
Olivier Faure découvre le judaïsme… en mode Hamas-friendly
Par Abraham Chicheportiche
C’est l’histoire d’un chef socialiste qui voulait tant plaire aux foules « progressistes » qu’il s’est pris pour le nouveau grand rabbin… version Gaza. Olivier Faure, patron d’un PS en soins palliatifs depuis 2017, a cru bon d’expliquer aux Juifs de France comment fêter Roch Hachana. Attention : pas de pomme, pas de miel, pas de shofar… sauf si vous y ajoutez un drapeau palestinien et un autocollant « Free Gaza » sur la table.
En gros, selon lui, célébrer le Nouvel An juif sans acclamer la reconnaissance de la Palestine, c’est propager « la haine, le désespoir et la mort ». On attend la suite : Noël interdit sans hommage au Hezbollah ? La crèche remplacée par un bunker du Hamas ? ou une couronne de fleurs déposée sur la tombe d’Arafat ? Pâques avec œufs au chocolat en forme de roquettes du Jihad islamique ? La galette des rois remplacée par la galette… du hezbollah?
Le pire, c’est que Faure croit être moderne, courageux, « progressiste ». En fait, il n’est qu’un VRP discount de l’islamo-gauchisme, qui troque le marxisme contre le Coran de poche.
Cette Europe devient dingue : les mêmes qui hurlent contre « l’extrême droite antisémite » sont en train de normaliser l’antisémitisme de gauche, repeint aux couleurs de la Palestine éternelle. Et pendant ce temps, Faure, chef d’un parti déjà enterré, se rêve prophète.
Cette sortie surréaliste illustre à quel point la gauche française s’est reconvertie : jadis défenseur des ouvriers, aujourd’hui coach spirituel des minorités… sauf juives, bien sûr. Faure, comme beaucoup de ses camarades, adore le « vivre-ensemble », mais à condition que les Juifs restent discrets, qu’ils ne réclament pas de sécurité, et surtout qu’ils s’excusent d’exister à chaque fête religieuse.
L’Europe, déjà en pleine crise de schizophrénie, trouve ça normal. À Bruxelles, on ferme les yeux sur les pogroms verbaux des cortèges pro-Hamas, mais on surveille avec fébrilité la moindre kippa dans la rue. En Allemagne, on installe des commissaires spéciaux pour l’antisémitisme, pendant que les mêmes gouvernements financent allègrement l’UNRWA, usine à endoctrinement antisémite.
Faure, lui, croit sans doute avoir trouvé la martingale électorale : draguer l’électorat islamo-gauchiste en sacrifiant une communauté jugée « trop proche d’Israël ». Mais à ce rythme, son PS devrait bientôt se rebaptiser : « Parti Soumissionnaire ».
La vérité, c’est que cette gauche-là ne tolère plus les Juifs que comme figurants utiles, à condition de renier leur histoire et leurs traditions. Qu’un Juif ose dire « Chana Tova » sans ajouter « Vive la Palestine », et le voilà taxé d’agent du Mossad, de complice du colonialisme et d’ennemi de la paix.
On appelle ça comment déjà ? Ah oui : l’Europe qui devient folle. Et Faure, dans tout ça ? Un chef de parti qui ne dirige rien, mais qui se prend pour prophète. Sauf qu’à force de prêcher la haine au nom de la paix, il ne fait que confirmer une chose : le PS, c’est bien mort.
Pas besoin de Roch Hachana pour le constater.
il faut l’envoyer à Charenton ou St anne
Les municipales approchent, et la gauche française sort déjà ses calculettes électorales comme des prêtres sortent leur encensoir : pour mieux masquer l’odeur de la gamelle. Ces héritiers de Mitterrand, l’homme à la Francisque qui se faisait pote avec Bousquet — organisateur de la rafle du Vel d’Hiv — osent encore nous jouer la morale antifasciste.
les memes qui se disaient socialistes, humanistes, pacifistes… et les voilà en 1940, à genoux devant Pétain, la Francisque épinglée sur la veste. Déat, Doriot, et tant d’autres « anciens de gauche » recyclés en collabos de luxe, prêchant la soumission à Hitler après avoir prêché la lutte des classes. Le pacifisme devint lâcheté, l’internationalisme se transforma en germanophilie, et la République « pourrie » fut remplacée par le culte du Maréchal. La gauche de Vichy ?
Une gauche qui a troqué l’Internationale contre le chant des bottes et le keffieh, et qui a prouvé que le verbe « retourner sa veste » est bien français.
Rosh Hashana n’a rien à voir avec vos obsessions politiciennes : c’est une fête célébrée depuis des millénaires en Israël, au Temple juif, dans le seul État juif de l’Histoire. Pas par les musulmans, pas par vos camarades islamo-gauchistes, et sûrement pas par vous. Alors un conseil, Olivier : laissez les pommes et le miel tranquilles. Contentez-vous de vos gamelles hallalo-électorales, c’est votre seul vrai culte.
© Abraham Chicheportiche
Source Tribune Juive
cet appel aux drapeaux et sa sortie gravement et purement antisèmite sur roch hachana viennent de signer la fin des ambitions gouvernementales de ce con de faure!il ne sera JAMAIS ministre ou mieux pense t il premier ministre !c est un etre sans consistance !c est un rien du tout !!une merde !!