stade de France les trois terroristes qui s’y sont fait exploser, à bord d’une Renault Clio noire. Un témoignage qui reste « sujet à caution » indique qu’il a tenté d’entrer dans le stade. Grâce au bornage de son téléphone, il est aussi possible de déterminer qu’il est ensuite passé par la porte de Clignancourt. Il a ensuite abandonné sa voiture place Albert-Kahn dans le 18e arrondissement de Paris à 21 h 59. Il a ensuite acheté une puce téléphonique dans ce secteur à 22 h 30. Il aurait ensuite renoncé à se faire sauter dans le 18e arrondissement.

Plusieurs témoignages font pourtant état de la présence de Salah Abdeslam au sein du commando des terrasses des café du 10e et 11e arrondissement, aux côtés de son frère Brahim, qui trouve la mort en faisant exploser sa ceinture explosive, et de son ami Abdelhamid Abaaoud. Il est en effet formellement reconnu sur des planches photographiques présentées par les enquêteurs aux rescapés comme étant un des membres du commando des terrasses. Ceci est corroboré par les propos des personnes l’ayant convoyé en Belgique à qui il aurait déclaré : « J’ai tué des gens avec ma kalachnikov dans ma voiture. Je suis le seul survivant. Mon frère Brahim s’est fait exploser. J’ai mis sa carte d’identité dans la boîte à gants pour faire comme [Amedy] Coulibaly pour qu’il soit connu du monde entier. » L’un des fusils Kalachnikov retrouvé dans la Seat abandonnée porte son ADN, ceci pourrait s’expliquer par le fait qu’il l’ait manipulé avant l’attaque. Un enquêteur, écartant l’hypothèse d’une participation de Salah Abdeslam au commando des terrasses indique que « Salah Abdeslam n’a pas le don d’ubiquité ! Il faudrait qu’il soit allé très tôt à Saint-Denis et très tard aux terrasses. Mais cela semble compliqué car sa Clio n’a pas été vue dans l’est de Paris. »
Dans la 13e édition de son magazine Dabiq de propagande en anglais, l’État islamique omet Salah Abdeslam, ce qui laisse supposer une rupture avec un militant qui aurait renoncé à l’utilisation de son gilet explosif

L’enquête de police montre que sa fuite est improvisée. Ce n’est que sept heures après les attaques que ses amis venus de Belgique le rejoignent.
Il est d’abord localisé dans le 18e arrondissement boulevard Barbès. Après les attentats, Salah Abdeslam se dirige vers Montrouge (Hauts-de-Seine, Île-de-France). Il sollicite d’abord vainement son cousin parisien qui refuse prétextant l’insécurité de la soirée en raison des attentats, puis il fait appel à Mohamed Amri et Hamza Attou qui viennent le chercher de Molenbeek-Saint-Jean. Mohamed Amri et Hamza Attou, sont respectivement barman et revendeur de cannabis au café des Abdeslam. Il les guide vers l’allée Vauban à Châtillon (Hauts-de-Seine, Île-de-France). C’est à proximité, rue Chopin à Montrouge, que sera découverte une ceinture artisanale d’explosifs non équipée d’un système de mise à feu, vraisemblablement portée par Salah Abdeslam. Il se vante auprès d’Amri et Attou d’être le « dixième » responsable des attentats. Il insiste pour emprunter des routes secondaires, mais le conducteur finit par se retrouver sur l’autoroute. La voiture est arrêtée à trois reprises en France, mais il n’est pas encore recherché et il peut donc rejoindre la Belgique sans encombre.

Attou appelle dans la nuit de vendredi à samedi un certain Ali Oulkabi qui est un ami de Brahim Abdeslam. Arrivé avec son véhicule personnel, Oulkadi dit ne pas avoir su qui il devait convoyer avant qu’Abdeslam n’entre dans le véhicule. Oulkadi retrouve Abdeslam et la personne l’ayant appelé à Laeken le 14 novembre. Oulkadi et Abdeslam se rendent dans un café où il lui explique son implication dans les attentats de Paris, puis lui demande de le déposer à Schaerbeek.
Ali Oulkadi, Hamza Attou et Mohammed Amri sont par la suite arrêtés par les autorités belges.
Les autorités belges et françaises diffusent la photo de Salah Abdeslam en avis de recherche le 15 novembre, ce qui le fait nommer « l’ennemi public numéro 1 ». Le 16 décembre à 10 h, la police belge pénètre dans une location où il était supposé se dissimuler. Il est alors rapporté que les autorités n’avaient pas pu y pénétrer plus tôt en raison de la législation belge interdisant la plupart des perquisitions entre 21 h et 5 h.
Des traces d’explosifs, trois ceintures cousues à la main et les empreintes digitales de Salah Abdeslam sont découvertes dans un appartement rue Henri Bergé à Schaerbeek perquisitionné le 9 décembre qui aurait pu également être utilisé lors de la fuite de Salah Abdeslam

happywheels

6 Commentaires

  1. capucine dit :

    il mérite la corde ! au lieu de ça la justice lui donne cellule tout confort , et une salle de sport ! de plus il paraitrait qu’il arrive à
    communiquer avec d’autre prisonnier !! ce terroriste ne mérite plus de vivre …

  2. roni dit :

    ce sous merde fait croire qu il est le cerveau en fait cest un dechet qui n a pas eu le courage de crever en martyr. cest un lache l etat francais devrait lui interdire les visites de ses proches et lui enlever la television ainsi que la salle de sport.
    tout le monde s en fou de ses etats d ames le laisser en vie jusqu au proces pour qu il affronte ces victimes et apres le donner en pature a d autres prisoniers qui ont perdu des membres de leurs familles dans les attenats.

    • capucine dit :

      les victimes sont mortes , Roni ? c’est les familles des victimes à qui il va avoir à faire … et ses deux avocats ont jetés l’éponge !
      ce déchet ne parlera pas ! dommage qu’il n’a pas à faire à Poutine qui arrive toujours à ses fins car personnes ne lui résiste …
      ce déchet mérite l’échafaud ou la corde comme en Iran ou ils ne font pas dans la dentelle … la France ne peut pas payer à vie un assassin qui vit comme VIP en taule

  3. Gilles-Michel De Hann dit :

    Le réfugié syrien arrêté lundi en Allemagne est mort. Il s’est pendu dans sa cellule dans la prison de Leipzig, dans l’est du pays, a rapporté l’agence allemande dpa, confirmant des informations de plusieurs médias.

    Selon le quotidien Der Spiegel, le jeune homme de 22 ans avait entamé une grève de la faim et avait été placé sous surveillance constante en raison du risque qu’il ne mette fin à ses jours.

    Le suspect avait été arrêté lundi après 48 heures de chasse à l’homme. Il était recherché depuis qu’une perquisition dans un appartement de Chemnitz avait mené samedi à la découverte de 1,5 kilo d’explosifs très puissants. Il a pu être capturé grâce à trois de ses compatriotes qui l’ont ligoté et dénoncé à la police.

  4. david dit :

    Incroyable il faut le mettre au mitard toute sa peine et lui envoyer les israéliens et les russes le questionné à tour de rôle tu vas voir si il va pas cracher le morceau. Tuer autant de personnes et surtout être le dernier survivants dune équipe de kamikazes ,il peut pas se permettre de garder le silence c’est trop facile. Y a pas Les droits de l’homme avec ce genre d’individus alors faitent ce qu’il faut pour lui faire cacher le morceau par n’importe quel moyen.

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