VIDEO : Dieudonné Mbala Mbala; Antisémite et menteur !

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Voici comment on fait passer une famille Chrétienne pour une famille Juive, histoire de monter les gens de couleur contre les juifs, la Famille du millionnaire Bernard HAYOT n’a jamais été une famille Juive Hollandaise, mais bien une famille chrétienne originaire de Lisieux en Basse-Normandie (France) !
Perchée sur un morne qui surplombe le village des Anses d’Arlets entre falaises et mer des Caraïbes, cette magnifique maison est, à la fin du XVIIIe siècle, le berceau de l’histoire industrielle de la famille Hayot.

En 1788, Jean-François Hayot quitte sa modeste habitation caféière du Saint-Esprit et achète la Sucrerie qui est alors la plus importante habitation des Anses d’Arlets. Plus tard, son fils Michel devient le premier maire de la Commune du sud qui regroupe, lors de sa création en 1837 les actuelles communes des Anses d’Arlets, du Diamant et de Sainte-Luce. Anticipant la mutation sociale et économique de la Martinique entraînée par la fin du système esclavagiste et l’émergence de la révolution industrielle, Michel Hayot passe dès la mi-avril 1848 un contrat d’association qui prévoit l’émancipation de ses travailleurs au 1er août de la même année.
L’intérêt de la famille Hayot pour l’industrialisation de la fabrication du sucre s’était manifestée dès 1845 lorsque Michel Hayot délaisse la fabrication artisanale sur son habitation pour se consacrer uniquement à la culture de la canne qu’il livre par barges à la toute nouvelle usine centrale de la Pointe Simon à Fort-de-France (actuel gare routière des taxis collectifs). C’est à partir de la Sucrerie que la famille Hayot étend sa présence dans le sud en même temps que son développement économique. L’acquisition au milieu du XIXe siècle de l’habitation Poterie et des propriétés voisines aux Trois Ilets mène à une diversification industrielle avec la fabrication de matériaux de construction en terre cuite (briques et tuiles). Ces habitations sont aussi cultivées en cannes qui sont toujours traitées de l’autre coté de la baie de Fort de France par l’Usine de la Pointe Simon.

Une étape essentielle sera franchie avec Octave Hayot (1843-1892) qui est envoyé en 1868 par son père, Louis Hayot, à la toute nouvelle Usine du François comme collaborateur d’Emile Bougenot. Ce dernier est un ingénieur mécanicien métropolitain installé à la Martinique pour créer un nouveau type d’usines. Auprès de lui, il apprend d’une part la technique de fabrication industrielle du sucre et d’autre part le fonctionnement d’une entreprise moderne avec actionnariat. Cette mise en commun d’un nouveau savoir-faire technique et des capacités de production locales est à l’origine d’une grande réussite industrielle. C’est ainsi qu’à la fin de l’année 1868, Octave Hayot réunit quelques planteurs de la région de Rivière-Salée, à commencer par les habitations familiales des Trois-Ilets, pour fonder, avec l’aide d’Emile Bougenot, l’Usine centrale du Petit-Bourg sur l’habitation Génipa. Dans les années qui suivent, des rivalités d’usiniers amènent sa famille à prendre le contrôle des habitations voisines afin de garantir l’approvisionnement de l’usine et sa viabilité. Octave Hayot est considéré comme l’initiateur de la mise en valeur agricole de la plaine de Rivière-Salée jusqu’alors réputée peu propice à l’agriculture en raison de son caractère marécageux. Il décède prématurément en 1892 et ses proches reprennent la direction de l’Usine à un moment crucial de l’histoire de la Martinique.

La destruction de Saint-Pierre en 1902 entraîne la disparition des nombreux négociants qui occupaient une influence majeure dans le paysage économique martiniquais. La place est récupérée par les usiniers qui, depuis la campagne, deviennent les uniques acteurs du développement économique. Les proches d’Octave Hayot et leurs descendants continueront à jouer un rôle important dans l’industrie sucrière avec des personnalités comme Joseph, Simon, Saint-Michel, Léon ou Yves Hayot. Ils dirigeront de nombreuses usines au Robert, au François ou encore au Lareinty jusqu’à la fin des années 1960 quand la crise sucrière met fin à cette activité. La reconversion se fait progressivement dans la distribution des biens de consommation, un secteur en pleine expansion au moment où la Martinique accède aux bénéfices de la départementalisation et à la société de consommation caractéristique du monde occidental des Trente Glorieuses. C’est dans ce nouveau contexte économique et dans l’esprit de cette vieille culture d’entrepreneurship qu’est fondée, en 1960, la première entreprise de ce qui deviendra le

Groupe Bernard Hayot. Mais ceci est une autre histoire qui trouve toutefois une part de ses origines en 1788 à la Sucrerie des Anses d’Arlets.

source :

https://www.youtube.com/watch?v=iEXQ7qMlCJE

happywheels

4 Commentaires

  1. josué bencanaan dit :

    Rassurez vous, M’BALA M’BALA, va bientot recevoir la visite des extraterrestres, ils vont l’emmener dans leur soucoupe volante, ils le trouveront tellement con, qu’ils risquent de le laisser en route.

  2. CATHY dit :

    Je pense sincèrement que ce pseudo-humoriste avec ses blagues à 2 balles qui ne font rire qu’une minorité de pommés devrait faire ses valises et partir définitivement au Cameroun rejoindre sa grande famille nombreuse…

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