PASCAL BONIFACE EST TOUJOURS OBSEDE PAR LES JUIFS

Eric Zemmour après son agression a reçu un appel @EmmanuelMacron. Comme Finkelkraut. Aucun appel-pas même l’ambassadrice – après mon agression à Tel Aviv, plus violente et j’étais en mission pour l’Institut francais.Seul le Consul s’est occupé- bien- de moi

— Pascal Boniface (@PascalBoniface) May 2, 2020

Monsieur Boniface, Votre propos est dégueulasse et ignoble. Dégueulasse, parce qu’il ramène Zemmour et Finkielkraut à leur identité juive, Ignoble, parce qu’il sous-entend qu’en tant que juif, des privilèges sont possibles, Dégueulasse, parce qu’il sous entend qu’en tant on a l’oreille des puissants, Ignoble, parce que vous attisez la haine en agitant de vieux poncifs antisémites, Dégueulasse, parce que votre égocentrisme vous pousse à ramener cette agression à votre propre personne, niant par la même la souffrance de ceux qui ont été agressés, Pascal Boniface, vous êtes dégueulasse et ignoble, et espérons que cette fois-ci c’est la Justice qui vous « agressera ».
SOURCE :

Lettre à Pascal Boniface

En 2001, il plaide dans une note interne pour une modification de la politique du PS à l’égard du conflit israélo-palestinien, en affirmant qu’il serait en matière de politique internationale ; préférable, pour chacun, de faire respecter des principes universels et non pas le poids de chaque communauté.
En 2002, il crée la polémique au sein de la communauté juive, pour avoir comparé Ariel Sharon et Jörg Haider connu pour ses positions ambiguës sur le nazismen. Selon le quotidien Libération ; dans le journal suisse Le Temps, il propose […] sur le ton de la dérision d’inscrire Israël dans la liste des pays de “l’axe du Mal” !
En 2003, Laurent Fabius et Serge Weinberg démissionnent du conseil d’administration de l’Iris13. Après la parution de l’ouvrage de Pascal Boniface Est-il permis de critiquer Israël ?n 2, L’Arche — l’un des magazines du judaïsme français — publie le mois suivant un article titré Est-il permis d’être antisémite ?.
En juin, Alfred Grosser démissionne du conseil de surveillance de L’Express, peu de temps après avoir publié une critique du livre de Boniface dans laquelle il écrivait que l’auteur avait raison de mettre en lumière les abus de la « victimisation »n3.
En juillet 2003, Pascal Boniface quitte le Parti socialiste. Selon Jean-Dominique Merchet (Libération) ; après avoir été exclu de son poste de délégué national pour les questions stratégiques, Boniface quitte le parti en critiquant l’alignement excessif sur les positions pro-israéliennes de la communauté juive19. Pour Le Monde, le géopolitologue reproche plutôt au PS de privilégier « ceux qui ont une lecture ethnique du conflit israélo-palestinien »17. Pascal Boniface affirme avoir — après que Pierre Moscovici le lui a conseillé face à la polémique — accepté de renoncer au poste tout en étant prêt à rester membre du PS et à participer à différents groupes d’experts ou réunions sans titre, et avoir finalement quitté le parti à la suite de critiques exprimées publiquement par Dominique Strauss-Kahn.
Pascal Boniface considère que l’impact du terrorisme islamiste est sans commune mesure avec le nombre de morts qu’il peut susciter. Ne tombe-t-on pas dans le piège des terroristes en leur donnant de l’importance ?